Sanctuaire shintovignette|Le sanctuaire Izumo Taisha est le plus vieux sanctuaire shintoïste. Les sanctuaires shinto, appelés le plus souvent en japonais, sont des lieux de culte du shintoïsme, où l'on vénère un kami. On parle parfois aussi de , ou simplement , voire de . vignette|Plan d'un sanctuaire. À l'entrée d'un sanctuaire se trouve un portail généralement rouge appelé , séparant l'enceinte sacrée de l'environnement profane. Après un possible , on accède à l'intérieur du sanctuaire, via l'allée, , bordée de lanternes appelées .
Shinbutsu shūgōvignette|Kitsune (renards) sacrés et kami Inari shinto, un torii, une tō (pagode de pierre) et des figurines bouddhistes ensemble au Jōgyō-ji de Kamakura. Le , aussi appelé , terme qui a cependant une connotation négative d'abâtardissement et de caractère aléatoire, désigne le syncrétisme du bouddhisme et du culte des kamis shinto qui est la religion du Japon jusqu'à l'ère Meiji. Quand le bouddhisme est introduit en provenance de Chine à la fin de la période Asuka (), plutôt que de rejeter le vieux système de croyances, les Japonais tentent de le concilier avec le nouveau, en supposant que les deux sont vrais.
Temples bouddhistes au Japonvignette|300px|Higashi Hongan-ji à Kyoto. Avec les sanctuaires shinto, les temples bouddhiques sont les bâtiments les plus nombreux, les plus renommés et les plus importants du Japon. Le mot japonais pour « temple bouddhique » est , mais ce kanji se prononce aussi ji, si bien que les noms de temples se terminent souvent en -ji ou -dera. Il existe encore une autre terminaison, . Des temples connus tels que Enryaku-ji, Kiyomizu-dera et Kōtoku-in illustrent ces modèles de dénomination.
Itsuku-shima, appelée aussi , est une île japonaise se trouvant dans la mer intérieure de Seto. L'île abrite principalement le bourg de Miyajima. Le , au-dessus de Miyajima-chō, est constitué d'une épaisse forêt d'érables. De nombreux chemins et sentiers sillonnent l'île. Un téléphérique permet d'accéder sans effort au point culminant de l'île, le Misen, mont d'une altitude de . Le site est désigné site Ramsar depuis le .
TrideviThe Tridevi (त्रिदेवी) are a trinity of supreme divinity in Hinduism, joining a triad of eminent goddesses either as a feminine version of the Trimurti, or as consorts of a masculine Trimurti, depending on the denomination. This triad is typically personified by the Hindu goddesses Saraswati, Lakshmi, and Parvati. In Shaktism, these triune goddesses are the manifestations of Mula-Prakriti or Adi Parashakti. In the traditional androcentric denominations of Hinduism, the feminine Tridevi goddesses are relegated as consorts and auxiliary deities to the more eminent masculine Trimurti gods.
Daikokutenvignette|redresse|Daikokuten par Ogata Korin (). ou simplement Daikoku, est la divinité japonaise de la richesse, du commerce et des échanges. Ebisu et Daikoku sont souvent appariés et représentés sous forme de masques ou de sculptures sur les murs de petites échoppes. Dans sa forme populaire, il est à la fois considéré comme un kami d'Ōkuninushi ou des cuisines dans le syncrétisme shinto/bouddhiste, mais aussi comme la forme paisible de la divinité bouddhiste Mahakala.
Japanese dragonJapanese dragons (日本の竜/龍, Nihon no ryū) are diverse legendary creatures in Japanese mythology and folklore. Japanese dragon myths amalgamate native legends with imported stories about dragons from China, Korea and the Indian subcontinent. The style and appearance of the dragon was heavily influenced by the Chinese dragon, especially the three-clawed long (龍) dragons which were introduced in Japan from China in ancient times.
Sept Divinités du Bonheurthumb|250px|right|Les Shichi fukujin. Les au Japon font référence aux sept divinités de la bonne fortune dans la mythologie japonaise. Chacune d'entre elles possède des particularités traditionnelles : Ebisu, divinité des pêcheurs, des marchands et de la prospérité, souvent représentée transportant une morue ou un bar ; Daikokuten ou Daikoku, divinité de la richesse, du commerce et des échanges.
Shingonvignette|200px|Kūkai, fondateur de l'école Shingon est une école bouddhiste japonaise ésotérique, fondée au par le moine Kūkai (空海) qui reçut le titre posthume de Kōbō Daishi (弘法大師), le grand diffuseur de la Loi. Le mot Shingon signifie « parole de vérité »; c'est la traduction japonaise du mot sanskrit mantra, qui désigne l'incantation en Inde. Cette école est, avec l'école Tendai, une des deux écoles à pratiquer le bouddhisme tantrique au Japon.
Biwa (instrument)Le est un instrument de musique à cordes traditionnel japonais. C'est un luth à manche court dérivé du pipa (琵琶) chinois, dont il a conservé le nom, et a lui-même probablement dérivé du barbat persan. Les plus anciens instruments conservés datent du , époque de l'apport de la culture chinoise au Japon. La ressemblance de la forme du plus grand lac du Japon avec cet instrument a inspiré le nom de ce lac, le . Il est l'instrument de la déesse Benten. vignette|180px| (vers 738 ap. J.-C.