JuejuJueju (), or Chinese quatrain, is a type of jintishi ("modern form poetry") that grew popular among Chinese poets in the Tang dynasty (618–907), although traceable to earlier origins. Jueju poems are always quatrains; or, more specifically, a matched pair of couplets, with each line consisting of five or seven syllables. The five-syllable form is called wujue () and the seven-syllable form qijue (). The origins of the jueju style are uncertain. Fränkel states that it arose from the yuefu form in the fifth or sixth century.
ScaldeLe scalde est un poète scandinave, très souvent islandais, du Moyen Âge, essentiellement du . Il compose en se fondant sur l'allitération, le compte des syllabes et l'accentuation. Sa poésie strophique, avec ou sans refrain, volontairement sans lyrisme, à la formulation stéréotypée, loue des personnages, récapitule un lignage, expose des sentiments personnels ou décrit un bel objet. Elle sert de base documentaire à Snorri Sturluson pour la composition de son Edda puis aux rédacteurs de sagas.
DécasyllabeUn décasyllabe est un vers de dix syllabes. En poésie française, il fut d'abord utilisé dans la poésie épique, puis il devint un des principaux vers lyriques à partir du et ce jusqu'au où l'alexandrin prit peu à peu sa place. Comme ledit alexandrin, il comporte traditionnellement une césure après la quatrième syllabe : Femme je suis // pauvrette et ancienne, Qui rien ne sais ; // oncques lettre ne lus. Au moutier vois // dont suis paroissienne Paradis peint, // où sont harpes et luths, Et un enfer // où damnés sont boullus L’un me fait peur, // l’autre joie et liesse.
Biblical poetryThe ancient Hebrews identified poetical portions in their sacred texts, as shown by their entitling as "songs" or as "chants" passages such as Exodus 15:1-19 and Numbers 21:17-20; a song or chant () is, according to the primary meaning of the term, poetry. The question as to whether the poetical passages of the Old Testament show signs of regular rhythm or meter remains unsolved. Many of the features of Biblical poetry are lost when the poems are translated to English.
Kigoest un terme japonais signifiant « mot de saison ». Les kigo sont des mots ou des phrases associés à une saison particulière. Ils étaient à l'origine utilisés dans des vers plus longs nommés renga (dont les renku), et tout particulièrement dans le premier vers du renga, le hokku, pour indiquer la saison ou se passait le poème. L'intérêt du kigo est de pouvoir évoquer tout un univers en un seul mot et son. Il est donc particulièrement utilisé dans les haïku.
History of poetryPoetry as an oral art form likely predates written text. The earliest poetry is believed to have been recited or sung, employed as a way of remembering oral history, genealogy, and law. Poetry is often closely related to musical traditions, and the earliest poetry exists in the form of hymns (such as the work of Sumerian priestess Enheduanna), and other types of song such as chants. As such poetry is a verbal art.
Light poetryLight poetry or light verse is poetry that attempts to be humorous. Light poems are usually brief, can be on a frivolous or serious subject, and often feature word play including puns, adventurous rhyme, and heavy alliteration. Typically, light verse in English is formal verse, although a few free verse poets have excelled at light verse outside the formal verse tradition. While light poetry is sometimes condemned as doggerel or thought of as poetry composed casually, humor often makes a serious point in a subtle or subversive way.
Yuefuthumb|upright|Page du Recueil des poèmes yuefu de Guo Maoqian, édition de 1341. Le yuefu () est un genre poétique chinois, apparu sous la dynastie Han. Les yuefu sont originellement des chansons populaires avant d'être un genre pratiqué par les lettrés. Le yuefu doit son nom au Bureau de la musique (Yuefu), organisme créée sous la dynastie Han en L'empereur Wudi l'a remanié en et nommé à sa tête le musicien . Ce bureau avait pour fonction de composer des hymnes pour les sacrifices, de la musique pour la cour, et de collecter des chansons populaires.
Diwan (poésie)thumb|Des scribes moghols au travail, en train de recueillir des « diwans ». Un diwan ou divan (en دیوان, divân ; en ديوان, dīwān) est un recueil de poésie ou de prose dans les littératures arabe, persane, ottomane et ourdou. Néanmoins son sens précis varie considérablement selon les littératures, les zones géographiques et les époques. Appliqué à la littérature arabe de l'époque classique, le diwân désigne principalement le recueil exhaustif de l'œuvre d'un poète, tandis qu'appliqué à la littérature persane de la même époque, le divan constitue un recueil anthologique des poèmes d'un auteur, qui n'inclut en général pas ses longs poèmes (de la forme mathnawi).
TrochéeEn poésie, le trochée est un pied élémentaire composé d'une syllabe longue (ou accentuée) suivie d'une brève (ou non accentuée). Il se note ainsi : | — ∪ |. Le trochée provient du grec ancien / trokhaîos, « propre à la course ». Les mètres réguliers comprennent quatre types métriques qui correspondent à une alternance régulière de syllabes : soit longues et brèves ; soit accentuées et non accentuées.