La grammaire japonaise désigne par le terme de de nombreux morphèmes grammaticaux de natures variées. Il s'agit en général de morphèmes liés, courts, qui servent à marquer des fonctions et des relations syntaxiques ou bien un trait énonciatif.
Le plus couramment on entend par particules japonaises les particules casuelles, celles qui indiquent la fonction des mots dans la phrase: sujet, complément d'objet direct, etc. Les particules sont invariables et placées derrière les mots dont elles marquent la fonction.
Comme la plupart des morphèmes grammaticaux, les particules sont écrites en kana.
Les particules sont classées en fonction du type de mot qu'elles modifient et de leur signification.
La particule de thématisation (ou de topicalisation) indique le thème de la phrase. Elle est placée après le groupe nominal thématisé, se note は (ha), se prononce わ (wa) et s'écrit wa en Hepburn.
Cette notion n'a a priori rien à voir avec celle de sujet du verbe. Il est en effet possible de thématiser n'importe quel groupe nominal de la phrase pour montrer sur quel élément on cherche à donner des informations.
La particule が (ga) permet d'indiquer le sujet grammatical de la phrase. L'existence de が (ga) permet donc de distinguer le sujet de la phrase (が ga), du sujet dont on parle (le thème : は wa).
il faut faire attention à ne pas faire de confusion avec le français. De nombreuses tournures de phrases en japonais diffèrent notablement du français et entraînent des confusions de particules. Par exemple, pour exprimer le désir, on peut dire :
mais la tournure normale en français est : « Je veux cette pomme rouge. » et les francophones ont donc tendance à utiliser を au lieu de が ;
dans une proposition subordonnée relative, on peut souvent remplacer le が sujet de cette proposition par un の.
La particule objet を marque le complément d'objet direct du verbe.
En japonais moderne, à l'exception de quelques régions du Japon, il n'y a plus aucune différence de prononciation entre を et お. を se prononce donc (o) bien que souvent retranscrite wo en rōmaji.
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La grammaire japonaise est de type agglutinant, avec un alignement nominatif-accusatif, et dont l'ordre des constituants est dépendant-tête et SOV (sujet-objet-verbe). Le marquage des relations entre constituants se fait sur les dépendants, et les rôles syntaxiques des noms dans la phrase sont marqués par des particules s'attachant après eux. Il n'y a pas d'accord en genre, en nombre ou en personne. En japonais, le prédicat (constitué par un verbe, un adjectif ou la copule) est placé à la fin de la phrase et tous les autres termes avant.
Les types d'écritures du japonais sont composés de systèmes graphiques : kanji : un ensemble de logogrammes ou sinogrammes utilisés pendant des siècles, optionnellement annotés de translittération phonétique kana de type furigana ; kana : deux écritures syllabaires hiragana et katakana équivalentes ; rōmaji : une romanisation dans l'alphabet latin dans certains cas plus restreints. Contrairement à la langue chinoise qui connaît des tons, la langue japonaise est atone, et la compilation des kanjis donna lieu à de nombreux homophones.
Les sont des signes issus des caractères chinois dont le rôle est d'écrire une partie de la langue japonaise. Un kanji représente une ou plusieurs « lectures ». Une lecture est, sur le plan phonologique, une more ou une série de mores ; au niveau sémantique, une lecture est un morphème ou un mot que ce kanji permet d'écrire. Les lectures des kanjis dérivent soit de langues chinoises anciennes (morphèmes sinoxéniques), soit de la langue nipponne originelle (yamato kotoba), laquelle n'a pas de lien de parenté avec les langues chinoises.
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