Interaction biologiquevignette|Diagramme simplifié des six principales interactions biologiques. Une interaction biologique, appelée aussi interaction biotique ou interaction écologique, désigne un processus impliquant des échanges ou relations réciproques entre plusieurs individus ou espèces dans un écosystème (relations interspécifiques), ou entre deux ou plusieurs individus d'une même population (relations intraspécifiques).
Plante médicinalethumb|Fleurs de Salicaire commune. Une plante médicinale est une plante utilisée pour ses propriétés particulières bénéfiques pour la santé humaine, voire animale. D'abord appelées à partir du Moyen Âge en médecine médiévale, elles correspondent aujourd'hui à des produits issus de la phytothérapie traditionnelle ou moderne. La plante est rarement utilisée entière (piloselle).
CultivarUn cultivar est une variété de plante (arbres compris) obtenue en culture, généralement par sélection, pour ses caractéristiques réputées uniques. Il peut s'agir de qualités morphologiques, esthétiques, techniques, de vitesse de croissance (pour les arbres par exemple), d'adaptation à un biotope ou de résistance à certaines maladies. Le terme « cultivar » est synonyme de « variété cultivée » ou « variété horticole », et plus communément « variété ». Mais il est essentiellement différent de la varietas ou variété botanique.
Cycle glutathion-ascorbateredresse=.75|vignette|Cycle glutathion-ascorbate GR : glutathion réductase DHAR : glutathion déshydro-génase à ascorbate MDAR : monodéshydro-ascorbate réductase à NADH APX : L-ascorbate peroxydase Le cycle glutathion-ascorbate est une voie métabolique de détoxication du peroxyde d'hydrogène , un dérivé réactif de l'oxygène issu du métabolisme cellulaire, et notamment des chaînes de transport d'électrons. Ce cycle fait intervenir des antioxydants tels que l'ascorbate, le glutathion et le NADPH, ainsi que les enzymes de liaison à ces métabolites.
Groupe de cultivarsUn groupe de cultivars (dont le nom commence par Groupe) est un rang de la classification dans le cadre du Code international pour la nomenclature des plantes cultivées (Code des plantes cultivées) : Art. 3.1: "catégorie formelle pour des groupes de cultivars, des plantes seules ou des ensembles de plantes, sur la base de ressemblances définies. Le terme « Groupe » (avec l'initiale G en lettre capitale) a été introduit dans l'édition de 2004 du Code des plantes cultivées, en remplacement de « Groupe de cultivars » de la version de 1995.
DismutationLa dismutation est une réaction chimique dans laquelle une espèce joue à la fois le rôle d'oxydant et de réducteur : un atome ou un groupe fonctionnel, initialement présent avec un seul degré d'oxydation, se trouve après la réaction sous la forme de deux espèces, l'une oxydée et l'autre réduite. La réaction d'oxydoréduction inverse s'appelle réaction de médiamutation, antidismutation, rétrodismutation, dédismutation voire amphotérisation redox (réaction entre deux espèces dans lesquelles un atome ou groupe fonctionnel était initialement présent à des degrés d'oxydation différents pour donner une espèce avec un seul degré d'oxydation pour cet élément).
Épidémiologie végétaleL'épidémiologie végétale est une discipline de la pathologie végétale qui étudie le développement des populations d'agents pathogènes au sein de populations de plantes-hôtes. À l'instar des maladies humaines et animales, les maladies des plantes sont provoquées par des agents pathogènes tels que les bactéries, les virus, les champignons phytopathogènes, les oomycètes, les nématodes, les phytoplasmes, les protozoaires et aussi les plantes parasites.
GlycosyltransféraseLes glycosyltransférases (ou glycosyl-transférases, abrégé GT) sont des enzymes avec un numéro E.C. de type 2.4.x.x, qui catalysent le transfert d'un monosaccharide, depuis un sucre activé (donneur), généralement par un phosphate, vers une molécule accepteur (le plus souvent un alcool ou une amine). Le produit d'une telle réaction peut être un oligosaccharide ou un polysaccharide; bien que certaines glycosyltransférases catalysent le transfert de sucres vers un phosphate inorganique, ou les libèrent dans l'eau.