Vibrationthumb Une vibration est un mouvement d'oscillation mécanique autour d'une position d'équilibre stable ou d'une trajectoire moyenne. La vibration d'un système peut être libre ou forcée. Tout mouvement vibratoire peut être défini par les caractéristiques suivantes : un degré de liberté ; deux ou plusieurs degrés de liberté ; Une masse libre dans l'espace a naturellement six degrés de liberté : trois translations (notées Tx, Ty, Tz) ; trois rotations (notées Rx, Ry, Rz).
Base (algèbre linéaire)vignette|Le même vecteur peut être représenté dans deux bases différentes (flèches violettes et rouges). En mathématiques, une base d'un espace vectoriel V est une famille de vecteurs de V linéairement indépendants et dont tout vecteur de V est combinaison linéaire. En d'autres termes, une base de V est une famille libre de vecteurs de V qui engendre V. alt=|vignette|upright=2|. La géométrie plane, celle d'Euclide, peut comporter une approche algébrique, celle de Descartes.
Clivage du MoiLe clivage du moi (en Ichspaltung) est la séparation du Moi en deux parties qui coexistent dans le Moi : l'une, correspondant à la réalité extérieure à satisfaire, contrarie l'exigence pulsionnelle de l'autre. D'après le Vocabulaire de la psychanalyse, le terme « clivage du Moi » désigne un phénomène que Sigmund Freud observe surtout dans le fétichisme et la psychose : . Tandis que l'une des parties tient compte de la réalité, l'autre dénie la réalité en cause pour la remplacer par une : les deux attitudes persistent ensemble et ne s'influencent pas réciproquement.
Riesz spaceIn mathematics, a Riesz space, lattice-ordered vector space or vector lattice is a partially ordered vector space where the order structure is a lattice. Riesz spaces are named after Frigyes Riesz who first defined them in his 1928 paper Sur la décomposition des opérations fonctionelles linéaires. Riesz spaces have wide-ranging applications. They are important in measure theory, in that important results are special cases of results for Riesz spaces. For example, the Radon–Nikodym theorem follows as a special case of the Freudenthal spectral theorem.