Champignon mycorhizien arbusculairevignette|upright=1.5| vignette|upright=1.5| Mycorhizes vésiculaires arbusculaires Un champignon mycorhizien arbusculaire (ou endomycorhizien), ou CMA est un champignon symbiote de nombreuses plantes terrestre, qui produit un type de mycorhize particulier, où le champignon symbiote (champignons AM, ou CMA) pénètre dans les cellules corticales des racines d'une plante vasculaire en formant des arbuscules (à ne pas confondre avec l'ectomycorhize ou la mycorhize éricoïde).
Soil gasSoil gases (soil atmosphere) are the gases found in the air space between soil components. The spaces between the solid soil particles, if they do not contain water, are filled with air. The primary soil gases are nitrogen, carbon dioxide and oxygen. Oxygen is critical because it allows for respiration of both plant roots and soil organisms. Other natural soil gases include nitric oxide, nitrous oxide, methane, and ammonia.
Mycorhizevignette|redresse=1.7|Les filaments mycéliens d'amanite viennent s'agglomérer autour d'un réseau de radicelles pour former un manchon mycélien, appelé manteau fongique. Le manchon de cette ectomycorhize développe vers l'extérieur un réseau constitué d'hyphes, de cordons mycéliens et de rhizomorphes qui explorent le sol jusqu'à plusieurs centimètres de la racine et prélèvent l'eau et les éléments minéraux en accroissant la surface d'échange avec le substrat.
Décomposeurvignette|Cycle de la matière organique : minéralisation et humification. Les décomposeurs sont les êtres vivants participant directement à la décomposition de la matière organique morte (nécromasse) ou des excréments ou excrétats d'êtres vivants. Ils jouent un rôle majeur, nécessaire au recyclage des éléments (minéraux, oligo-éléments...) qui composent la matière organique.
Climax (écologie)vignette|La forêt de Daintree dans le Queensland australien est un exemple de climax en écologie forestière. Dans le domaine de l'écologie, le climax (du grec κλῖμαξ, klĩmax, escalier, échelle, gradation) désigne l'état final d'une succession écologique, l'état le plus stable dans les conditions abiotiques existantes. C'est un état théorique ; en réalité, différents stades de la succession écologique coexistent. Lorsque cet état est atteint, l'énergie et les ressources ne servent théoriquement qu'à maintenir cet état.
Réseau mycorhizienvignette|Le réseau mycorhizien établit un système de « relation sociale ». vignette|upright=1.7|Rôle évolutif et écologique majeur du réseau mycorhizien dans le processus de biométéorisation. vignette|Dans le réseau mycorhizien de l'épinette blanche, conifère commun des forêts mixtes, les hyphes mycéliens (en blanc) prennent la forme de fins filaments capables de recouvrir les racines (en marron) comme un duvet. Un réseau mycorhizien se forme lorsque les racines de deux plantes sont colonisées par un même champignon mycorhizien et reliées entre elles.
Variation clinalethumb|300px|Dans une espèce annulaire, le flux de gènes se produit entre des populations voisines d'une espèce, mais aux extrémités de "l'anneau", les populations ne peuvent pas se croiser. thumb|300px|Les variations des populations interfécondes (ici représentées par des blocs de couleurs) le long d'une cline peuvent suivre une courbe, formant finalement un anneau.
Rapport C/NLe rapport C/N ou rapport massique carbone sur azote est un indicateur qui permet de juger du degré d'évolution de la matière organique, c'est-à-dire de son aptitude à se décomposer plus ou moins rapidement dans le sol. Pour une bonne humification de la matière organique, il est très important que la richesse en carbone et en azote se situe entre certaines valeurs, car la microfaune, la microflore et la microfonge édaphiques, qui agissent dans la décomposition et la minéralisation de la matière organique, nécessitent du carbone comme source d'énergie, et de l'azote en tant qu'intermédiaire dans la synthèse de leurs protéines (comme les humains ont besoin de glucides et de protides pour les mêmes raisons).
Taxon monotypiqueUn taxon monotypique est un taxon qui comporte un seul sous-taxon immédiatement subordonné. Un genre est qualifié de monotypique s'il ne comprend qu'une espèce. Cette espèce est donc le type de son genre. Un tel genre est alors dit unispécifique ou monospécifique. De la même manière, une espèce est dite monotypique si elle ne possède pas de sous-espèce. En général, on n'a établi qu'un seul holotype. Une famille ne comportant qu'un genre, comme les Nepenthaceae ou les Chionididae, est aussi dite monotypique ou, plus précisément monogénérique.
Espèce parapluiethumb|upright=1.3|Protéger le tigre, c'est protéger tout un cortège de biodiversité associée : des proies, des charognards, des commensaux, des décomposeurs et surtout de vastes habitats naturels comme des forêts où des marais. Ainsi les nombreuses réserves de tigres en Inde comptent parmi les principaux et derniers refuges de vie sauvage dans ce pays densément peuplé et anthropisé. Une espèce parapluie ou espèce paravent (umbrella species, en anglais) est, en écologie, une espèce dont l'étendue du territoire ou de la niche écologique permet la protection d'un grand nombre d'autres espèces si celle-ci est protégée.