Résumé
The relational calculus consists of two calculi, the tuple relational calculus and the domain relational calculus, that is part of the relational model for databases and provide a declarative way to specify database queries. The raison d'être of relational calculus is the formalization of query optimization, which is finding more efficient manners to execute the same query in a database. The relational calculus is similar to the relational algebra, which is also part of the relational model: While the relational calculus is meant as a declarative language that prescribes no execution order on the subexpressions of a relational calculus expression, the relational algebra is meant as an imperative language: the sub-expressions of a relational algebraic expression are meant to be executed from left-to-right and inside-out following their nesting. Per Codd's theorem, the relational algebra and the domain-independent relational calculus are logically equivalent. A relational algebra expression might prescribe the following steps to retrieve the phone numbers and names of book stores that supply Some Sample Book: Join book stores and titles over the BookstoreID. Restrict the result of that join to tuples for the book Some Sample Book. Project the result of that restriction over StoreName and StorePhone. A relational calculus expression would formulate this query in the following descriptive or declarative manner: Get StoreName and StorePhone for book stores such that there exists a title BK with the same BookstoreID value and with a BookTitle value of Some Sample Book. The relational algebra and the domain-independent relational calculus are logically equivalent: for any algebraic expression, there is an equivalent expression in the calculus, and vice versa. This result is known as Codd's theorem. The raison d'être of the relational calculus is the formalization of query optimization. Query optimization consists in determining from a query the most efficient manner (or manners) to execute it.
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Concepts associés (3)
Algèbre relationnelle
L'algèbre relationnelle est un langage de requêtes dans des bases de données relationnelles. L'algèbre relationnelle a été inventée en 1970 par Edgar Frank Codd, le directeur de recherche du centre IBM de San José. Il s'agit de la théorie sous-jacente aux langages de requête des SGBD, comme SQL. Le théorème de Codd dit que l'algèbre relationnelle est équivalente au calcul relationnel (logique du premier ordre sans symbole de fonction). Elle est aussi équivalente à Datalog¬ (Datalog avec la négation) non récursif.
Modèle relationnel
Le modèle relationnel est une manière de modéliser les relations existantes entre plusieurs informations, et de les ordonner entre elles. Cette modélisation qui repose sur des principes mathématiques mis en avant par E.F. Codd est souvent retranscrite physiquement (« implémentée ») dans une base de données. On appelle « relation » un ensemble d'attributs qui caractérisent une proposition ou une combinaison de propositions comme "un employé a un matricule, il a un nom, il a un employeur".
Base de données relationnelle
thumb|upright=1.2|Structure générale d'une base de données relationnelle. En informatique, une base de données relationnelle (en anglais: relational database management system (RDBMS)) est une base de données où l'information est organisée dans des tableaux à deux dimensions appelés des relations ou tables, selon le modèle introduit par Edgar F. Codd en 1960. Selon ce modèle relationnel, une base de données consiste en une ou plusieurs relations. Les lignes de ces relations sont appelées des nuplets ou enregistrements.