Membrane (biologie)thumb|350px|Fig 1. Schéma d'une cellule animale type. Organites : (1) Nucléole (2) Noyau (3) Ribosomes (4) Vésicule (5) Réticulum endoplasmique rugueux (ou granuleux) (REG) (6) Appareil de Golgi (7) Cytosquelette (8) Réticulum endoplasmique lisse (9) Mitochondries (10) Vacuole (11) Cytosol (12) Lysosome (13) Centrosome (constitué de deux centrioles) (14) Membrane plasmique La membrane, en biologie cellulaire, est un assemblage de molécules en un double feuillet séparant la cellule de son environnement et délimitant le cytoplasme cellulaire, ainsi que les organites à l'intérieur de celui-ci.
Salivary gland diseaseSalivary gland diseases (SGDs) are multiple and varied in cause. There are three paired major salivary glands in humans: the parotid glands, the submandibular glands, and the sublingual glands. There are also about 800–1,000 minor salivary glands in the mucosa of the mouth. The parotid glands are in front of the ears, one on side, and secrete mostly serous saliva, via the parotid ducts (Stenson ducts), into the mouth, usually opening roughly opposite the second upper molars.
Lung budThe lung bud sometimes referred to as the respiratory bud forms from the respiratory diverticulum, an embryological endodermal structure that develops into the respiratory tract organs such as the larynx, trachea, bronchi and lungs. It arises from part of the laryngotracheal tube. In the fourth week of development, the respiratory diverticulum, starts to grow from the ventral (front) side of the foregut into the mesoderm that surrounds it, forming the lung bud.
Glande parotideLa glande parotide est la plus volumineuse des glandes salivaires principales chez la plupart des animaux. Chez l'humain, ce sont des glandes paires, localisées de chaque côté de la bouche, en avant de l'oreille, pesant de . Comme les autres glandes salivaires, elle a un rôle de production exocrine de salive, qui est excrétée dans la bouche pour faciliter la mastication, la déglutition et débuter la digestion du bol alimentaire.
Épithélium intestinalvignette|Structure schématique d'une villosité intestinale. Les entérocytes proviennent des cellules souches indifférenciées localisées dans les cryptes (4 à 6 par cryptes). L'épithélium intestinal est la couche de cellules qui recouvre les villosités de l'intérieur de l'intestin et qui fait la liaison entre l'intérieur de l'intestin et l'intérieur de l'organisme. Cet épithélium est de type prismatique unistratifié (ou simple) à plateau strié.
Épithéliumvignette|350px|Types d'épithéliums. Les épithéliums sont des tissus constitués de cellules étroitement juxtaposées (ou jointives), sans interposition de fibres ou de substance fondamentale (en microscopie optique, ce qui les distingue des tissus conjonctifs). Les cellules sont associées les unes aux autres grâce à des jonctions intercellulaires. Les épithéliums ne sont pas vascularisés, à l'exception des stries vasculaires (cochlée, production de l'endolymphe).
Bronchethumb|upright=2|Poumons humains : On appelle bronche un conduit qui apporte l'air riche en dioxygène depuis l'extérieur du corps dans les poumons. Cet organe est typique des vertébrés. Chez les mammifères, il y a deux ou trois bronches souches qui partent de la base de la trachée (au niveau de la carène trachéale, dans le médiastin), chacune d'entre elles plongeant dans le poumon droit ou gauche. Elles se prolongent dans les poumons par de nombreuses ramifications appelées bronches primaires (souches), secondaires (lobaires) et tertiaires (segmentaires), suivies par les bronchioles après un certain nombre de divisions.
Appareil respiratoirevignette|Appareil respiratoire humain L'appareil respiratoire, appelé aussi système respiratoire, est l'ensemble des organes de l'organisme qui permet d'acheminer le dioxygène () de l’extérieur (air ou eau) vers les cellules et d'éliminer le dioxyde de carbone () produit durant la respiration cellulaire. Car pour produire de l’énergie, les cellules utilisent de l' et rejettent du . Ces cellules n'ont souvent pas d’accès direct à l', car elles sont enfouies dans le corps.
Bactérie de forme LHabituellement, les bactéries possèdent une paroi qui joue un rôle majeur pour leur intégrité (contrôle de la pression osmotique interne), protection (contre les UV, la déshydratation, les oxydants, etc.), et pour leur reproduction (par scissiparité) ; le squelette externe d'une bactérie représente habituellement de 25 à 35 % de son poids total. Les bactéries de « forme L » sont des souches de bactéries ne présentant pas de parois cellulaires ou une paroi quasi inexistante.
Réhabilitation respiratoireLa réhabilitation respiratoire est une technique médicale qui s'adresse à l'ensemble des malades atteints de pathologies respiratoires chroniques (insuffisance respiratoire, broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), bronchite chronique, emphysème, asthme, dilatations des bronches, syndrome d'apnée du sommeil, etc.). Cette méthode s'inscrit dans la durée et nécessite le savoir-faire d'une équipe pluridisciplinaire. Son efficacité a été essentiellement démontrée pour la BPCO dans ses formes modérées et sévères.