Topologie de l'ordreEn mathématiques, la topologie de l'ordre est une topologie naturelle définie sur tout ensemble ordonné (E, ≤), et qui dépend de la relation d'ordre ≤. Lorsque l'on définit la topologie usuelle de la droite numérique R, deux approches équivalentes sont possibles. On peut se fonder sur la relation d'ordre dans R, ou sur la valeur absolue de la distance entre deux nombres. Les égalités ci-dessous permettent de passer de l'une à l'autre : La valeur absolue se généralise en la notion de distance, qui induit le concept de topologie d'un espace métrique.
Méthode de GalerkineEn mathématiques, dans le domaine de l'analyse numérique, les méthodes de Galerkine sont une classe de méthodes permettant de transformer un problème continu (par exemple une équation différentielle) en un problème discret. Cette approche est attribuée aux ingénieurs russes Ivan Boubnov (1911) et Boris Galerkine (1913). Cette méthode est couramment utilisée dans la méthode des éléments finis. On part de la formulation faible du problème. La solution appartient à un espace fonctionnel satisfaisant des propriétés de régularité bien définies.
Connexité simpleEn topologie générale et en topologie algébrique, la notion de simple connexité raffine celle de connexe par arcs. Dans un espace connexe par arcs, deux points quelconques peuvent toujours être reliés par un chemin. Dans un espace simplement connexe, cela est toujours possible d'une et une seule façon, l'unicité étant à comprendre au sens de « à déformation (isotopie) près ». Intuitivement, là où un espace connexe est simplement « d'un seul tenant », un espace simplement connexe est de plus sans « trou » ni « poignée ».
Caractère de contrôleUn caractère de contrôle ou caractère non imprimable, en informatique et en télécommunications, est un point de code d’un jeu de caractères codés qui ne représente pas un symbole. Ces caractères sont notamment utilisés pour la mise en page : saut de page (FF), saut de ligne (LF), retour-chariot (CR), tabulation horizontale (HT), etc. En ASCII, ces caractères sont codés de 0 à 31 (+127) : NULL, BS, CR, LF, HT, DC1, SI, ESC (+DEL)...
Personnage de fictionvignette|droite|upright=1.0|Alice, personnage de fiction emblématique de l'œuvre de Lewis Carroll. Un personnage de fiction est un être imaginaire issu d'une œuvre de fiction. La création et le développement des personnages sont appelés représentation, peinture ou traitement des personnages. vignette|droite|upright=1.0|An actress with a mask, peinture d'Eva Gonzalès. Il correspond à une personne, persona, identité ou entité dont la création tire son origine dans un travail ou un rôle d'œuvre de fiction.
Caractère d'échappementUn caractère d'échappement, en informatique et en télécommunications, est un caractère qui déclenche une interprétation alternative du ou des caractères qui le suivent. Le caractère d'échappement peut : retirer sa valeur spéciale à un caractère. Par exemple, la combinaison \espace dans un nom de fichier permet de traiter l'espace comme un caractère ordinaire et non comme un séparateur ; ajouter une valeur spéciale à un caractère ordinaire. Par exemple \n signifie une nouvelle ligne.
Personnage typeCet article décrit le personnage type, qui constitue un cliché et un modèle pour créer des personnages fictionnels dans l'activité de scénarisation. Leur fonction première, liée à la culture populaire, opposée au développement de personnages plus complexes dans les dramaturgies destinés au public de l'élite (par ex. Phèdre), a été détournée et banalisée à la suite de l'avènement de la culture de masse. L'emploi de personnages type dans les représentations des produits de la culture de masse a un attrait fédérateur : les rôles sont implicitement évoqués par le stéréotype auquel s'identifie le personnage joué.
AssociativitéEn mathématiques, et plus précisément en algèbre générale, une loi de composition interne ou loi interne sur un ensemble E est dite associative si pour tous x, y et z dans E : En notant , l'associativité se traduit par le diagramme commutatif suivant : Parmi les lois associatives, on peut citer les lois d'addition et de multiplication des nombres réels, des nombres complexes et des matrices carrées, l'addition des vecteurs, et l'intersection, la réunion d'ensembles.
Associativité des puissancesEn algèbre, l'associativité des puissances est une forme affaiblie de l'associativité. Un magma est dit associatif des puissances si le sous-magma engendré par n'importe quel élément est associatif. Concrètement, cela signifie que si une opération est effectuée plusieurs fois sur un même élément , l'ordre dans lequel sont effectuées ces opérations n'a pas d'importance ; ainsi, par exemple, . Tout magma associatif est évidemment associatif des puissances.