Écologie forestièreL'écologie forestière est la branche de l'écologie qui étudie les forêts de la planète. L'écologie forestière cherche à comprendre notamment les effets de la déforestation, de la fragmentation forestière et de diverses formes de modification, surexploitation, artificialisation ou destructions de forêt. Ils s'appuient notamment sur les typologies forestières, la phytosociologie, les associations typiquement forestières, les espèces bio indicatrices (qui peuvent être aussi modestes que par exemple les collemboles), et donc la biodiversité de la forêt et en particulier de la flore forestièreRameau, J.
Niche écologiqueLa niche écologique est un des concepts théoriques de l'écologie. Il traduit à la fois : La « position » occupée par un organisme, une population ou plus généralement une espèce dans un écosystème ; La somme des conditions nécessaires à une population viable de cet organisme. La description d'une telle niche se fait sur la base de deux types de paramètres : Des paramètres physico-chimiques caractérisant les milieux où évolue l'organisme (et parfois significativement modifiés par cet organisme) ; Des paramètres biologiques, incluant les relations avec les espèces avoisinantes et la modification de l'habitat par l'organisme et la communauté d'espèces dans laquelle il s'inscrit (interactions durables).
Espèce introduitevignette|300px|Le blé Triticum est une espèce originaire de Mésopotamie introduite dans le monde entier. On qualifie d'espèce introduite une population identifiée/isolée d'une espèce donnée -- qu'elle soit présente ou maintenue présente artificiellement (espèces domestiquées, espèces « adventives ») en cours de naturalisation ou déjà naturalisée -- dans un territoire donnée, considérant qu'elle n'est pas une espèce indigène dudit territoire mais y a été importée par une intervention humaine (délibérée ou non).
ColeopteraLes coléoptères (Coleoptera) sont un ordre d'insectes holométaboles dotés d'élytres protégeant leurs ailes. Le mot « coléoptère » vient du grec « fourreau » et « aile ». Il s'agit de l'ordre animal qui comporte le plus grand nombre d'espèces décrites (près de décrites en 2015 mais le nombre total, basé sur des estimations statistiques, est évalué à 1,5 million d'espèces). Beaucoup d'espèces ou de groupes d'espèces ont des noms vernaculaires bien implantés ; les scarabées, les coccinelles, les lucanes, les chrysomèles, les hannetons, les charançons, les carabes, les leptures, par exemple, sont des coléoptères.
Espèce en dangervignette|Symbole « en danger » de la liste rouge de l'UICN. En biologie et écologie, l'expression « espèce en danger » s'applique à toute espèce risquant de disparaître à court ou moyen terme. Selon le congrès mondial de l'UICN de septembre 2016, , ce qu'un article du 10 août, dans la revue Nature traduit sous le titre « Les ravages des fusils, des filets et des bulldozers » aussi qualifiés de grands tueurs parmi les facteurs de régression de animales et végétales évaluées et classées en 2016 comme menacées ou quasi menacées de disparition sur la liste rouge de l'UICN.
Complexe d'espècesthumb|Un champignon du genre Stereum, près de Mörfelden-Walldorf, Hesse (Allemagne). Dans le complexe d'espèces Stereum hirsutum–Stereum ostrea, seul un examen microscopique permet de déterminer quel individu appartient à quelle espèce.En biologie, un complexe d'espèces est un groupe d'organismes étroitement apparentés qui sont si semblables en apparence que les limites entre eux (permettant de les distinguer les uns des autres) sont souvent peu évidentes.
Empreinte écologiquethumb|L'économie de subsistance, outre le fait qu'elle rend direct le calcul portant sur les surfaces agricoles employées, pèse peu vis-à-vis de l'empreinte écologique. 400px|thumb|Excédent ou déficit écologique national (2013). L'empreinte écologique ou empreinte environnementale est un indicateur et un mode d'évaluation environnementale qui comptabilise la pression exercée par les humains envers les ressources naturelles et les « services écologiques » fournis par la nature.
Espèce reliquethumb|Le Chioglosse portugais, une espèce de la forêt caducifoliée européenne qui s'est réfugiée dans le nord-ouest de la péninsule Ibérique durant les glaciations du Pléistocène, et qui n'en est pas sorti depuis. En biologie, une espèce relique est une espèce dont l'aire de répartition est très limitée en comparaison de sa dimension dans des temps plus anciens, ou qui témoigne d'un taxon plus diversifié et répandu dans le passé lointain. L'épithète relique vient du latin reliquiae, les restes, les survivants, du verbe relinquere, laisser derrière soi.
Forêt de varechUne forêt de varech (kelp forest en anglais) est une zone sous-marine densément peuplée de varech, des macroalgues brunes poussant dans des eaux de climats tempérés et arctiques, sur des substrats solides, tels que des substrats rocheux. Le varech, notamment par sa taille imposante, procure un habitat unique à bon nombre d'espèces marines. Certaines de ces zones figurent parmi les écosystèmes les plus productifs et diversifiés de la planète.
SuisseLa Suisse, en forme longue la Confédération suisse, est un pays d'Europe centrale et, selon certaines définitions, de l'Ouest, formé de , avec Berne pour capitale de facto. La Suisse est bordée par l'Allemagne au nord, l'Autriche et le Liechtenstein à l'est-nord-est, l'Italie au sud et au sud-est et la France à l'ouest. C'est un pays sans littoral, dont le Rhin constitue l’unique accès direct à la mer, sécurisé par des traités internationaux. La superficie de la Suisse est de .