Histoire évolutive des mammifèresvignette|droite|upright=1.5|Évolution des vertébrés selon un diagramme axial représentant les cinq grandes classes (poissons, amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères). La largeur des axes indique le nombre de familles dans chaque classe (les téléostéens, poissons à squelette complètement osseux et à nageoires rayonnantes, représentent 99,8 % des espèces de poissons, et près de la moitié des espèces de vertébrés). En classification phylogénétique, seuls les oiseaux et les mammifères sont des groupes monophylétiques (les poissons, amphibiens et reptiles étant des groupes paraphylétiques).
Histoire évolutive des végétauxvignette|Arbre phylogénétique des plantes terrestres indiquant la taille du génome dans les principales familles. vignette|Arbre de parenté des végétaux. L’histoire évolutive des végétaux est un processus de complexification croissante, depuis les premières algues, en passant par les bryophytes, les lycopodes et les fougères, jusqu'aux complexes gymnospermes et angiospermes actuels. Bien que les végétaux plus primitifs continuent de prospérer, particulièrement dans leur milieu d'origine, chaque nouveau degré d'organisation évolue et développe de nouvelles capacités qui lui permettent de mieux s'adapter à de nouveaux milieux.
PaléoarchéenThe Paleoarchean (ˌpeɪlioʊ.ɑːrˈkiːən), also spelled Palaeoarchaean (formerly known as the early Archean), is a geologic era within the Archean Eon. The name derives from Greek "Palaios" ancient. It spans the period of time . The era is defined chronometrically and is not referenced to a specific level of a rock section on Earth. The earliest confirmed evidence of life comes from this era, and Vaalbara, one of Earth's earliest supercontinents, may have formed during this era. The geological record from the Paleoarchean era is very limited.
Lacune de RomerLa lacune de Romer est un exemple de lacune apparente dans le registre fossile des tétrapodes utilisée dans l'étude de la biologie de l'évolution. La lacune de Romer, nommée d'après le paléontologue Alfred Romer qui l'a reconnue en premier, court sur une période de 15 millions d'années environ, de la fin du Dévonien au début du Carbonifère (Mississippien), il y a 360 à 345 millions d'années. Ces lacunes représentent des périodes pour lesquelles les paléontologues n'ont pas encore trouvé de fossiles pertinents.
Fungivignette|La présence de sporophores en console du Polypore amadouvier sur le volis et la chandelle d'un hêtre montre que ce dernier a été attaqué par ce champignon nécrotrophe lignicole à l'origine de la pourriture blanche qui creuse le cœur de l'arbre qu'il parasite en le faisant mourir d'épuisement. La poursuite du développement de ce macromycète sur le volis entraîne une modification rapide de l'orientation de la « fructification » en croissance, afin de pouvoir projeter les spores fongiques dans les conditions optimales.
MacrofossilMacrofossils, also known as megafossils, are preserved organic remains large enough to be visible without a microscope. The term macrofossil stands in opposition to the term microfossil. Microfossils, by contrast, require substantial magnification for evaluation by fossil-hunters or professional paleontologists. As a result, most fossils observed in the field and most "museum-quality" specimens are macrofossils. Plant macrofossils include leaf, needle, cone, and stem debris; and can be used to identify types of plants formerly growing in the area.
Forme transitionnellevignette|droite|500px|Évolution des vertébrés selon un diagramme axial représentant les cinq grandes classes (poissons, amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères). La largeur des axes indique le nombre de familles dans chaque classe (les téléostéens, poissons à squelette complètement osseux et à nageoires rayonnantes, représentent 99,8 % des espèces de poissons, et près de la moitié des espèces de vertébrés). En classification phylogénétique, seuls les oiseaux et les mammifères sont des groupes monophylétiques (les poissons, amphibiens et reptiles étant des groupes paraphylétiques).
Hypothèse de la reine rougevignette|Comme dans cette hypothèse, pour faire du sur place en sens inverse d'un escalateur, il est nécessaire de ne jamais cesser d'avancer, sinon on recule. L’hypothèse de la reine rouge est une hypothèse de la biologie évolutive proposée en 1973 par Leigh Van Valen et peut se résumer ainsi : l'évolution permanente d'une espèce est nécessaire pour maintenir son aptitude face aux évolutions des espèces avec lesquelles elle coévolue.
Explosion cambrienneL’explosion cambrienne (il y a entre 541 et 530 millions d'années) désigne l'apparition soudaine – à l'échelle géologique – de la plupart des grands embranchements actuels de métazoaires (animaux pluricellulaires) ainsi que de quelques autres, disparus entre-temps, initiant ainsi une grande diversification des classes et des espèces animales, végétales et bactériennes. Certains auteurs n'hésitent pas à parler de « big bang zoologique au Cambrien », avec l'apparition en quelques dizaines de millions d'années de la quasi-totalité des grands plans d'organisation connus actuellement (Annélides, Mollusques, Échinodermes, Chordés, etc.
Evolution of biological complexityThe evolution of biological complexity is one important outcome of the process of evolution. Evolution has produced some remarkably complex organisms – although the actual level of complexity is very hard to define or measure accurately in biology, with properties such as gene content, the number of cell types or morphology all proposed as possible metrics. Many biologists used to believe that evolution was progressive (orthogenesis) and had a direction that led towards so-called "higher organisms", despite a lack of evidence for this viewpoint.