Problems involving arithmetic progressionsProblems involving arithmetic progressions are of interest in number theory, combinatorics, and computer science, both from theoretical and applied points of view. Find the cardinality (denoted by Ak(m)) of the largest subset of {1, 2, ..., m} which contains no progression of k distinct terms. The elements of the forbidden progressions are not required to be consecutive. For example, A4(10) = 8, because {1, 2, 3, 5, 6, 8, 9, 10} has no arithmetic progressions of length 4, while all 9-element subsets of {1, 2, .
Fonction caractéristique (théorie des ensembles)En mathématiques, une fonction caractéristique, ou fonction indicatrice, est une fonction définie sur un ensemble E qui explicite l’appartenance ou non à un sous-ensemble F de E de tout élément de E. Formellement, la fonction caractéristique d’un sous-ensemble F d’un ensemble E est une fonction : D'autres notations souvent employées pour la fonction caractéristique de F sont 1 et 1, voire I (i majuscule). Le terme de fonction indicatrice est parfois utilisé pour fonction caractéristique.
Mixing (mathematics)In mathematics, mixing is an abstract concept originating from physics: the attempt to describe the irreversible thermodynamic process of mixing in the everyday world: e.g. mixing paint, mixing drinks, industrial mixing. The concept appears in ergodic theory—the study of stochastic processes and measure-preserving dynamical systems. Several different definitions for mixing exist, including strong mixing, weak mixing and topological mixing, with the last not requiring a measure to be defined.
Mesure imageEn théorie de la mesure, la mesure image est une mesure définie sur un espace mesurable et transférée sur un autre espace mesurable via une fonction mesurable. On se donne deux espaces mesurables et , une application mesurable et une mesure . La mesure image de μ par f est une mesure sur notée et définie par : Cette définition s'applique également aux mesures complexes signées. La formule de changement de variables est l'une des principales propriétés : Une fonction g sur X est intégrable par rapport à la mesure image fμ si et seulement si la fonction composée g∘ f est intégrable par rapport à la mesure μ.
Suite d'entiersEn mathématiques, une suite d'entiers est une séquence (c'est-à-dire une succession ordonnée) de nombres entiers. Une suite d'entiers peut être précisée explicitement en donnant une formule pour son n-ième terme générique, ou implicitement en donnant une relation entre ses termes. Par exemple la suite de Fibonacci (0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, ...) peut être définie : implicitement, par récurrence : ; explicitement, par la formule de Binet : .
Suite harmoniqueEn mathématiques, une suite harmonique est une suite dont chaque terme est la moyenne harmonique des termes précédent et suivant. Une condition équivalente est que son inverse soit une suite arithmétique. Une suite harmonique est une suite réelle telle qu'il existe un nombre appelé raison pour lequel : vignette|250x250px soit : Il s'agit donc d'une suite homographique. Par exemple pour , la suite prend les valeurs 12, 6, 4, 3, 12/5, 2, 12/7,... , suite visualisée ci-contre. En notant : Dans l'exemple précédent, .
Types de donnée du langage CLes types de donnée du langage C définissent les caractéristiques de stockage et les opérations disponibles pour chaque valeur et chaque variable d'un code source en langage C. Les types fondamentaux du langage C sont conçus pour pouvoir correspondre aux types supportés par l'architecture de processeur cible. Le langage C possède une vingtaine de types fondamentaux pour représenter des nombres naturels, entiers et réels. Le langage offre une syntaxe pour construire des types d'adresse mémoire (pointeurs) vectoriels (tableaux) et composés (structures).
Tao (culture)Tao est un terme de philosophie chinoise (en caractère chinois 道, dào signifiant « Être suprême, voie, chemin » ; prononciation en pinyin de mandarin : dào, en shanghaien : do ; prononcé dō ou tō en japonais et do (도) en coréen). Le tao est la « Mère du monde », le principe qui engendre tout ce qui existe, la force fondamentale qui coule en toutes choses de l’univers. C'est l’essence même de la réalité et par nature ineffable et indescriptible. Il est représenté par le taìjítú, symbole représentant l’unité au-delà de la dualité yin-yang.
Théorème des restes chinoisEn mathématiques, le théorème des restes chinois est un résultat d'arithmétique modulaire traitant de résolution de systèmes de congruences. Ce résultat, initialement établi pour Z/nZ, se généralise en théorie des anneaux. Ce théorème est utilisé en théorie des nombres. vignette|Exemple de Sun Zi : il y a 23 objets. La forme originale du théorème apparait sous forme de problème dans le livre de Sun Zi, le , datant du . Il est repris par le mathématicien chinois Qin Jiushao dans son ouvrage le Shùshū Jiǔzhāng (« Traité mathématique en neuf chapitres ») publié en 1247.
Transformations de GaliléeEn physique, une transformation de Galilée correspond aux formules de transformations des coordonnées spatiales et temporelle entre deux référentiels galiléens donnés. Tout référentiel en mouvement de translation rectiligne et uniforme par rapport à un référentiel donné supposé galiléen, est lui-même galiléen. Une telle transformation laisse invariantes les équations de la mécanique newtonienne, mais pas celles de la dynamique relativiste ou les équations de Maxwell.