La fiducie est un concept juridique anglo-saxon de gestion de patrimoine privé connu en anglais sous le nom de « trust ». Il désigne une opération par laquelle une personne appelée « constituant » confie la propriété de biens, de droits ou de sûretés présents ou futurs à un tiers appelé fiduciaire, agissant au profit d'un ou plusieurs bénéficiaires, avec des conditions d'usage ou de durée.
Cette notion de trust existe depuis au moins trois siècles dans la Common law. Elle figure dans le droit néerlandais sous le nom de bewind et serait proche en droit allemand de la notion de Treuhand (confiance) et en droit musulman de waqf.
Elle n'existait pas dans le droit français jusqu'en 2007 où elle a été introduite par la loi du 19 février 2007, puis modifiée par la loi de modernisation de l'économie du 4 août 2008, puis par la loi du 12 mai 2009 qui a introduit des dispositions spéciales relatives à la fiducie-sûreté, puis en 2010 par un décret et un arrêté mettant en place le Registre national des fiducies (non public) prévu par la loi recensant la totalité des fiducies créées en France afin que le Fisc puisse vérifier qu'elles ne soient pas utilisées pour l'optimisation ou la fraude fiscale.
Depuis les années 1990, elle est particulièrement et de plus en plus utilisée pour gérer des actifs financiers depuis les paradis fiscaux anglo-saxons, et parfois pour constituer une concentration financière monopolistique (comme autrefois dans le cas l'empire Rockefeller qui a justifié que les USA votent une loi anti-trust).
Une « fiducie de revenu d'entreprise » recueille des capitaux en offrant au public des parts de fiducie et elle utilise ensuite généralement le produit de cette offre pour investir dans des actifs qui génèrent un rendement en fonction des revenus d'une entreprise exploitée activement.
Les « fiducies de revenu » sont des mécanismes de transfert généralement structurées de manière que leur revenu soit attribué aux détenteurs d'« unités » : la fiducie ne paie aucun impôt sur ses bénéfices.
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Un contrat en droit suisse est défini par l'article 1, alinéa premier du Code des obligations : « Le contrat est parfait lorsque les parties ont, réciproquement et d'une manière concordante, manifesté leur volonté ». Comme dans de nombreux pays de tradition juridique romano-civiliste, le contrat en droit suisse est l'échange d'au moins deux manifestations de volonté, appelées l'offre et l'acceptation, par lesquelles les parties décident de produire un effet juridique. Le contrat est donc un acte juridique bilatéral ou multilatéral.
Trustee (or the holding of a trusteeship) is the individual appointed to administer the property of a deceased person held in a trust, or in the custody of a Bankruptcy Court ( property control ) ; See Trust Administration xxx.a legal term which, in its broadest sense, is a synonym for anyone in a position of trust and so can refer to any individual who holds property, authority, or a position of trust or responsibility for the benefit of another. A trustee can also be a person who is allowed to do certain tasks but not able to gain income.
Un agent immobilier (ou courtier immobilier au Québec) est un intermédiaire dans les transactions portant sur des biens immobiliers : ventes et locations. Cet agent peut être un travailleur indépendant ou une entreprise, l'agence immobilière, employant des négociateurs. Il est généralement en contact avec ses confrères de la même branche, avec les mairies et communautés urbaines, les collectivités, les institutions, les avocats et les tribunaux. Il peut être varié. Les agents immobiliers ne sont pas limités par la loi à un domaine.
This thesis is composed of two essays that study the effectiveness of shareholder democracy.In the first essay, I analyze the firm value implications of shareholder-initiated proposals. I show that managerial resistance precludes half of shareholder-init ...