Templo MayorLe Templo Mayor () est le nom espagnol de la grande pyramide à degrés de Tenochtitlan, capitale des Aztèques, ainsi que du centre cérémoniel dans lequel elle se situait, qui est parfois appelé Recinto sagrado en espagnol (). Après la prise de la ville par Hernán Cortés (13 août 1521), et la disparition de l'Empire aztèque, le Templo Mayor a été détruit, comme la quasi totalité de la ville, remplacée à partir de 1524 par la cité espagnole de Mexico.
Homme des tourbièresL'homme des tourbières fait référence aux restes momifiés d'êtres humains d'âges et d'époques variés (du Néolithique au Moyen Âge, avec une forte proportion d'individus de l'Âge du fer), qui ont été conservés dans des tourbières du nord de l'Europe (Scandinavie, îles Britanniques notamment). À la différence de la plupart des cadavres aussi anciens, par suite de conditions particulières de conservation, les cadavres des tourbières présentent des échantillons de peau et d'organes internes très bien conservés.
Tlatelolcothumb|Plan de la zone archéologique de Tlatelolco. thumb|Place des Trois Cultures. thumb|En haut à gauche de cette page du Codex Mendoza consacrée aux conquêtes d'Axayacatl, la représentation de la chute de Tlatelolco est surmontée de la retranscription phonétique de l'époque (« Tlatilulco »), en écriture latine, du nom de cet altepetl. Tlatelolco est un quartier de Mexico, situé dans la délégation de Cuauhtémoc (DF).
Mobilier funéraireLe mobilier funéraire est constitué de l'ensemble des objets qui sont déposés avec le corps d'un défunt. Le mobilier varie énormément selon les civilisations et selon les époques. Il est associé à des rites, donc à un développement des cultures. À la Préhistoire, le mobilier est avant tout en os. On retrouve des parures faites de dents d'animaux (mâches de cerfs...), d'armes (pointes de silex, micropointes...), d'outils, de fourrures ou de squelettes entiers (cerfs, sangliers, aurochs pendant le Mésolithique puis de grands gibiers et d'espèces domestiques au Néolithique).
ChacChac (également orthographié Chaac ou, en maya classique, Chaahk) est le nom du dieu de la pluie des Mayas et des Toltèques. Avec sa hache de foudre, Chaac frappe les nuages et déclenche le tonnerre et la pluie. Chaac est l’équivalent du dieu Tlaloc chez les Aztèques. Comme d'autres dieux mayas, Chaac est à la fois un et multiple. Quatre Chacs correspondent aux points cardinaux et portent les couleurs de ces directions.
Taranis (mythologie)Taranis est un dieu du Ciel et de l'Orage de la mythologie celtique gauloise. Taranis est principalement connu par une citation du poète latin Lucain. Celui-ci le présente comme formant avec Ésus et Teutatès la triade des dieux les plus importants du panthéon gaulois. Jean Haudry a proposé comme origine étymologique de son nom l'indo-européen *Ten-H-ros dont la signification serait le « maître du tonnerre ». À cette base se rattacheraient également le vieux germanique *Thunraz, le dieu nordique Thor ou encore le dieu hittite de la guerre et de l'orage Tharunt.
BlótLe blót est le sacrifice dans le paganisme nordique pour les dieux de la mythologie nordique et les elfes. Le blót se déroule au cours d'une cérémonie festive mêlant repas gastronomique et rites religieux. Cette pratique du blót se retrouve dans la culture religieuse des peuples germaniques, dans le paganisme anglo-saxon et chez les Celtes. Le dísablót concerne une cérémonie en faveur des femmes déesses et héroïnes telles que les Valkyries. Le verbe blóta signifie culte avec sacrifice animal (souvent un cochon ou un cheval).
MolochMoloch ou Molech est une divinité dont le culte était pratiqué dans la région de Canaan selon la tradition biblique. Il apparaît dans un contexte lié à des sacrifices d'enfants par le feu. Le nom est écrit מֹלֶך dans le texte massorétique de la Bible hébraïque et Μολὸχ dans la Septante grecque. Le nom « Molech » figure neuf fois dans le texte massorétique : cinq fois dans le Lévitique, deux fois dans le livre des Rois, une fois dans le livre de Jérémie et une fois dans le livre de Sophonie [So 1,5].
Religion scythethumb|Collection de dessins de , allant de ca. 600 à 300 Beaucoup d'entre elles représentent des guerriers, et semble-t-il les défunts enterrés dans le kourgane, tenant une corne à boire dans sa main droite. La religion scythe est l'ensemble des récits mythologiques, pratiques rituelles et croyances des Scythes, un des peuples iraniens qui ont occupé la steppe pontique et de la Caspienne dans l'Antiquité classique. Le peu que l'on sait de la religion est tiré de l'ouvrage de l'historien et ethnographe grec du Hérodote.
Sacred kingIn many historical societies, the position of kingship carries a sacral meaning; that is, it is identical with that of a high priest and judge. The concept of theocracy is related, although a sacred king does not need to necessarily rule through his religious authority; rather, the temporal position itself has a religious significance behind it. Sir James George Frazer used the concept of the sacred king in his study The Golden Bough (1890–1915), the title of which refers to the myth of the Rex Nemorensis.