Palier de décompressionthumb|Plongeurs lors d'un palier de décompression En plongée sous-marine, un palier de décompression est le temps que l'on passe à une profondeur donnée afin de réduire le taux d'azote ou d'hélium restant dans les tissus humains (sang notamment). Il entre dans le cadre des procédures de décompression en prévention des accidents de décompression (ADD). Sa profondeur et son temps sont donnés par les tables de décompression ou un ordinateur de plongée.
Accident de décompressionOn appelle accident de décompression (ADD) les conséquences immédiates pour la santé de la formation de bulles gazeuses dans le corps à la suite d'une baisse rapide de la pression environnante. Il peut s'agir d'un accident de plongée, mais il survient aussi chez des personnes ayant travaillé dans des caissons en air comprimé, chez des aviateurs en altitude, ou chez des astronautes après une sortie extravéhiculaire. C'est une conséquence de la loi de Henry : la quantité de gaz dissout dans un liquide (ici, l'azote ou hélium dans le sang) est proportionnelle à la pression subie par le liquide.
Ordinateur de plongéeUn ordinateur de plongée permet d'optimiser son temps de plongée en calculant automatiquement la décompression à réaliser par le plongeur. Le calcul de décompression par les tables de décompression (MN90, PADI, etc.) consiste à modéliser une plongée « rectangulaire ». C’est-à-dire que les tables considèrent qu'entre le moment où le plongeur a entamé sa descente et le moment où il va entamer sa remontée, il est resté à la profondeur maximale atteinte sur l'intervalle.
Évaluation formativeLes concepts d’évaluation formative et sommative ont été apportés par Michael Scriven en 1967, dans le contexte de l’évaluation de programmes éducatifs (curriculum evaluation). Pour Scriven, une évaluation formative devait permettre à un établissement scolaire d’estimer la capacité de ses programmes scolaires à atteindre leurs objectifs, de façon à guider les choix de l’école pour les améliorer progressivement, au contraire d’une évaluation sommative qui cherche à poser un jugement final sur les programmes : « marchent-ils » ou pas ? Et en conséquence, faut-il les maintenir, les étendre ou les abandonner ? Benjamin Bloom reprend dans les années suivantes cette distinction pour l’appliquer au processus d’apprentissage, notamment dans son ouvrage Handbook on formative and summative evaluation of student learning.
Évaluation sommativeLes concepts d’évaluation sommative et formative ont été apportés par Michael Scriven en 1967. Selon Scriven, une évaluation formative devait permettre à un établissement scolaire d’estimer la capacité de ses programmes scolaires à atteindre leurs objectifs, de façon à guider les choix de l’école pour les améliorer progressivement, au contraire d’une évaluation sommative qui cherche à poser un jugement final sur les programmes : « marchent-ils » ou pas ? Et en conséquence, faut-il les maintenir, les étendre ou les abandonner ? Pour Scriven, toutes les techniques d’évaluation peuvent être sommatives, mais seules certaines sont formatives.
Electronic assessmentElectronic assessment, also known as digital assessment, e-assessment, online assessment or computer-based assessment, is the use of information technology in assessment such as educational assessment, health assessment, psychiatric assessment, and psychological assessment. This covers a wide range of activities ranging from the use of a word processor for assignments to on-screen testing. Specific types of e-assessment include multiple choice, online/electronic submission, computerized adaptive testing such as the Frankfurt Adaptive Concentration Test, and computerized classification testing.
Educational assessmentEducational assessment or educational evaluation is the systematic process of documenting and using empirical data on the knowledge, skill, attitudes, aptitude and beliefs to refine programs and improve student learning. Assessment data can be obtained from directly examining student work to assess the achievement of learning outcomes or can be based on data from which one can make inferences about learning. Assessment is often used interchangeably with test, but not limited to tests.
Naturalisme (philosophie)En philosophie, le naturalisme est la conception d'après laquelle tout ce qui existe – objets et événements – peut être expliqué par des causes ou des principes naturels. Écartant toute forme de transcendance, le naturalisme conçoit l'activité philosophique dans le prolongement de l'activité scientifique. Le naturalisme ne doit être confondu ni avec le matérialisme, ni avec la Naturphilosophie de l'idéalisme allemand qui, au début du , prétendait donner une explication métaphysique à l'évolution du monde.
Théorie synthétique de l'évolutionvignette|Julian Huxley nomme cette théorie théorie synthétique en 1942 (image 1922). La (ou TSE) est une théorie darwinienne de l'évolution basée sur la sélection naturelle de variations aléatoires du génome. Elle est aussi appelée synthèse néodarwinienne, théorie néodarwinienne de l'évolution ou plus simplement néodarwinisme. Cette théorie est une synthèse de diverses théories biologiques du et du début du , dont les lois de Mendel, la génétique des populations et la sélection naturelle.
Extended evolutionary synthesisThe extended evolutionary synthesis consists of a set of theoretical concepts argued to be more comprehensive than the earlier modern synthesis of evolutionary biology that took place between 1918 and 1942. The extended evolutionary synthesis was called for in the 1950s by C. H. Waddington, argued for on the basis of punctuated equilibrium by Stephen Jay Gould and Niles Eldredge in the 1980s, and was reconceptualized in 2007 by Massimo Pigliucci and Gerd B. Müller. Notably, Dr.