Théorie économique des droits de propriétéLa théorie économique des droits de propriété est une branche de l'analyse économique du droit s'intéressant aux conséquences économiques des droits de propriété. La théorie de droit de propriété se propose d’expliquer plusieurs choses : Comment différents types et systèmes de droit de propriété agissent sur le comportement des agents individuels et par là sur le fonctionnement et l’efficience du système économique ? Comment dans une économie où les rapports contractuels entre agents sont libres, le type et la répartition des droits de propriété, qui assurent l’efficience la plus grande, tendent à s’imposer ? Cette théorie s’est constituée lorsque la nécessité de s’interroger sur l’effet des formes de propriété, et plus généralement des formes institutionnelles, sur le fonctionnement de l’économie s’est manifestée.
Norme socialevignette|Se serrer la main entre adversaires sportifs, ici pour un match de tennis, est un exemple de norme sociale. Une norme sociale réfère à une façon de faire ou d'agir, une règle de conduite tacite ou écrite, qui a prévalence dans une société ou un groupe social donné. Elle est légitimée par des habitudes, des valeurs, des croyances partagées au sein d'un collectif donné, ainsi que par le contrôle social exercé.
Plan d'expériencesOn nomme plan d'expériences (en anglais, design of experiments ou DOE) la suite ordonnée d'essais d'une expérimentation, chacun permettant d'acquérir de nouvelles connaissances en maîtrisant un ou plusieurs paramètres d'entrée pour obtenir des résultats validant un modèle avec une bonne économie de moyens (nombre d'essais le plus faible possible, par exemple). Un exemple classique est le « plan en étoile » où en partant d'un jeu de valeurs choisi pour les paramètres d'un essai central, on complète celui-ci par des essais où chaque fois un seul des facteurs varie « toutes choses égales par ailleurs ».
Action collective (sociologie)Une action collective est, en sociologie, un type d'action, collective, résultant d'une coordination non concertée par les agents des buts ou des formes de leurs actions individuelles. Les agents n’ont pas d’engagements les uns à l’égard des autres. La sociologie distingue deux types d'actions collectives : Lorsque la coordination est simplement induite par les circonstances, l’action collective est dite plurielle : les fins et moyens s’imposent ou sont suggérés. C'est le cas du « sauve qui peut » et des phénomènes de foule.
Informatique affectiveL’informatique affective ou informatique émotionnelle (en anglais, affective computing) est l'étude et le développement de systèmes et d'appareils ayant les capacités de reconnaître, d’exprimer, de synthétiser et modéliser les émotions humaines. C'est un domaine de recherche interdisciplinaire couvrant les domaines de l'informatique, de la psychologie et des sciences cognitives qui consiste à étudier l’interaction entre technologie et sentiments.
Biens et servicesGoods are items that are usually (but not always) tangible, such as pens, physical books, salt, apples, and hats. Services are activities provided by other people, who include architects, suppliers, contractors, technologists, teachers, doctors, lawn care workers, dentists, barbers, waiters, online servers, a digital book, a digital video game or a digital movie. Taken together, it is the production, distribution, and consumption of goods and services which underpins all economic activity and trade.
Incitation économiqueOn appelle incitation économique (aussi souvent improprement désignée en Français par son équivalent anglais incentive) toute mesure spécifique de politique économique non-obligatoire, cherchant à obtenir des agents qu'elle vise un comportement déterminé, non souhaité par eux, ou qu'ils n'ont pas idée d'adopter au moins au départ, en échange d'un ou plusieurs avantages déterminés. La notion peut alors se concevoir sous différentes formes selon le contexte (économique, commercial...
Bien et mal (philosophie)Dans les domaines religieux, éthique, philosophique et psychologique, « le bien et le mal » est un couple de concepts courant. Dans les cultures d'inspiration manichéenne ou abrahamique, le mal est généralement considéré comme l’opposé du bien, dans lequel le bien devrait prévaloir et le mal aurait vocation à être vaincu. Dans les cultures d'inspiration bouddhiste, le bien et le mal sont perçus comme une dualité antagoniste qui doit elle-même être surmontée en réalisant Śūnyatā, c'est-à-dire la reconnaissance du bien et du mal en tant que principes opposés mais complémentaires.
Peer pressurePeer pressure is the direct or indirect influence on peers, i.e., members of social groups with similar interests, experiences, or social statuses. Members of a peer group are more likely to influence a person's beliefs, values, and behavior. A group or individual may be encouraged and want to follow their peers by changing their attitudes, values or behaviors to conform to those of the influencing group or individual. For the individual affected by peer pressure, this can have both a positive or negative effect on them.
Sciences affectivesLes sciences affectives forment un champ de recherche scientifique interdisciplinaire dans l'étude des émotions sur le modèle des sciences cognitives auxquelles elles appartiennent. Parmi les disciplines constitutives des sciences affectives, on peut citer : La psychologie, avec bien sûr la psychologie des émotions mais aussi de la cognition sociale La psychophysiologie Les neurosciences dont les neurosciences cognitives et neurosciences sociales L'informatique, tant sur le plan de la modélisation des phén