Assistant de preuveEn informatique (ou en mathématiques assistées par informatique), un assistant de preuve est un logiciel permettant la vérification de preuves mathématiques, soit sur des théorèmes au sens usuel des mathématiques, soit sur des assertions relatives à l'exécution de programmes informatiques. Beaucoup de projets ont été lancés pour formaliser les mathématiques, en 1966, Nicolaas de Bruijn lance le projet Automath, suivi par d'autres projets.
RécursivitéLa récursivité est une démarche qui fait référence à l'objet même de la démarche à un moment du processus. En d'autres termes, c'est une démarche dont la description mène à la répétition d'une même règle.
Construction workerA construction worker is a worker employed in the physical construction of the built environment and its infrastructure. By some definitions, workers may be engaged in manual labour as unskilled or semi-skilled workers; they may be skilled tradespeople; or they may be supervisory or managerial personnel. Under safety legislation in the United Kingdom, for example, construction workers are defined as people "who work for or under the control of a contractor on a construction site"; in Canada, this can include people whose work includes ensuring conformance with building codes and regulations, and those who supervise other workers.
Ring learning with errorsIn post-quantum cryptography, ring learning with errors (RLWE) is a computational problem which serves as the foundation of new cryptographic algorithms, such as NewHope, designed to protect against cryptanalysis by quantum computers and also to provide the basis for homomorphic encryption. Public-key cryptography relies on construction of mathematical problems that are believed to be hard to solve if no further information is available, but are easy to solve if some information used in the problem construction is known.
Birkhoff's representation theoremThis is about lattice theory. For other similarly named results, see Birkhoff's theorem (disambiguation). In mathematics, Birkhoff's representation theorem for distributive lattices states that the elements of any finite distributive lattice can be represented as finite sets, in such a way that the lattice operations correspond to unions and intersections of sets. The theorem can be interpreted as providing a one-to-one correspondence between distributive lattices and partial orders, between quasi-ordinal knowledge spaces and preorders, or between finite topological spaces and preorders.
Définition par récurrencevignette|4 étapes de la construction d'un flocon de Koch. Comme beaucoup d'autres fractales, cette courbe est définie par récurrence. En mathématiques, on parle de définition par récurrence pour une suite, c'est-à-dire une fonction définie sur les entiers positifs et à valeurs dans un ensemble donné. Une fonction est définie par récurrence quand, pour définir la valeur de la fonction en un entier donné, on utilise les valeurs de cette même fonction pour des entiers strictement inférieurs.
Réseau de LeechLe réseau de Leech est un réseau remarquable dans l'espace euclidien de dimension 24. Il est relié au code de Golay. Ernst Witt le découvre en 1940 mais ne publie pas cette découverte qui sera finalement attribuée à John Leech en 1965. Le réseau de Leech est caractérisé comme étant le seul pair en dimension 24 qui ne contient pas de racines, c'est-à-dire de vecteur v tel que (v,v)=2. Il a été construit par John Leech. Le groupe des automorphismes du réseau de Leech est le groupe de Conway Co0. Il y a exactement 24 .
Récursion mutuelleEt mathématiques et en informatique, la récursion mutuelle est une récursion où deux (ou plus) fonctions mathématiques ou programmatiques sont définies l'une en termes de l'autre. En informatique, cependant, on utilise plus souvent le terme "récursivité croisée". Par exemple, deux fonctions A(x) and B(x) définies comme suit : La récursion mutuelle est très commune dans le style de programmation fonctionnelle et est souvent utilisée pour la programmation en LISP, Scheme, ML et celle de langages similaires.
Image (mathématiques)En mathématiques, la notion d’image est reliée à la notion d’application avec plusieurs définitions distinctes. Étant donné une application : pour tout élément x de E, l’unique élément qui lui est relié dans F est appelé image de x par f, et dans ce cas on dit que x est un antécédent de par f ; l’ensemble des images des éléments de E est appelé de f, ou simplement image de f, et se note ; vignette|f(X) est en jaune.
Partition function (number theory)In number theory, the partition function p(n) represents the number of possible partitions of a non-negative integer n. For instance, p(4) = 5 because the integer 4 has the five partitions 1 + 1 + 1 + 1, 1 + 1 + 2, 1 + 3, 2 + 2, and 4. No closed-form expression for the partition function is known, but it has both asymptotic expansions that accurately approximate it and recurrence relations by which it can be calculated exactly. It grows as an exponential function of the square root of its argument.