Espace de suites ℓpEn mathématiques, l'espace est un exemple d'espace vectoriel, constitué de suites à valeurs réelles ou complexes et qui possède, pour 1 ≤ p ≤ ∞, une structure d'espace de Banach. Considérons l'espace vectoriel réel R, c'est-à-dire l'espace des n-uplets de nombres réels. La norme euclidienne d'un vecteur est donnée par : Mais pour tout nombre réel p ≥ 1, on peut définir une autre norme sur R, appelée la p-norme, en posant : pour tout vecteur . Pour tout p ≥ 1, R muni de la p-norme est donc un espace vectoriel normé.
Suite (mathématiques)vignette|Exemple de suite : les points bleus représentent ses termes. En mathématiques, une suite est une famille d'éléments — appelés ses « termes » — indexée par les entiers naturels. Une suite finie est une famille indexée par les entiers strictement positifs inférieurs ou égaux à un certain entier, ce dernier étant appelé « longueur » de la suite. Lorsque tous les éléments d'une suite (infinie) appartiennent à un même ensemble , cette suite peut être assimilée à une application de dans .
Lovász conjectureIn graph theory, the Lovász conjecture (1969) is a classical problem on Hamiltonian paths in graphs. It says: Every finite connected vertex-transitive graph contains a Hamiltonian path. Originally László Lovász stated the problem in the opposite way, but this version became standard. In 1996, László Babai published a conjecture sharply contradicting this conjecture, but both conjectures remain widely open. It is not even known if a single counterexample would necessarily lead to a series of counterexamples.
G-parityIn particle physics, G-parity is a multiplicative quantum number that results from the generalization of C-parity to multiplets of particles. C-parity applies only to neutral systems; in the pion triplet, only π0 has C-parity. On the other hand, strong interaction does not see electrical charge, so it cannot distinguish amongst π+, π0 and π−. We can generalize the C-parity so it applies to all charge states of a given multiplet: where ηG = ±1 are the eigenvalues of G-parity.
Espace tonneléEn analyse fonctionnelle et dans les domaines proches des mathématiques, les espaces tonnelés sont des espaces vectoriels topologiques où tout ensemble tonnelé - ou tonneau - de l'espace est un voisinage du vecteur nul. La raison principale de leur importance est qu'ils sont exactement ceux pour lesquels le théorème de Banach-Steinhaus s'applique. Nicolas Bourbaki a inventé des termes tels que « tonneau » ou espace « tonnelé » (à partir des tonneaux de vin) ainsi que les espaces « bornologiques ».
Décimal codé binaireLe décimal codé binaire (DCB) (binary coded decimal ou BCD en anglais), est un système de numération utilisé en électronique numérique et en informatique pour coder des nombres en se rapprochant de la représentation humaine usuelle, en base 10. Dans ce format, les nombres sont représentés par un ou plusieurs chiffres compris entre 0 et 9, et chacun de ces chiffres est codé sur quatre bits : Chiffre Bits 0 0000 1 0001 2 0010 3 0011 4 0100 5 0101 6 0110 7 0111 8 1000 9 1001 Ainsi, pour coder un nombre tel que 127, il suffit de coder chacun des chiffres 1, 2 et 7 séparément, et l'on obtient la valeur 0001 0010 0111.
Preuve combinatoireIn mathematics, the term combinatorial proof is often used to mean either of two types of mathematical proof: A proof by double counting. A combinatorial identity is proven by counting the number of elements of some carefully chosen set in two different ways to obtain the different expressions in the identity. Since those expressions count the same objects, they must be equal to each other and thus the identity is established. A bijective proof. Two sets are shown to have the same number of members by exhibiting a bijection, i.
Combinatorial principlesIn proving results in combinatorics several useful combinatorial rules or combinatorial principles are commonly recognized and used. The rule of sum, rule of product, and inclusion–exclusion principle are often used for enumerative purposes. Bijective proofs are utilized to demonstrate that two sets have the same number of elements. The pigeonhole principle often ascertains the existence of something or is used to determine the minimum or maximum number of something in a discrete context.