GoniomètreUn goniomètre est un appareil ou un capteur servant à mesurer les angles. Le goniomètre a été inventé vers 1780 par le minéralogiste français Arnould Carangeot (1742-1806). vignette|Raies spectrales du mercure à travers un réseau de diffraction, observées dans un goniomètre optique. En optique, le goniomètre est utilisé pour déterminer la déviation d'un rayon lumineux par un dispositif optique (par exemple un prisme ou un réseau de diffraction). Le goniomètre comporte une partie fixe, sur laquelle est montée une partie mobile portant une lunette de visée.
AutosimilaritéL'autosimilarité est le caractère d'un objet dans lequel on peut trouver des similarités en l'observant à différentes échelles. Une définition simplifiée, faisant appel à l'intuition, pourrait être : un objet autosimilaire est un objet qui conserve sa forme, quelle que soit l'échelle à laquelle on l'observe. La définition mathématique, formelle et rigoureuse, dépend du contexte. L’expression autosimilaire n’est pas encore reconnue par l’Académie française.
Informatique durableLinformatique durable, linformatique verte, le numérique éco-responsable, ou encore le green IT (appellation officielle en français : éco-TIC) est un ensemble de techniques visant à réduire l’empreinte sociale, économique et environnementale du numérique. Dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC), elle conçoit ou recourt à des écotechniques afin de diminuer les impacts que les TIC font subir à l'environnement au cours de leur cycle de vie.
Dispersion (mécanique ondulatoire)vignette|Dispersion de la lumière blanche au passage d'un dioptre. En mécanique ondulatoire, la dispersion est le phénomène affectant une onde se propageant dans un milieu dit « dispersif », c'est-à-dire dans lequel les différentes longueurs d’onde constituant l'onde ne se propagent pas à la même vitesse. On rencontre ce phénomène pour tous types d'ondes, comme la lumière, le son et les ondes mécaniques (vagues, séismes, etc.). À l'exception du vide, tous les milieux sont dispersifs à des degrés divers.
Toiture végétalevignette|upright=1.0|Bøur, aux îles Féroé. vignette|upright=1.0|Toiture extensive de sédums, utile et pédagogique, centre d'interprétation de la Nature, parc national De Biesbosch, Pays-Bas. vignette|upright=1.0|Norðragøta (îles Féroé). vignette|upright=1.0|Reconstitution d'habitations Vikings au Labrador. vignette|upright=1.0|L'architecture militaire pour des raisons de camouflage ou de protection contre les obus a utilisé la terre et la végétation en couverture vignette|upright=1.
Espace vertvignette|Petit espace vert à Comberton dans le Cambridgeshire (Royaume-Uni). La municipalité a installé un banc pour jouir de la vue de la mare. vignette|Le jardin « historique » de a été créé en 1638, il est, depuis, parfaitement préservé en tant que cœur de la première ville dont l'urbanisme a été planifié aux États-Unis. Un espace vert désigne, en urbanisme, tout espace d'agrément végétalisé (engazonné, arboré, éventuellement planté de fleurs et d'arbres et buissons d'ornement, et souvent garni de pièces d'eau et cheminements).
Îlot de chaleur urbainLes îlots de chaleur urbains (ICU en abrégé) sont des élévations localisées des températures, particulièrement des températures maximales diurnes et nocturnes, enregistrées en milieu urbain par rapport aux zones rurales ou forestières voisines ou par rapport aux températures moyennes régionales. Ce dôme thermique créant une sorte de serait compris et décrit pour la première fois au à Londres par Luke Howard, un pharmacien passionné par la météorologie qui publie en 1818-1820 The Climate of London en deux volumes, dans lequel il note une différence des températures diurnes de et nocturnes de l'ordre de entre le centre de Londres et sa campagne.