Calcul (mathématiques)vignette|Enfant effectuant un calcul En mathématiques, un calcul est une opération ou un ensemble d'opérations effectuées sur des grandeurs. Initialement ces grandeurs étaient des nombres mais le développement des outils mathématiques et de l'abstraction permet maintenant d'effectuer des calculs sur des objets plus complexes (fonctions, vecteurs, propositions). Par la suite, l'informatique a permis de faire couramment des calculs sur des données formelles variées et le calcul est devenu un objet d'étude dans la théorie de la calculabilité.
Croix de multiplicationLa croix de multiplication « × » est un symbole mathématique utilisé principalement comme signe de multiplication, introduit en 1631 par William Oughtred dans . Ce symbole est aussi l'opérateur du produit cartésien et, en notation anglo-saxonne, du produit vectoriel. Dans le langage APL, il est associé comme opérateur unaire à la fonction signe. Il est utilisé par ailleurs en botanique pour l'écriture d'un nom d'hybride. La croix de multiplication est un caractère visuellement similaire à une croix de saint André (U+2613 ☓).
Développement décimalEn mathématiques, le développement décimal est une façon d'écrire des nombres réels positifs à l'aide des puissances de dix (d'exposant positif ou négatif). Lorsque les nombres sont des entiers naturels, le développement décimal correspond à l'écriture en base dix. Lorsqu'ils sont décimaux, on obtient un développement décimal limité. Lorsqu'ils sont rationnels, on obtient soit, encore, un développement décimal limité, soit un développement décimal illimité, mais alors nécessairement périodique.
Complément (arithmétique)In mathematics and computing, the method of complements is a technique to encode a symmetric range of positive and negative integers in a way that they can use the same algorithm (or mechanism) for addition throughout the whole range. For a given number of places half of the possible representations of numbers encode the positive numbers, the other half represents their respective additive inverses. The pairs of mutually additive inverse numbers are called complements. Thus subtraction of any number is implemented by adding its complement.
Lowest common denominatorIn mathematics, the lowest common denominator or least common denominator (abbreviated LCD) is the lowest common multiple of the denominators of a set of fractions. It simplifies adding, subtracting, and comparing fractions. The lowest common denominator of a set of fractions is the lowest number that is a multiple of all the denominators: their lowest common multiple. The product of the denominators is always a common denominator, as in: but it is not always the lowest common denominator, as in: Here, 36 is the least common multiple of 12 and 18.
Multiple (mathématiques)En arithmétique, un multiple d'un nombre entier n est un nombre qui peut s'écrire comme le produit de n par un autre nombre entier. Un multiple de n est un nombre N qui peut s’écrire sous la forme N = n × k, avec k un nombre entier. Par exemple, 60 est un multiple de 15, car 60 = 15 × 4 et 4 est un nombre entier. Si n est un multiple de d (avec d non nul), alors d est un diviseur de n. La liste des plus petits multiples d'un nombre entier est donné dans la table de multiplication de ce nombre.
Technique de multiplication dite russeLa technique de multiplication dite russe consiste à diviser par 2 le multiplicateur (et ensuite les quotients obtenus), jusqu'à un quotient nul, et à noter les restes ; et à multiplier parallèlement le multiplicande par 2. On additionne alors les multiples obtenus du multiplicande correspondant aux restes non nuls. Cela revient en fait à écrire le multiplicateur en base 2 et à faire ensuite des multiplications par 2 et des additions. C'est donc une variante de la technique de la multiplication en Égypte antique, bien qu'elle ait pu être redécouverte indépendamment.
JuxtapositionEn grammaire, la juxtaposition, ou parataxe asyndétique, est l'introduction d'une unité syntaxique quelconque sans la médiation d'un mot-outil (on peut dire aussi asyndète ou encore, corrélation implicite). Le plus souvent, les relations syntaxiques élémentaires, coordination et subordination sont marquées par un mot-outil, c'est-à-dire, par un coordonnant, dans le cas de la coordination (conjonction de coordination ou adverbe de liaison), et par un subordonnant, dans le cas de la subordination (préposition, conjonction de subordination, pronom relatif ou encore, outil interrogatif ou outil exclamatif).
−1 (nombre)–1 est l'opposé de 1, c'est-à-dire le nombre qui, ajouté à 1, donne 0. Moins un est l'entier plus grand que moins deux (–2) et plus petit que zéro. –1 est le plus grand entier strictement négatif. Multiplier un nombre (entier, ou même réel) par –1 revient à changer son signe. Plus généralement, dans tout anneau unifère, (–1) × x = –x et (–1) × (–x) = x. En particulier, (–1) × (–1) = 1 : le carré de –1 est 1. Les deux racines carrées complexes de –1 sont les unités imaginaires i et –i.
Table de multiplicationUne table de multiplication affiche dans les lignes et colonnes le résultat de la multiplication des petits nombres entiers naturels. Le terme usité du Moyen Âge au était « livret » (ce terme est encore courant en Suisse). Le système de numération décimale de position permet d'effectuer la multiplication de deux nombres quelconques à l'aide de la seule connaissance des produits des nombres de 0 à 9 entre eux. C'est à l'école primaire que s'effectue l'apprentissage des tables qui récapitulent tous ces produits.