Nombre p-adiquevignette|Les entiers 3-adiques, avec des représentations obtenues par dualité de Pontriaguine. En mathématiques, et plus particulièrement en théorie des nombres, pour un nombre premier fixé, les nombres p-adiques forment une extension particulière du corps des nombres rationnels, découverte par Kurt Hensel en 1897. Le corps commutatif des nombres -adiques peut être construit par complétion de , d'une façon analogue à la construction des nombres réels par les suites de Cauchy, mais pour une valeur absolue moins familière, nommée valeur absolue -adique.
Recouvrement (mathématiques)Un recouvrement d'un ensemble E est une famille (X) d'ensembles dont l'union contient E, c'est-à-dire telle que tout élément de E appartient à au moins l'un des X. Certains auteurs imposent de plus que les X soient des sous-ensembles de E. Dans ce cas, les X forment un recouvrement de E (si et) seulement si leur union est égale à E, et une partition de E s'ils sont de plus non vides et deux à deux disjoints. Par exemple, pour E = {1, 2, 3, 4}, la famille (∅, {1, 2, 3}, {3, 4}) n'est qu'un recouvrement alors que ({1, 2}, {3, 4}) est une partition.
Tuple relational calculusTuple calculus is a calculus that was created and introduced by Edgar F. Codd as part of the relational model, in order to provide a declarative database-query language for data manipulation in this data model. It formed the inspiration for the database-query languages QUEL and SQL, of which the latter, although far less faithful to the original relational model and calculus, is now the de facto standard database-query language; a dialect of SQL is used by nearly every relational-database-management system.
Constante de KhintchineEn théorie des nombres, la constante de Khintchine est la limite, pour presque tout nombre irrationnel, de la moyenne géométrique des premiers coefficients du développement en fraction continue de ce nombre. C'est un résultat démontré par Alexandre Khintchine. On a donc, pour presque tout : Parmi les irrationnels qui n'ont pas cette propriété se trouvent par exemple la racine carrée de 2, celle de 3, le nombre d'or et le nombre e. Parmi les irrationnels qui (si tant est que ces deux dernières soient irrationnelles, ce qu'on ignore).
Constante d'ApéryEn analyse mathématique, la constante d'Apéry est la valeur en 3 de la fonction zêta de Riemann : Elle porte le nom de Roger Apéry, qui a montré en 1978 que ce nombre est irrationnel. On n'en connaît pas de forme fermée. Cette constante était connue avec en 1998, en 2003 et jusqu'à en 2015.
Ordre denseLa notion dordre dense est une notion de mathématiques, en lien avec la notion de relation d'ordre. Un ensemble ordonné (E, ≤) est dit dense en lui-même, ou plus simplement dense, si, pour tout couple (x, y) d'éléments de E tels que x < y il existe un élément z de E tel que x < z < y. Par exemple, tout corps totalement ordonné est dense en lui-même alors que l'anneau Z des entiers relatifs ne l'est pas.
Signe égalvignette|La première utilisation du signe « égal » dans un ouvrage imprimé, équivalente à 14 x + 15 = 71 en notation moderne. Extrait de (1557) de Robert Recorde. Le signe « égal » (), ou « égal à » est un symbole mathématique utilisé pour indiquer l’égalité, ou effectuer une affectation. Le signe « égal » (=) indique, en mathématiques, l'identité entre les expressions qu'il sépare.