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Écritures du japonais

Concepts associés (27)
Man'yōshū
Le est la première anthologie de waka, poésie japonaise datée des environs de 760. Le Man'yōshū est la première anthologie de waka, poésie japonaise, et date des environs de 760. Elle contient (répartis en ) du au sur divers sujets tels que la nature, l'amour, les voyages, et s'alimente des traditions légendaires nationales. La compilation comprend 265 , , 62 , 1 , 1 , 4 et 22 passages en prose chinoise. Les poèmes sont écrits en man'yōgana mais ont par la suite été adaptés en japonais moderne.
Écriture ossécaille
L’écriture ossécaille (en ) est une écriture chinoise utilisée du au sur des os ou des écailles. Selon le Grand Ricci, les scribes Shang () marquent quelquefois les caractères qui seront ensuite gravés. De nombreuses inscriptions furent découvertes par le savant chinois Wang Yirong à la fin du , gravées sur des os d’animaux gǔ (骨), le plus souvent des omoplates de bovins (scapulomancie), et sur des écailles de tortue jiǎ (甲) du plastron de la carapace (plastromancie), d’où son appellation par les Chinois d’écriture jiǎgǔwén (甲骨文), littéralement « écriture ossécaille ».
Époque de Nara
L', est l'une des 14 subdivisions traditionnelles de l'histoire du Japon. Cette période se situe entre 710 et 794 (ou 784). Elle est précédée par la période d'Asuka (du milieu du jusqu'en 710) et suivie par l'époque de Heian (794-1185). L'ère Tenpyō (ou Tempyō) (729-749), seconde période de Nara après l'ère Hakuhō selon certains historiens d'art, sert, parfois, à évoquer toute la période dans le domaine artistique, car la culture a été particulièrement brillante à ce moment-là.
Étymologie des caractères chinois
L’étymologie des caractères chinois décrit l'origine des signes employés par l'écriture chinoise, c'est-à-dire la manière dont ils ont été composés ou dérivés, en relation avec leur sémantique originelle. Tous les caractères chinois sont des logogrammes, mais on peut en distinguer plusieurs types, suivant leur étymologie. Un petit nombre sont des pictogrammes ( pinyin : xiàngxíng) ; un plus grand nombre sont des idéogrammes au sens strict ( zhǐshì), généralement composés ( huìyì) ; mais une écrasante majorité sont des composés nommés idéophonogrammes ( xíngshēng).
Particule en japonais
La grammaire japonaise désigne par le terme de de nombreux morphèmes grammaticaux de natures variées. Il s'agit en général de morphèmes liés, courts, qui servent à marquer des fonctions et des relations syntaxiques ou bien un trait énonciatif. Le plus couramment on entend par particules japonaises les particules casuelles, celles qui indiquent la fonction des mots dans la phrase: sujet, complément d'objet direct, etc. Les particules sont invariables et placées derrière les mots dont elles marquent la fonction.
Syllabaire
Un syllabaire est un ensemble de symboles utilisés par une écriture syllabique pour représenter les sons vocalisés ou groupés d'une langue. Les symboles représentent des syllabes, à la différence des écritures alphabétiques où les symboles représentent des sons ou des phonèmes unitairement. La philologue Silvia Ferrara note que dans le langage, le son est émis naturellement sous forme de syllabes, si bien que les premières écritures s'organisent autour de la structure syllabique.
Kagoshima-ben
Le kagoshima-ben (ou tout simplement kagoshima) est un dialecte japonais ou une langue japonique, parlée dans le sud de Kyūshū. Si cet idiome est majoritairement considéré comme un dialecte très divergeant du japonais, il est traité par certains comme une langue distincte. Des dialectes du japonais standard le remplacent progressivement. Il n'a pas de statut officiel. Contrairement au japonais, qui descend du vieux japonais occidental, le kagoshima et le fukuoka descendent du vieux japonais kyushuan.

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