Pivignette|Si le diamètre du cercle est 1, sa circonférence est π. π (pi), appelé parfois constante d’Archimède, est un nombre représenté par la lettre grecque du même nom en minuscule (π). C’est le rapport constant de la circonférence d’un cercle à son diamètre dans un plan euclidien. On peut également le définir comme le rapport de l'aire d'un disque au carré de son rayon. Sa valeur approchée par défaut à moins de 0,5×10 près est en écriture décimale.
Magnitude absolueEn astronomie, la magnitude absolue indique la luminosité intrinsèque d'un objet céleste, au contraire de la magnitude apparente qui dépend de la distance à l'astre et de l'extinction dans la ligne de visée. Pour un objet situé à l'extérieur du Système solaire, elle est définie par la magnitude apparente qu'aurait cet astre s'il était placé à une distance de référence fixée à 10 parsecs (environ 32,6 années-lumière) en l'absence d'extinction interstellaire.
Fraction continue de GaussEn analyse complexe, une fraction continue de Gauss est un cas particulier de fraction continue dérivé des fonctions hypergéométriques. Ce fut l'un des premiers exemples de fractions continues analytiques. Elles permettent de représenter des fonctions élémentaires importantes, ainsi que des fonctions spéciales transcendantes plus compliquées. Lambert a publié quelques exemples de fractions continues généralisées de cette forme en 1768, démontrant entre autres l'irrationalité de π ( § « Applications à F » ci-dessous).
Méson BIn particle physics, B mesons are mesons composed of a bottom antiquark and either an up (_B+), down (_B0), strange (_Strange B0) or charm quark (_Charmed B+). The combination of a bottom antiquark and a top quark is not thought to be possible because of the top quark's short lifetime. The combination of a bottom antiquark and a bottom quark is not a B meson, but rather bottomonium, which is something else entirely. Each B meson has an antiparticle that is composed of a bottom quark and an up (_B-), down (_AntiB0), strange (_Strange antiB0) or charm (_Charmed b-) antiquark respectively.
Brillance de surfaceEn astronomie, la brillance de surface d'un corps céleste étendu comme une galaxie désigne la densité de flux reçue par unité d'angle solide. Elle est souvent mesurée en magnitude par seconde d'arc au carré (). Certains auteurs donnent aussi cette mesure en employant la minute d'arc. Les unités de la brillance de surface sont alors () La mesure de la brillance de surface dans les longueurs d'onde visible, ou dans l'infrarouge, est la photométrie. Le fond du ciel désigne la brillance de surface du ciel.
Parts-per notationIn science and engineering, the parts-per notation is a set of pseudo-units to describe small values of miscellaneous dimensionless quantities, e.g. mole fraction or mass fraction. Since these fractions are quantity-per-quantity measures, they are pure numbers with no associated units of measurement. Commonly used are parts-per-million (ppm, 10−6), parts-per-billion (ppb, 10−9), parts-per-trillion (ppt, 10−12) and parts-per-quadrillion (ppq, 10−15). This notation is not part of the International System of Units (SI) system and its meaning is ambiguous.
Collision (informatique)vignette|Schéma d'une collision entre deux résultats d'une fonction de hachage En informatique, une collision désigne une situation dans laquelle deux données ont un résultat identique avec la même fonction de hachage. Les collisions sont inévitables dès lors que l'ensemble de départ (données fournies) de la fonction de hachage est d'un cardinal strictement supérieur à l'ensemble d'arrivée (empreintes). Ce problème est une déclinaison du principe des tiroirs. La conséquence de ces collisions dépend de leurs applications.
Attaque de collisionsEn cryptographie, une attaque de collisions est une attaque sur une fonction de hachage cryptographique qui tente de trouver deux entrées de cette fonction qui produisent le même résultat (appelé valeur de hachage), c'est-à-dire qui résultent en une collision. Dans une attaque de collisions, contrairement à une (), la valeur de hachage n'est pas précisée.
BELLE (expérience)L’expérience Belle est une expérience de physique des particules menée par la "Collaboration" BELLE, une équipe temporaire internationale de 400 physiciens et ingénieurs, pour la recherche des effets de la violation de symétrie CP, et conduite à l’Organisation de Recherche de l’Accélérateur des hautes Énergies (K2K), à Tsukuba, Préfecture d'Ibaraki, au Japon. Le détecteur Belle est précisément positionné au point de collision de l'accélérateur , un collisionneur à énergie asymétrique électron-antiélectron.
PrésentismeDans la philosophie du temps, le présentisme est la théorie métaphysique selon laquelle seul le présent existe, contrairement au passé et au futur qui n'existent pas. Cette théorie s'oppose directement à l'éternalisme, théorie selon laquelle le passé, le présent et le futur existent tout autant. Le terme est utilisé pour la première fois dans les années 1920 : tout d'abord en 1921 par l'artiste Raoul Haussmann, du mouvement Dada, dans la revue De Stijl. En 1924, le philosophe français Frédéric Paulhan y recourt lui aussi.