Principe de relativitéLe principe de relativité affirme que les lois physiques s'expriment de manière identique dans tous les référentiels inertiels : les lois sont « invariantes par changement de référentiel inertiel ». Cela implique que pour deux expériences préparées de manière identique dans deux référentiels inertiels, les mesures faites sur l'une et l'autre dans leur référentiel respectif sont identiques : si je laisse tomber une balle, je constate la même trajectoire, que je réalise l'expérience sur le quai d'une gare ou dans un train en mouvement rectiligne uniforme.
Courbure scalaireEn géométrie riemannienne, la courbure scalaire (ou scalaire de Ricci) est un des outils de mesure de la courbure d'une variété riemannienne. Cet invariant riemannien est une fonction qui affecte à chaque point m de la variété un simple nombre réel noté R(m) ou s(m), portant une information sur la courbure intrinsèque de la variété en ce point. Ainsi, on peut décrire le comportement infinitésimal des boules et des sphères centrées en m à l'aide de la courbure scalaire.
Raychaudhuri equationIn general relativity, the Raychaudhuri equation, or Landau–Raychaudhuri equation, is a fundamental result describing the motion of nearby bits of matter. The equation is important as a fundamental lemma for the Penrose–Hawking singularity theorems and for the study of exact solutions in general relativity, but has independent interest, since it offers a simple and general validation of our intuitive expectation that gravitation should be a universal attractive force between any two bits of mass–energy in general relativity, as it is in Newton's theory of gravitation.
Constante de KhintchineEn théorie des nombres, la constante de Khintchine est la limite, pour presque tout nombre irrationnel, de la moyenne géométrique des premiers coefficients du développement en fraction continue de ce nombre. C'est un résultat démontré par Alexandre Khintchine. On a donc, pour presque tout : Parmi les irrationnels qui n'ont pas cette propriété se trouvent par exemple la racine carrée de 2, celle de 3, le nombre d'or et le nombre e. Parmi les irrationnels qui (si tant est que ces deux dernières soient irrationnelles, ce qu'on ignore).
Lambdavacuum solutionIn general relativity, a lambdavacuum solution is an exact solution to the Einstein field equation in which the only term in the stress–energy tensor is a cosmological constant term. This can be interpreted physically as a kind of classical approximation to a nonzero vacuum energy. These are discussed here as distinct from the vacuum solutions in which the cosmological constant is vanishing. Terminological note: this article concerns a standard concept, but there is apparently no standard term to denote this concept, so we have attempted to supply one for the benefit of Wikipedia.
Nordström's theory of gravitationIn theoretical physics, Nordström's theory of gravitation was a predecessor of general relativity. Strictly speaking, there were actually two distinct theories proposed by the Finnish theoretical physicist Gunnar Nordström, in 1912 and 1913 respectively. The first was quickly dismissed, but the second became the first known example of a metric theory of gravitation, in which the effects of gravitation are treated entirely in terms of the geometry of a curved spacetime.
Introduction aux mathématiques de la relativité généraleLes mathématiques de la relativité générale sont complexes. Dans la théorie du mouvement de Newton, la longueur d'un objet et la vitesse à laquelle le temps s'écoule restent constantes même lorsque l'objet accélère. Cela signifie que de nombreux problèmes de mécanique newtonienne peuvent être résolus uniquement en utilisant l'algèbre. Mais en relativité, la longueur d'un objet et la vitesse à laquelle le temps s'écoule changent sensiblement à mesure que la vitesse de l'objet se rapproche de la vitesse de la lumière.
Congruence (variété différentielle)En relativité générale, le terme de congruence désigne un ensemble de courbes ne s'intersectant pas, susceptibles de représenter un flot géodésique de particules se déplaçant sur une variété différentielle. Dans un ouvert O d'une variété différentielle M, une congruence sur O est une famille de courbes telles que par tout point p de O il passe une et une seule courbe de la famille. Du fait de la définition, on peut associer à une congruence un champ de vecteurs sur O défini comme étant les tangentes des courbes prises au point considéré.
Diagramme de Penrose-Cartervignette|droite|250px|Diagramme de Penrose d'un espace de Minkowski infini. Deux dimensions d'espace ont été éliminées et la dimension (spatiale) infinie est représentée sur un segment (fini) horizontal. L'axe temporel est vertical. Un diagramme de Penrose-Carter est un diagramme bidimensionnel utilisé, en relativité générale, pour faciliter l'étude des propriétés causales d'un espace-temps.
Variété hyperboliquethumb|Une projection en perspective d'un pavage dodécahédrique dans H3. C'est un exemple de ce qu'un observateur pourrait observer à l'intérieur d'une 3-variété hyperbolique thumb|La pseudosphère : chaque moitié de cette forme est une surface hyperbolique à bord. En mathématiques, une variété hyperbolique est un espace dans lequel chaque point apparaît localement comme d'une certaine dimension. Ces variétés sont spécifiquement étudiées en dimensions 2 et 3, où elles sont appelées respectivement surfaces de Riemann et .