Woodbury matrix identityIn mathematics (specifically linear algebra), the Woodbury matrix identity, named after Max A. Woodbury, says that the inverse of a rank-k correction of some matrix can be computed by doing a rank-k correction to the inverse of the original matrix. Alternative names for this formula are the matrix inversion lemma, Sherman–Morrison–Woodbury formula or just Woodbury formula. However, the identity appeared in several papers before the Woodbury report.
Polynôme symétriqueEn mathématiques, un polynôme symétrique est un polynôme en plusieurs indéterminées, invariant par permutation de ses indéterminées. Ils jouent notamment un rôle dans les relations entre coefficients et racines. Soit A un anneau commutatif unitaire. Un polynôme Q(T, ..., T) en n indéterminées à coefficients dans A est dit symétrique si pour toute permutation s de l'ensemble d'indices {1, ..., n}, l'égalité suivante est vérifiée : Exemples Pour n = 1, tout polynôme est symétrique.
Nesting (computing)In computing science and informatics, nesting is where information is organized in layers, or where objects contain other similar objects. It almost always refers to self-similar or recursive structures in some sense. Nesting can mean: nested calls: using several levels of subroutines recursive calls nested levels of parentheses in arithmetic expressions nested blocks of imperative source code such as nested if-clauses, while-clauses, repeat-until clauses etc.
Linear fractional transformationIn mathematics, a linear fractional transformation is, roughly speaking, an invertible transformation of the form The precise definition depends on the nature of a, b, c, d, and z. In other words, a linear fractional transformation is a transformation that is represented by a fraction whose numerator and denominator are linear. In the most basic setting, a, b, c, d, and z are complex numbers (in which case the transformation is also called a Möbius transformation), or more generally elements of a field.
Identités de NewtonEn mathématiques, et plus particulièrement en algèbre, les identités de Newton (connues également sous le nom de formules de Newton-Girard) sont des relations entre deux types de polynômes symétriques, les polynômes symétriques élémentaires, et les sommes de Newton, c'est-à-dire les sommes de puissances des indéterminées. Évaluées aux racines d'un polynôme P à une variable, ces identités permettent d'exprimer les sommes des k-ièmes puissances de toutes les racines de P (comptées avec leur multiplicité) en fonction des coefficients de P, sans qu'il soit nécessaire de déterminer ces racines.
Dîner des philosophesLe problème du « dîner des philosophes » est un cas d'école classique sur le partage de ressources en informatique système. Il concerne l'ordonnancement des processus et l'allocation des ressources à ces derniers et a été énoncé par Edsger Dijkstra. vignette|Illustration du problème La situation est la suivante: Cinq philosophes (initialement, mais il peut y en avoir beaucoup plus) se trouvent autour d'une table; Chacun des philosophes a devant lui un plat de spaghettis; À gauche de chaque plat de spaghettis se trouve une fourchette.
Lemme de HenselEn mathématiques, le lemme de Hensel, est un résultat permettant de déduire l'existence d'une racine d'un polynôme à partir de l'existence d'une solution approchée. Il doit son nom au mathématicien du début du Kurt Hensel. Sa démonstration est analogue à celle de la méthode de Newton. La notion d'anneau hensélien regroupe les anneaux dans lesquels le lemme de Hensel s'applique. Les exemples les plus usuels sont Z (l'anneau des entiers p-adiques, pour p un nombre premier) et k[[t]] (l'anneau des séries formelles sur un corps k) ou plus généralement, les anneaux de valuation discrète complets.
Problème des 15 écolièresvignette|upright=2| Publication originale du problème. À gauche la couverture du journal, à droite l'énoncé du problème : Query VI. En mathématiques récréatives, le problème des 15 écolières est un problème formulé par Thomas Kirkman en 1850. Il s'énonce comme suit : « Fifteen young ladies in a school walk out three abreast for seven days in succession: it is required to arrange them daily, so that no two shall walk twice abreast.
Sleeping barber problemIn computer science, the sleeping barber problem is a classic inter-process communication and synchronization problem that illustrates the complexities that arise when there are multiple operating system processes. The problem was originally proposed in 1965 by computer science pioneer Edsger Dijkstra, who used it to make the point that general semaphores are often superfluous. Imagine a hypothetical barbershop with one barber, one barber chair, and a waiting room with n chairs (n may be 0) for waiting customers.