ChandasSanskrit prosody or Chandas refers to one of the six Vedangas, or limbs of Vedic studies. It is the study of poetic metres and verse in Sanskrit. This field of study was central to the composition of the Vedas, the scriptural canons of Hinduism, so central that some later Hindu and Buddhist texts refer to the Vedas as Chandas. The Chandas, as developed by the Vedic schools, were organized around seven major metres, and each had its own rhythm, movements and aesthetics.
KātyāyanaKātyāyana (कात्यायन) also spelled as Katyayana (est. 6th to 3rd century BCE) was a Sanskrit grammarian, mathematician and Vedic priest who lived in ancient India. According to some legends, he was born in the Katya lineage originating from Vishwamitra, thus called Katyayana. The Kathāsaritsāgara mentions Kātyāyana as another name of Vararuci, a re-incarnation of Lord Shiva's gana or follower Pushpadanta.
Triangle de Pascalthumb|Premières lignes du triangle de Pascal. En mathématiques, le triangle de Pascal est une présentation des coefficients binomiaux dans un tableau triangulaire. Il a été nommé ainsi en l'honneur du mathématicien français Blaise Pascal. Il est connu sous l'appellation « triangle de Pascal » en Occident, bien qu'il ait été étudié par d'autres mathématiciens, parfois plusieurs siècles avant lui, en Inde, en Perse (où il est appelé « triangle de Khayyam »), au Maghreb, en Chine (où il est appelé « triangle de Yang Hui »), en Allemagne et en Italie (où il est appelé « triangle de Tartaglia »).
PatañjaliPatañjali (devanāgarī : पतञ्जलि) est un nom célèbre dans l'histoire intellectuelle du monde indien. Ce nom est porté, semble-t-il, par deux érudits distincts. Le premier Patañjali serait le grammairien qui écrit en 200 environ le Mahābhāṣya, « Grand Commentaire » de la « Grammaire en huit parties », la Aṣṭādhyāyī, composée en 400 av. J.-C. environ par le grammairien Pāṇini. Le deuxième Patañjali serait le compilateur réel ou mythique du recueil classique des Yoga Sūtra de date beaucoup plus récente, quelque part entre l'an 300 et l'an 500 .
Suite de Fibonaccivignette|Une juxtaposition de carrés dont les côtés ont pour longueur des nombres successifs de la suite de Fibonacci : 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13 et 21. En mathématiques, la suite de Fibonacci est une suite d'entiers dans laquelle chaque terme est la somme des deux termes qui le précèdent. Notée , elle est définie par , et pour . Les termes de cette suite sont appelés nombres de Fibonacci et forment la : vignette|Représentation géométrique de la fraction continue de φ faisant apparaître les nombres de la suite de Fibonacci.
Littérature sanskritevignette|upright=2|L'un des plus vieux manuscrits connus d'un texte en sanskrit, en . Le , Bihar ou Népal, . L'histoire de la littérature sanskrite débute avec la transmission orale des Vedas au milieu du , et se poursuit à travers la tradition orale des grandes épopées. L'âge d'or de la littérature classique en sanskrit se situe dans l'Antiquité tardive, du au . Les textes les plus tardifs sont datés du . La littérature sanskrite disparaît avec la conquête musulmane de l'Inde, en particulier à cause de la destruction de centres intellectuels, tels que les universités de Taxila et Nalanda.
Système binaireLe système binaire (du latin binārĭus, « double ») est le système de numération utilisant la base 2. On nomme couramment bit (de l'anglais binary digit, soit « chiffre binaire ») les chiffres de la numération binaire positionnelle. Un bit peut prendre deux valeurs, notées par convention 0 et 1. Le système binaire est utile pour représenter le fonctionnement de l'électronique numérique utilisée dans les ordinateurs. Il est donc utilisé par les langages de programmation de bas niveau.
ZéroZéro est un chiffre et un nombre. Son nom a été emprunté en 1485 à l’italien zero, contraction de zefiro, issu du latin médiéval zephirum, qui représente une transcription de l’arabe ṣĭfr (صفر), le vide (qui en français a également donné chiffre). Le zéro est noté sous forme d’une figure fermée simple : 0. En tant que chiffre, il est utilisé pour et marquer une position vide dans l’écriture des nombres en notation positionnelle. En tant que nombre, zéro est un objet mathématique permettant d’exprimer une absence comme une quantité nulle : c'est le nombre d'éléments de l’ensemble vide.