Jainism and non-creationismAccording to Jain doctrine, the universe and its constituents—soul, matter, space, time, and principles of motion—have always existed. Jainism does not support belief in a creator deity. All the constituents and actions are governed by universal natural laws. It is not possible to create matter out of nothing and hence the sum total of matter in the universe remains the same (similar to law of conservation of mass). Jain texts claim that the universe consists of jiva (life force or souls) and ajiva (lifeless objects).
NirjaraLe Nirjara est la perte du karma dans le jaïnisme, une phase primordiale puisqu'elle amène au but de la vie: la libération, le moksha. Il existe différents moyens pour se brûler son karma; le nirjara qui fait partie des tattva c'est-à-dire de la Vérité spirituelle en est un. Il se décompose en perte active par les austérités et les pénitences, ou, en perte passive par le non apport de pensées aux fruits empoisonnés du karma, c'est-à-dire aux pensées ou aux actes passés. Il s'agit alors d'un karma évaporé comme l'eau d'un étang.
UmasvatiUmāsvāti appelé aussi Swami Uma est un penseur du jaïnisme, du ; certains le placent au ; il serait né pour certains en l'an 240. Umasvati est reconnu par les grandes branches du jaïnisme la communauté Digambara tout comme la communauté Shvetambara. Swami Uma serait issu d'une lignée de brâhmane et l'un de ses autres noms serait Griddhapiccha : « Celui qui écrivait avec une plume de vautour » Il a enrichi la bibliothèque jaïne en écrivant le premier grand texte sanskrit de cette religion : le Tattvartha Sutra appelé aussi Tattvarthadigama Sutra, qui peut se traduire par Manuel pour comprendre la réalité.
SantharaLe Santhara — appelé aussi Sallekhana — est une pratique du jaïnisme qui consiste à mourir par suite du jeûne. Cette pratique est actuellement controversée en Inde car assimilée au suicide. Une pratique similaire existe dans l'hindouisme : le . vignette|Acharya Shantisagar, mort le 18 septembre 1955 (à 83 ans), après avoir observé le vœu de sallekhana. Le santhara s'adresse aux personnes en fin de vie ou aux personnes ayant atteint un très haut niveau de réalisation, un des derniers stades donnés par les gunasthanas.
Indian logicThe development of Indian logic dates back to the anviksiki of Medhatithi Gautama (c. 6th century BCE); the Sanskrit grammar rules of Pāṇini (c. 5th century BCE); the Vaisheshika school's analysis of atomism (c. 6th century BCE to 2nd century BCE); the analysis of inference by Gotama (c. 6th century BC to 2nd century CE), founder of the Nyaya school of Hindu philosophy; and the tetralemma of Nagarjuna (c. 2nd century CE). Indian logic stands as one of the three original traditions of logic, alongside the Greek and the Chinese logic.
RatnatrayaJainism emphasises that ratnatraya (triple gems of Jainism) — the right faith (Samyak Darshana), right knowledge (Samyak Gyana) and right conduct (Samyak Charitra) — constitutes the path to liberation. These are known as the triple gems (or jewels) of Jainism and hence also known as Ratnatraya According to Jainism, purification of soul and liberation can be achieved through the path of three jewels: Samyak darśana (Correct View), meaning faith, acceptance of the truth of soul (jīva); Samyak jnana (Correct Knowledge), meaning undoubting knowledge of the tattvas; and Samyak charitra (Correct Conduct), meaning behavior consistent with the Five vows.
AnekantavadaAnekāntavāda (en sanskrit IAST ; devanāgarī : अनेकान्तवाद) est l'une des plus importantes et fondamentales doctrines du jaïnisme. Elle provient du Tattvartha Sutra. Sa traduction pourrait être : « réalité relative » ; son équivalent, dans la philosophie grecque, est le scepticisme. Elle se réfère à deux doctrines : les points de vue multiples : le nayavada ; la relativité des objets et des êtres dans le temps et l'espace : le syadvada. LAnekāntavāda s'inscrit dans la création d'un système philosophique plusieurs siècles avant notre ère.
Sectes DigambaraDigambara (« vêtu d'espace ») est une des deux grandes subdivisions du jaïnisme, l'autre étant la branche shvetambara (« vêtu de blanc »), les deux expressions signifiant que les moines digambara sont complètement nus, tandis que les moines shvetambara portent un vêtement blanc. Cette division serait apparue en 79 av. J.C. (mais on donne aussi d'autres dates), et elle semble due essentiellement à des divergences sur des points de doctrines, renforcées par des querelles religieuses.
HaribhadraHaribhadra est le nom d'une part d'un doxographe jaïn du (Haribhadra I ou Haribhadra Sūri), d'autre part d'un docteur bouddhiste de tendance syncrétiste (vers 800) (Haribhadra II). Haribadra I a été un chef du groupe des moines-ascètes de la branche shvetambara du jaïnisme entre le de notre ère sur le sous-continent indien. Issu d'une famille de brahmanes du Rajasthan, il était reconnu pour sa soif de connaissance et son humilité. On lui doit de nombreux textes importants sur le jaïnisme dans les domaines de la logique, du yoga, de l'astrologie, et même des nouvelles.
Tattvartha SutraLe Tattvartha Sutra appelé aussi Tattvarthadigama Sutra ou Shastra-Moksha est un des premiers textes du jaïnisme apportant les bases de cette religion. Il est reconnu à l'heure actuelle par les deux branches de cette foi, fait rare; et c'est pourquoi les historiens pensent qu'il a été écrit avant le schisme, entre le Ve et IIe avant notre ère. Il est composé de dix chapitres écrits en sanskrit. Son titre se traduit par: La Vraie nature des réalités ou Le Manuel pour comprendre les réalités.