Mythologie chinoiseCet article traite des origines de la mythologie chinoise ; pour les éléments ultérieurs, voir : :Catégorie:Mythologie chinoise La mythologie chinoise a pu être connue grâce à la découverte de textes datant essentiellement de la dynastie Han. La plus importante source est le Shanhaijing « Livre des Monts et des Mers ». N’ayant guère plus de 2000 ans d’âge, ces écrits peuvent être considérés comme récents. De plus, ils ont été rédigés par des lettrés qui ont parfois réinterprété la mythologie conformément à leurs conceptions philosophiques.
Hui (ethnie)Les Hui () sont un groupe ethnico-culturel musulman de Chine qui en constitue l'une des 56 nationalités. Ils vivent principalement dans la région autonome hui du Níngxià, mongole de Mongolie-Intérieure et les proches provinces du Gansu, Qinghai et Shaanxi, mais on en trouve des communautés dans toute la Chine. Ils sont à l'origine d'un art martial traditionnel qu'est le Cha quan. Les populations classées dans les Hui dans le sud de la Chine parlent des langues austronésiennes.
Littérature chinoisevignette|Lecture à la lumière de la lampe à huile, Wu Changshuo, 1908 (musée d'Art national de Chine). La littérature chinoise a une place à part dans l'histoire de l'humanité, étant donné le culte réservé à la chose écrite en Chine et le caractère unique des caractères chinois, qui tirent leur origine de rites divinatoires et se différencient radicalement des systèmes phonétiques utilisés dans la majorité des autres langues.
Shaanxiupright=1.4|thumb|Divisions administratives et disputes territoriales de la république populaire de Chine. Le Shaanxi ( ; ) est une très ancienne province de la Chine située dans le nord-est du pays. La surface de son territoire est de (11 rang des provinces chinoises) et elle est peuplée de d'habitants (16 rang). Sa capitale Xi'an, une des plus anciennes villes chinoises, est peuplée de plus de d'habitants, ce qui en fait la plus grande des métropoles du nord-ouest chinois.
Hunanupright=1.4|thumb|Divisions administratives et disputes territoriales de la république populaire de Chine. Le Hunan () est une province chinoise de l'intérieur de la Chine. Elle a pour chef-lieu Changsha. À l'époque du grand-père de Mao Zedong, le Hunan tient bon contre la révolte des Taiping qui en dévastant 8 provinces, coûte 20 millions de vies. Changsha ayant résisté à un siège de 80 jours, devint la « Ville aux portes de fer ».
YunnanLe Yunnan () est une province de la république populaire de Chine, située dans la région sud-ouest du pays, dont le chef-lieu est Kunming. Frontalier du Viêt Nam, du Laos et de la Birmanie, il regroupe des populations de diverses appartenances ethniques (25 minorités nationales). Région essentiellement montagneuse, le Yunnan reste une des provinces les moins riches de Chine, malgré le développement de la production de riz, cacao, café, thé, de la spiruline et du tourisme.
Jiangxiupright=1.4|vignette|Divisions administratives et disputes territoriales de la république populaire de Chine. Le Jiangxi () est une province du sud-est de la république populaire de Chine. Elle a pour chef-lieu Nanchang. Le nom de Jiangxi (), vient du circuit (江南西道), une subdivision administrative créée sous la dynastie Tang qui englobait la province actuelle. L'abréviation de gan () est également utilisé et constitue l'abréviation officielle de la province.
Pékin'Pékin' ( , « capitale du nord »), ou Beijing, est la capitale de la république populaire de Chine. Située dans le Nord-Est du pays, la municipalité de Pékin, d'une superficie de , est entourée par la province du Hebei ainsi que la municipalité de Tianjin, qui forment la mégalopole de Jing-Jin-Ji. Pékin est considérée comme le centre politique et culturel de la Chine, tandis que Hong Kong, Shanghai, Canton et Shenzhen dominent sur le plan économique.
Religion en ChineLe fait religieux dans le monde chinois se caractérise par le pluralisme, favorisé par l’attitude de l'État : celui-ci exerce depuis le début de l’empire () un contrôle attentif sur les groupes susceptibles de constituer une menace pour le pouvoir et la société et met au pas les sectes trop actives, n’accordant qu’exceptionnellement l’exclusivité à un culte. Le syncrétisme et le mélange sont courants, rendant les contours des ensembles religieux flous ; on a l’impression de se trouver face à une constellation de philosophies et de pratiques plutôt qu'à des confessions.