Mathématiques indiennesLa chronologie des mathématiques indiennes s'étend de la civilisation de la vallée de l'Indus (-3300 à -1500) jusqu'à l'Inde moderne. Parmi les contributions des mathématiciens indiens au développement de la discipline, la plus féconde est certainement la numération décimale de position, appuyée sur des chiffres indiens, empruntés par les Arabes et qui se sont imposés dans le monde entier. Les Indiens ont maîtrisé le zéro, les nombres négatifs, les fonctions trigonométriques.
Équation du second degréEn mathématiques, une équation du second degré, ou équation quadratique, est une équation polynomiale de degré 2, c'est-à-dire qu'elle peut s'écrire sous la forme : Dans cette équation, x est l'inconnue les lettres a, b et c représentent les coefficients, avec a différent de 0. a est le coefficient quadratique, b est le coefficient linéaire, et c est un terme constant où le polynome est défini sur .
Signes plus et moinsLes signes plus (+) et moins (−) sont utilisés pour représenter les opérations d’addition et de soustraction dans une forme aujourd'hui reconnue internationalement. Ils peuvent avoir d’autres significations analogues, reconnues de manière généralement plus locale. Bien qu’aussi répandu que l’alphabet latin ou les chiffres indo-arabes leurs introduction est plus récente. Dans les hiéroglyphes égyptiens l’addition ressemble à une paire de jambes marchant dans la direction dans laquelle le texte a été écrit – dans le cas de l’Égypte antique, il était écrit de la droite vers la gauche.
Système décimalLe système décimal est un système de numération utilisant la base dix. Dans ce système, les puissances de dix et leurs multiples bénéficient d'une représentation privilégiée. Le système décimal est largement le plus répandu. Ainsi sont constituées, par exemple, les numérations : Les peuples ayant une base de numération décimale ont employé, au cours du temps, des techniques variées pour représenter les nombres. En voici quelques exemples. Avec des chiffres pour un, dix, cent, mille, etc.
NombreUn nombre est un concept permettant d’évaluer et de comparer des quantités ou des rapports de grandeurs, mais aussi d’ordonner des éléments en indiquant leur rang. Souvent écrits à l’aide d’un ou plusieurs chiffres, les nombres interagissent par le biais d’opérations qui sont résumées par des règles de calcul. Les propriétés de ces relations entre les nombres sont l’objet d’étude de l’arithmétique, qui se prolonge avec la théorie des nombres.
Divisionvignette|Division en tant que partage. Illustration de 20÷4 : partage d'un ensemble de 20 pommes en 4 parts égales. La division est une opération mathématique qui, à deux nombres a et b, associe un troisième nombre (loi de composition interne), appelé quotient ou rapport, et qui peut être notée : a : b ; a ÷ b (obélus) ; a / b (barre oblique, fraction en ligne) ; (fraction). Dans une première approche, on peut voir la quantité a÷b comme une séparation de la quantité a en b parts égales.
Zéro signéLe zéro signé est un zéro accompagné d'un signe. En arithmétique ordinaire, le nombre 0 n'a pas de signe, de sorte que −0, +0 et 0 sont identiques. Cependant, en informatique, certaines représentations des nombres admettent l'existence de deux zéros, souvent notés −0 (zéro négatif) et +0 (zéro positif), considérés comme égaux par les opérations de comparaison numérique mais avec des comportements différents possibles dans des opérations particulières.
Jérôme CardanJérôme Cardan (en italien : Gerolamo Cardano ou Girolamo Cardano, en latin : Hieronymus Cardanus), né à Pavie le et mort à Rome le , est un mathématicien, philosophe, astrologue, inventeur et médecin italien. Né à Pavie le , il est le fils illégitime d'un docte juriste milanais, Fazio Cardano, jurisconsulte, ami de Léonard de Vinci, et d'une veuve, Chiara Micheri. Extraordinairement précoce et éduqué par son père, il est, dès sa jeunesse, célèbre comme astrologue et mage, avant de donner des preuves de son , dans les mathématiques et les sciences naturelles.
Manuscrit de Bakhshalivignette|upright=1.4|Ecriture des chiffres dans le manuscrit de Bakhshali. alt=|350x350px|Bakhshali manuscript Morceau de parchemin. Le manuscrit de Bakhshali est un recueil de textes mathématiques trouvé en 1881 près du village de au Pakistan, à 80 km au nord-est de Peshawar. Écrit sur de l'écorce de bouleau, c'est le plus ancien document montrant l'utilisation du zéro et il est considéré comme le plus ancien manuscrit traitant des mathématiques indiennes. Il est conservé depuis 1902 à la bibliothèque Bodléienne à Oxford.
Signed number representationsIn computing, signed number representations are required to encode negative numbers in binary number systems. In mathematics, negative numbers in any base are represented by prefixing them with a minus sign ("−"). However, in RAM or CPU registers, numbers are represented only as sequences of bits, without extra symbols. The four best-known methods of extending the binary numeral system to represent signed numbers are: sign–magnitude, ones' complement, two's complement, and offset binary.