Nom japonaisLes se composent d'un nom de famille, suivi d'un nom personnel équivalent du prénom. Le deuxième prénom n'est généralement pas utilisé. Les noms sont normalement écrits en kanjis, les caractères d'origine chinoise (sinogrammes) utilisés au Japon, mais au moment de donner un nom à la naissance d'un enfant, les parents peuvent utiliser l'hiragana ou le katakana, les deux syllabaires de l'écriture japonaise. Les noms d'origine étrangère doivent être transcrits en caractères japonais, l'écriture rōmaji (alphabet latin) est interdite, elle peut cependant figurer en complément sur le passeport.
Chinois écritLa langue chinoise écrite () est une langue apparue entre 1200 et 1050 av. J.-C. durant la dynastie Shang, essentiellement pour transcrire la langue chinoise orale. Cinq mille caractères sont couramment employés, représentant chacun un élément du chinois. Certains mots utilisent deux caractères, rarement davantage. La langue écrite chinoise est généralement considérée comme un facteur unificateur dans l'histoire de la Chine, transcendant les différences entre les langues chinoises parlées.
GojūonLe gojūon (五十音) est l'alphabet de la langue japonaise qui indique l'ordre des kanas. Gojū (五十) signifie « cinquante » et « on » (音) signifie « sons ». Gojūon signifie donc « cinquante sons ». Bien que l'alphabet, sous la forme d'un tableau 5 x 10 + 1, n'en comporte que 46 encore en usage et deux non utilisés. Le gojūon contient tous les kanas de base mais n'inclut pas : les versions de kana avec un dakuten ou un handakuten tels que が ou ぱ ; les kanas miniatures tels que っ pour つ ; les kanas avec ょ, les formes yōon telles que きょ ou しゃ.
Japanese dictionaryhave a history that began over 1300 years ago when Japanese Buddhist priests, who wanted to understand Chinese sutras, adapted Chinese character dictionaries. Present-day Japanese lexicographers are exploring computerized editing and electronic dictionaries. According to Nakao Keisuke (中尾啓介): It has often been said that dictionary publishing in Japan is active and prosperous, that Japanese people are well provided for with reference tools, and that lexicography here, in practice as well as in research, has produced a number of valuable reference books together with voluminous academic studies.
Asie de l'EstL'Asie de l'Est (ou Asie orientale) est une région d'Asie, comprenant : la Chine, la Corée (Corée du Nord et Corée du Sud), le Japon, la Mongolie (parfois rattachée à l'Asie centrale), Taïwan, éventuellement le Viêt Nam et Singapour, pour des raisons culturelles (ces pays sont plus généralement rattachés à l'Asie du Sud-Est pour leur position géographique), l'Extrême-Orient russe peut aussi être rattaché à cette région. Elle est couramment associée à la notion d'Extrême-Orient.
KunreiLa est une méthode de romanisation du japonais. Elle a été introduite par le ministère japonais de l’Éducation dans une série de circulaires de 1937 à 1954. Comme le système Nihon-shiki, elle est fondée sur une structure logique (produit cartésien de consonnes initiales et de voyelles finales), mais préfère la prononciation phonétique pour les particules enclitiques. La norme ISO 3602:1989 l’institue comme norme officielle de transcription du japonais.
Langue écritethumb|right|Exemples de fontes de caractères employées pour noter différentes langues, par William Caslon, fondeur-typographe, dans la Cyclopaedia (1728). Une langue écrite est une langue dotée d'une représentation au moyen d’un système d’écriture. La langue écrite est une invention (technique) dans la mesure où elle doit être enseignée aux enfants ; les enfants apprendront la langue parlée (langue orale ou langue des signes) en y étant exposés et sans vraiment qu’on la leur ait apprise.
Méthode de saisievignette|Saisie logiciellement assistée de caractères chinois. Une méthode de saisie, également méthode d'entrée (de l'input method), est un programme ou un composant d'un système d'exploitation qui permet aux utilisateurs d'un ordinateur de saisir des caractères complexes et des symboles, tels que les caractères chinois, l'alphabet coréen, le système d'écriture japonais ou ceux de langues d'origine indienne (sanskrit, tamoul, tibétain, etc.), à l'aide d'un clavier occidental classique.
KatakanaLes sont un des deux syllabaires utilisés en japonais. Comme les hiraganas les katakanas sont des signes correspondant à des mores (i, ro, ha, ni, ho, he, to, ka, ki, ku, ke, ko, etc.). Ils sont utilisés dans le système d'écriture japonais pour transcrire les mots d'origine étrangère autres que le chinois, les noms propres étrangers (patronymes, toponymes), les noms savants normalisés ou standardisés (日本の学名 ou 和名), des espèces biologiques (animaux, végétaux, champignons et algues) et les onomatopées japonaises.
Langues ryūkyūLes langues ryūkyū (aussi appelées langues ryūkyūanes ou langues macro-ryūkyūanes) sont parlées par les Ryukyuans, les populations indigènes des îles Ryūkyū qui appartiennent à la famille des langues japoniques. Les îles Ryūkyū comptent plus d'un million d'habitants, mais seule une minorité de cette population est encore capable de parler ces langues. Toutes les langues ryūkyū sont en danger ou en voie de disparition au profit du japonais.