Le droit au retour est un principe de droit international qui garantit que chacun peut revenir à son gré dans son pays d'origine ou dans le pays dont il a la nationalité. Le droit au retour fait partie des droits de l'homme au titre de la liberté de circulation et il est aussi lié aux droits relatifs à la nationalité. Même si de nombreux États accordent à leurs ressortissants le droit d'entrée sans passer par les procédures d'immigration, le droit au retour ne concerne pas uniquement la nationalité dans son sens formel.
La liberté de circulation est une liberté pour tout individu de se déplacer librement dans un pays, de quitter celui-ci et d'y revenir. Elle est garantie par l'article 13 de la Déclaration universelle des droits de l'homme depuis 1948. En pratique, cette liberté est limitée pour de nombreuses raisons, comme : la nationalité (pour les immigrés clandestins), la propriété (pour les non-propriétaires), la loi (pour les prisonniers).
Permanent residency is a person's legal resident status in a country or territory of which such person is not a citizen but where they have the right to reside on a permanent basis. This is usually for a permanent period; a person with such legal status is known as a permanent resident. In the United States, such a person is referred to as a green card holder but more formally as a Lawful Permanent Resident (LPR). Permanent residency itself is distinct from right of abode, which waives immigration control for such persons.
Le domicile est une notion née du mot latin domus désignant le lieu où habite une personne, mais aussi le point fixe où les intérêts d'une personne la ramènent régulièrement. Il s'agit donc de la localisation géographique stable et réputée permanente des sujets de droits, permettant, selon le doyen Jean Carbonnier, d' « attacher au domicile une présomption simple de présence permanente ». C'est pourquoi les actes judiciaires faits à leur domicile leur sont opposables. En droit positif, le domicile est fixé au lieu du principal établissement.
vignette|160px|Passeport français vignette|160px|Passeport italien vignette|160px|Passeport grec La citoyenneté de l'Union européenne ou citoyenneté européenne est une qualité juridique qui accorde à celui qui la possède certains droits et certaines libertés publiques. Elle a été introduite par le traité de Maastricht signé le . Elle est subordonnée à la notion de nationalité, qui relève de la seule compétence des États.
Armenian nationality law is regulated by the Constitution of Armenia, as amended; the Citizenship Law of Armenia and its revisions; and various international agreements to which the country is a signatory. These laws determine who is, or is eligible to be, an Armenian national. The legal means to acquire nationality, formal legal membership in a nation, differ from the domestic relationship of rights and obligations between a national and the nation, known as citizenship.
La nationalité est en droit international public le pays d'appartenance véritable d'une personne physique ou morale, aux fins de détermination du droit applicable dans un litige de droit public entre deux ou plusieurs pays. Le concept peut être juridiquement opposé à la notion de citoyenneté, qui n'a d'application qu'en droit interne à des fins de détermination des droits et devoirs des citoyens d'un même pays. Il s'agit d'un concept multiforme relatif à l'appartenance d'une ou d'un groupe de personnes à une nation culturelle ou politique déterminée ou possédant la volonté d'exister.
Le droit de la nationalité est constitué de l’ensemble des règles – législatives, réglementaires, jurisprudentielles ou coutumières – régissant la façon dont la nationalité et la citoyenneté sont transmises, acquises ou perdues. Il est lié au droit des étrangers et au droit d’asile. Le droit de la nationalité est le reflet de l'histoire et de l'idéologie migratoire. Le droit du sang (jus sanguinis) prédomine dans les pays d'émigration qui souhaitent maintenir des liens d'allégeance avec leurs expatriés et accorder la nationalité des parents aux enfants nés à l'étranger.
Australian nationality law details the conditions by which a person is a national of Australia. The primary law governing nationality regulations is the Australian Citizenship Act 2007, which came into force on 1 July 2007 and is applicable in all states and territories of Australia. All persons born in Australia before 20 August 1986 were automatically citizens at birth regardless of the nationalities of their parents. Individuals born in the country after that date receive Australian citizenship at birth if at least one of their parents is an Australian citizen or permanent resident.
New Zealand nationality law details the conditions by which a person is a national of New Zealand. The primary law governing these requirements is the Citizenship Act 1977, which came into force on 1 January 1978. Regulations apply to the entire Realm of New Zealand, which includes the country of New Zealand itself, the Cook Islands, Niue, Tokelau, and the Ross Dependency. All persons born within the Realm before 2006 were automatically citizens at birth regardless of the nationalities of their parents.