Bien (économie)vignette|Diada de Sant Jordi en 2007. Défilés pour la vente de Livres. Un bien est une chose utilisable pour combler un besoin fondamental ou un désir. Entendu le plus souvent comme étant une chose concrète et physiquement tangible, il se différencie du service qui par opposition est dit « intangible ». Cependant, en microéconomie, la notion de bien peut recouvrir les deux notions de bien et de service. Un bien peut faire l'objet d'un usage ou d'une appropriation par un individu ou une collectivité.
CuivreLe cuivre est l'élément chimique de numéro atomique 29, de symbole Cu. Le corps simple cuivre est un métal. Le cuivre est un élément du groupe 11, de la , un élément du bloc d métal de transition chalcophile. Dans le tableau périodique des éléments, le cuivre est de la même famille que l'argent et l'or, parce que tous possèdent une orbitale s occupée par un seul électron sur des sous-couches p et d totalement remplies, ce qui permet la formation de liaisons métalliques (configuration électronique Ar 3d 4s).
Fétichisme de la marchandisevignette|droite|Fétichisme de la marchandise : sur le marché l'échange social des différents travaux est masqué par l'achat des différentes marchandises au moyen de l'argent .|alt=Un étalage de marché, couvert de fruits et légumes. Le fétichisme de la marchandise et de la monnaie est le nom d'un phénomène décrit par Karl Marx dans le chapitre premier de son ouvrage Le Capital, selon lequel les marchandises, dans le mode de production capitaliste, sont vues à tort comme ayant la faculté de posséder une valeur par elles-mêmes, devenant des objets s'autonomisant par rapport à l'activité humaine réelle.
Monnaievignette|La monnaie, commune mesure des échanges commerciaux : illustration de la théorie d'Aristote, édition de 1454-1455 d'après la traduction de Nicole Oresme. La monnaie est définie par Aristote par trois fonctions : unité de compte, réserve de valeur et intermédiaire des échanges. À la période contemporaine, cette définition ancienne persiste mais doit être amendée, entre autres par la suppression de toute référence à des matières précieuses (à partir du en Chine) avec la dématérialisation progressive des supports monétaires, et les aspects légaux de l'usage de la monnaie — et notamment les droits juridiques qui sont attachés au cours légal et au pouvoir libératoire —, qui sont plus apparents.
Monnaie de commoditéLa monnaie de commodité ou monnaie marchandise ou monnaie primitive est une monnaie dont la valeur est basée sur une marchandise ou un objet dont elle est faite. Sur le plan anthropologique, elle est un substitut en tant qu'intermédiaire matériel dans un rapport d'échange de gré à gré entre au moins deux humains. Qu'une société humaine soit basée (en apparence) uniquement sur le don ou principalement sur l'échange marchand, cet objet représente nécessairement du travail : comme le souligne Maurice Godelier, .
Valeur-travail (économie)La valeur-travail est un concept d'économie selon lequel le travail, créateur de richesse, est ce qui donne sa valeur au bien. Cette approche théorique est utilisée notamment par Adam Smith, David Ricardo puis Karl Marx. Pour les économistes classiques et marxistes, la valeur d'un bien peut être objectivement déterminée par le travail. Cette théorie de la valeur est contestée par les tenants de l'école néo-classique, qui lui préfèrent une conception subjective de la valeur.
CommerceLe commerce désigne l'activité économique d'achat et de revente de biens et de services, en particulier l'achat dans le but de revendre avec un profit ou un bénéfice. Le commerce a ses lois propres qui sont recueillies dans les Code de commerce et ses propres juridictions nationales ou internationales. Ayant d'autres finalités que de faire un profit, beaucoup d'activités économiques ou professionnelles comme l'éducation, la police, la culture, la médecine, la justice, l'architecture, la religion, etc.
Biens et servicesGoods are items that are usually (but not always) tangible, such as pens, physical books, salt, apples, and hats. Services are activities provided by other people, who include architects, suppliers, contractors, technologists, teachers, doctors, lawn care workers, dentists, barbers, waiters, online servers, a digital book, a digital video game or a digital movie. Taken together, it is the production, distribution, and consumption of goods and services which underpins all economic activity and trade.
MarchandisationLa marchandisation (à ne pas confondre avec le merchandising, une technique propre aux magasins en libre-service) évoque l'extension des domaines économiques librement accessibles aux marchés. Elle est souvent opposée à la notion de « collectivisation » pouvant être appliquée aux biens publics et services publics. Cette notion reprend en partie l'idée de fétichisme de la marchandise, concept développé par Karl Marx dans Le Capital, où l'auteur évoque la disparition des interactions humaines dans le processus de production désincarné du capitalisme.
Asymétrie d'informationUne asymétrie d'information est une situation où, sur un marché, les agents économiques qui contractent ou échangent ne sont pas sur un pied d'égalité en termes d'informations, l'un des deux agents détenant une information que l'autre n'a pas. La présence d'asymétries d'information conduit à des problèmes d'anti-sélection et de risque moral. Ils sont notamment étudiés dans le cadre de la théorie des contrats et de la théorie des mécanismes d'incitation.