Concepts associés (30)
Conservation de la charge électrique
La conservation de la charge électrique est un principe physique. Il exprime que la charge électrique d'un système isolé est un invariant. La charge électrique ne peut donc être qu'échangée avec un autre système mais ni créée ni annihilée. On dit qu'il s'agit d'une grandeur conservative. Ainsi, lors d'une réaction chimique, la somme totale des charges des espèces mises en jeu est conservée entre les réactifs et les produits. Lors d'une collision entre atomes, ions ou molécules, d'une désintégration radioactive, ou d'un échange énergie-matière, il en est de même.
Magnétostatique
thumb|Champ magnétique créé par un courant électrique. thumb|Champ magnétique créé par un aimant. La magnétostatique est l’étude du magnétisme dans les situations où le champ magnétique est indépendant du temps. Plus spécifiquement, la magnétostatique s’attache à calculer les champs magnétiques lorsque les sources de ces champs sont connues. Il existe deux sources possibles pour les champs magnétiques : d’une part les courants électriques ; d’autre part la matière aimantée. thumb|Champ magnétique créé par un assemblage d’aimants.
Émission thermoionique
Une émission thermoïonique (ou émission thermoélectronique) est un flux d'électrons provenant d'un métal ou d'un oxyde métallique, qui est provoqué par les vibrations des atomes dues à l'énergie thermique lorsque ceux-ci parviennent à surmonter les forces électrostatiques. L'effet croît de manière importante avec l'augmentation de la température, mais est toujours présent pour les températures au-dessus du zéro absolu. Les particules chargées étaient appelées « thermions » avant que l'on découvre qu'il s'agissait d'électrons.
Analogie électro-hydraulique
vignette|Analogie entre un circuit hydraulique (à gauche) et un circuit électronique (à droite). L'analogie électro-hydraulique est une apparence de similitude entre les grandeurs électriques et hydraulique. Comme le courant électrique est invisible et que les processus en jeu dans l'électronique sont souvent difficiles à démontrer, les différents composants électroniques peuvent être représentés par des équivalents hydrauliques.
Potentiel d'un champ vectoriel
Concept fondamental en analyse vectorielle et pour ses implications en physique, le potentiel d'un champ vectoriel est une fonction scalaire ou vectorielle qui, sous certaines conditions relatives au domaine de définition et à la régularité, permet des représentations alternatives de champs aux propriétés particulières. Ainsi, pour tout champ vectoriel qui satisfait ces conditions, le théorème de Helmholtz-Hodge assure qu'il existe un potentiel vecteur (défini à un gradient près) et un potentiel scalaire (défini à une constante près) tels que est égal à la différence entre le rotationnel de et le gradient de .
Algebra of physical space
In physics, the algebra of physical space (APS) is the use of the Clifford or geometric algebra Cl3,0(R) of the three-dimensional Euclidean space as a model for (3+1)-dimensional spacetime, representing a point in spacetime via a paravector (3-dimensional vector plus a 1-dimensional scalar). The Clifford algebra Cl3,0(R) has a faithful representation, generated by Pauli matrices, on the spin representation C2; further, Cl3,0(R) is isomorphic to the even subalgebra Cl(R) of the Clifford algebra Cl3,1(R).
Champ solénoïdal
thumb|Champ solénoïdal En analyse vectorielle, un champ solénoïdal ou champ incompressible désigne un champ vectoriel dont la divergence est nulle, ou de manière équivalente dont le flot préserve le volume euclidien. L’incompressibilité fait référence à la conservation du volume.
Siemens (unité)
Le siemens, de symbole S, est l'unité de conductance électrique du Système international (SI), ainsi nommée en hommage à Werner von Siemens. Les modules de l'admittance et la susceptance qui sont des grandeurs complexes, sont de même dimension physique que la conductance, et s'expriment aussi en siemens. La conductance G et la résistance R d'un conducteur sont inverses l’une de l’autre (R∙G = 1), = = ou, en unités de base, = . L’unité SI de conductance n’a été nommée siemens qu’en 1971.
Modèle de Drude
Le modèle de Drude (du nom du physicien Paul Drude), parfois appelé modèle de l'électron amorti, est une adaptation effectuée en 1900 de la théorie cinétique des gaz aux électrons des métaux (découverts 3 ans plus tôt, en 1897 par J.J. Thomson). En considérant les électrons d'un métal comme des particules classiques ponctuelles confinées à l'intérieur du volume défini par l'ensemble des atomes de l'échantillon, on obtient un gaz qui est entraîné dans un mouvement d'ensemble (lequel se superpose aux mouvements individuels des particules) par des champs électriques et magnétiques et freiné dans ce mouvement par des collisions.
Four-current
In special and general relativity, the four-current (technically the four-current density) is the four-dimensional analogue of the electric current density. Also known as vector current, it is used in the geometric context of four-dimensional spacetime, rather than three-dimensional space and time separately. Mathematically it is a four-vector, and is Lorentz covariant. Analogously, it is possible to have any form of "current density", meaning the flow of a quantity per unit time per unit area.

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