Géographie (Ptolémée)La Géographie ou Manuel de géographie (en grec ancien Γεωγραφικὴ Ὑφήγησις, latinisé en Geographike Hyphegesis, en latin Geographia ou anciennement Cosmographia) est un traité rédigé par Ptolémée vers l'an 150. Cette Introduction géographique à la cartographie est une compilation des connaissances sur la géographie du monde à l’époque de l’Empire romain, et dont la redécouverte en Europe au permit de relancer l'étude de la géographie mathématique et de la cartographie et de la chorographie.
Atlas (livre)Un atlas est à l'origine un recueil de cartes géographiques réalisé par Mercator à partir de 1585, ouvrage dans lequel le géographe flamand orne le frontispice par la représentation du géant Atlas avec à la main un globe céleste qu'il scrute, et à ses pieds un globe terrestre. Par extension, ce terme géographique désigne un recueil de cartes, de planches, d'illustrations, joint à un ouvrage. Le mot atlas vient de la divinité Atlas, Titan de la mythologie grecque, dont le nom en grec ancien, Ἄτλας, signifie le .
GéomatiqueLa géomatique regroupe l'ensemble des outils et méthodes permettant d'acquérir, de représenter, d'analyser et d'intégrer des données géographiques. La géomatique consiste donc en au moins trois activités distinctes : collecte, traitement et diffusion des données géographiques. Le mot « géomatique » est issu de la contraction des termes « géographie » et « informatique ». La géomatique est étroitement liée à l'information géographique, qui est la représentation d'un objet ou d'un phénomène localisé dans l'espace.
GéostatistiqueLa géostatistique est l'étude des variables régionalisées, à la frontière entre les mathématiques et les sciences de la Terre. Son principal domaine d'utilisation a historiquement été l'estimation des gisements miniers, mais son domaine d'application actuel est beaucoup plus large et tout phénomène spatialisé peut être étudié en utilisant la géostatistique. L'histoire de la géostatistique est liée à l'estimation des gisements exploités dans les mines. Dans les années 1950, un professeur de l'université du Witwatersrand en Afrique du Sud, Danie G.