La longueur d'un module M sur un anneau A est un entier naturel ou l'infini. Elle généralise d'une certaine manière la notion de dimension d'un espace vectoriel sur un corps. Les modules de longueur finie ont beaucoup de particularités généralisant celles des espaces vectoriels de dimension finie.
Les modules simples sont les modules M non nuls qui n'ont pas d'autres sous-modules que {0} et M. Par exemple, un espace vectoriel est simple en tant que module si et seulement si c'est une droite vectorielle. Pour un module simple M, la seule suite de sous-modules strictement croissante pour l'inclusion est
Les modules simples constituent en quelque sorte des entités faciles. Si pour un module M on peut trouver une suite strictement croissante de sous-modules :
telle que pour tout entier k de 1 à n, le module quotient soit simple, alors on ne peut pas intercaler de sous-module dans cette suite tout en conservant des inclusions strictes. On dit que le A-module M est de longueur finie et que sa longueur vaut n. Cette longueur concorde avec la définition donnée plus bas.
En particulier si E est un k-espace vectoriel de dimension finie, alors une telle suite est constituée de sous-espaces vectoriels emboîtés dont la dimension croît d'une unité à chaque étape. On parle alors de décomposition de l'espace vectoriel en drapeau et la longueur de E est donc sa dimension.
La longueur d'un module M sur un anneau A, non nécessairement commutatif, est le plus grand entier n tel qu'il existe une suite strictement croissante de sous-modules de M, si un tel maximum existe. Sinon, on dit que la longueur est infinie.
On la note , ou quand il ne fait aucun doute sur l'anneau des scalaires.
Remarque. La loi externe du A-module M est une opération de A qui (entre autres propriétés) fait de M un groupe à opérateurs dans A. La longueur du module M n'est autre que sa longueur comme groupe à opérateurs.
Par définition, les modules simples sont les modules de longueur 1.
Un espace vectoriel est de longueur finie si et seulement s'il est de dimension finie ( supra).
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In algebraic geometry, the Chow groups (named after Wei-Liang Chow by ) of an algebraic variety over any field are algebro-geometric analogs of the homology of a topological space. The elements of the Chow group are formed out of subvarieties (so-called algebraic cycles) in a similar way to how simplicial or cellular homology groups are formed out of subcomplexes. When the variety is smooth, the Chow groups can be interpreted as cohomology groups (compare Poincaré duality) and have a multiplication called the intersection product.
In mathematics, and especially in algebraic geometry, the intersection number generalizes the intuitive notion of counting the number of times two curves intersect to higher dimensions, multiple (more than 2) curves, and accounting properly for tangency. One needs a definition of intersection number in order to state results like Bézout's theorem. The intersection number is obvious in certain cases, such as the intersection of the x- and y-axes in a plane, which should be one.
En mathématiques, on définit pour certaines propriétés la multiplicité d'une valeur ayant cette propriété. Il s'agit en général d'un nombre naturel qui indique « combien de fois » la valeur possède la propriété. Cela est dépourvu de sens en général (on possède une propriété ou on ne la possède pas), mais une interprétation naturelle existe dans certains cas. En général une propriété pour laquelle des multiplicités sont définies détermine un multiensemble de valeurs plutôt qu'un simple ensemble.
In many situations, the data one has access to at test time follows a different distribution from the training data. Over the years, this problem has been tackled by closed-set domain adaptation techniques. Recently, open-set domain adaptation has emerged ...
The field of computational topology has developed many powerful tools to describe the shape of data, offering an alternative point of view from classical statistics. This results in a variety of complex structures that are not always directly amenable for ...
Deformation twinning on a plane is a simple shear that transforms a unit cell attached to the plane into another unit cell equivalent by mirror symmetry or 180 degrees rotation. Thus, crystallographic models of twinning require the determination of the sho ...