Axiome du choix globalEn mathématiques, plus précisément dans les théories utilisant des classes, l'axiome du choix global est un renforcement de l'axiome du choix qui s'applique à des classes propres d'ensembles ou d'ensembles d'ensembles. De manière informelle, il affirme que l'on peut choisir simultanément un élément dans tous les ensembles non-vides. L'axiome du choix global affirme qu'il existe une fonction de choix global τ, c'est-à-dire une fonction telle que, pour tout ensemble non-vide z, τ(z) est un élément de z.
Diamond principleIn mathematics, and particularly in axiomatic set theory, the diamond principle ◊ is a combinatorial principle introduced by Ronald Jensen in that holds in the constructible universe (L) and that implies the continuum hypothesis. Jensen extracted the diamond principle from his proof that the axiom of constructibility (V = L) implies the existence of a Suslin tree. The diamond principle ◊ says that there exists a , a family of sets Aα ⊆ α for α < ω1 such that for any subset A of ω1 the set of α with A ∩ α = Aα is stationary in ω1.
Internal set theoryInternal set theory (IST) is a mathematical theory of sets developed by Edward Nelson that provides an axiomatic basis for a portion of the nonstandard analysis introduced by Abraham Robinson. Instead of adding new elements to the real numbers, Nelson's approach modifies the axiomatic foundations through syntactic enrichment. Thus, the axioms introduce a new term, "standard", which can be used to make discriminations not possible under the conventional ZFC axioms for sets.
Détermination (théorie des ensembles)La détermination est un sous-champ de la théorie des ensembles, une branche des mathématiques, qui s'intéresse aux conditions dans lesquelles un joueur peut avoir ou non une stratégie gagnante dans un jeu, à la complexité d'une telle stratégie quand elle existe, ainsi qu'aux conséquences de l'existence de telles stratégies. Les jeux étudiés en théorie des ensembles sont généralement des jeux de Gale-Stewart, c'est-à-dire des jeux à deux joueurs à où les joueurs font une suite infinie de coups et où aucun match nul n'est possible.
Signature (logique)En calcul des prédicats et en algèbre universelle, une signature est une liste de symboles de constante, de fonction ou de relation, chacun ayant une arité. Dans certains formalismes, pour avoir moins de non-dit, la signature est une liste de couples (symbole, arité). La signature fournit les éléments primitifs pour la construction d'un langage du premier ordre sur cette signature. En calcul des prédicats à plusieurs types d'objets et en théorie des types, chaque symbole possède un type (l'arité n'est pas suffisante).
Positive set theoryIn mathematical logic, positive set theory is the name for a class of alternative set theories in which the axiom of comprehension holds for at least the positive formulas (the smallest class of formulas containing atomic membership and equality formulas and closed under conjunction, disjunction, existential and universal quantification). Typically, the motivation for these theories is topological: the sets are the classes which are closed under a certain topology.
Absoluteness (logic)In mathematical logic, a formula is said to be absolute to some class of structures (also called models), if it has the same truth value in each of the members of that class. One can also speak of absoluteness of a formula between two structures, if it is absolute to some class which contains both of them.. Theorems about absoluteness typically establish relationships between the absoluteness of formulas and their syntactic form. There are two weaker forms of partial absoluteness.
Extension conservatriceEn logique mathématique, une théorie logique T2 est une extension conservatrice (ou conservative) d'une théorie T1 si le langage de T2 étend le langage de T1, si chaque théorème de T1 est un théorème de T2 et si tout théorème de T2 qui est dans le langage de T1 est déjà un théorème de T1. Une extension propre est une extension non conservative. Informellement, cela veut dire que la nouvelle théorie peut éventuellement être plus commode pour prouver des théorèmes, mais qu’elle ne prouve pas de théorème nouveau concernant l'ancienne théorie.
Indépendance (logique mathématique)En logique mathématique, l'indépendance se réfère à la non-prouvabilité d'une proposition relativement à d'autres propositions. Une proposition σ est indépendante d'une théorie de premier ordre donnée T, si T ne prouve pas σ; à savoir, il est impossible de prouver σ à partir de T, et il est également impossible de prouver à partir de T que σ est faux. Parfois, σ est dit être indécidable de T; à ne pas confondre à la « décidabilité », du problème de décision.