Stéréotype | EPFL Graph Search

vignette|upright=0.8|Stéréotype du en BD dans la continuité des méchants de films muets. vignette|upright=0.8|Dessins illustrant l'« Indigenous races of the earth » (1857) de Josiah C. Nott et George Gliddon. vignette|upright=0.8|L'« Homme au couteau entre les dents » est un fameux stéréotype d'Européen de l'Est barbare, d'abord bolchevik, ensuite nationaliste et antisémite, mais toujours violent et forcément indigne de partager les valeurs de l'Europe occidentale. vignette|upright=0.8|Stéréotype du savant fou. vignette|upright=0.8|Stéréotype fondé, sur les Pays-Bas : des moulins et des vélos. En sciences humaines, un stéréotype désigne l' habituellement admise et véhiculée d'un sujet dans un cadre de référence donné ; cette image peut être négative, positive ou autre, mais elle est souvent caricaturale. En psychologie sociale, un stéréotype est : une croyance qu’une personne entretient au sujet des caractéristiques des membres d’un exogroupe ; une généralisation touchant un groupe de personnes et les différenciant des autres. Les stéréotypes peuvent être généralisés à l’excès, être inexacts et résister à l’information nouvelle. Les stéréotypes sont souvent véhiculés dans le cadre des phobies et de préjugés qu'ils maintiennent et alimentent : les microbes sont pathogènes, les insectes sont nuisibles et non-comestibles, les scientifiques sont des déséquilibrés, les Italiens mangent des macaronis, les Grecs sont fourbes, les Écossais sont avares, les Juifs sont riches et vénaux, les Russes sont ivrognes et imperméables à la démocratie, les musulmans sont terroristes, les Chinois trop prolifiques, les étrangers des parasites, les sportifs ne sont pas très intelligents, les hommes ont plus de besoins sexuels que les femmes, les hommes sont tous des machos et ne sont pas capables de faire plusieurs choses en même temps, les femmes conduisent mal, sont dangereuses en voiture et n’ont aucun sens de l’orientation, les blondes sont stupides, les brunes ont du caractère, les roux ont des défauts génétiques, les noirs sentent plus fort que les blancs, etc.

A Brief History of Simulation Neuroscience

Henry Markram, Xue Fan

Our knowledge of the brain has evolved over millennia in philosophical, experimental and theoretical phases. We suggest that the next phase is simulation neuroscience. The main drivers of simulation neuroscience are big data generated at multiple levels of brain organization and the need to integrate these data to trace the causal chain of interactions within and across all these levels. Simulation neuroscience is currently the only methodology for systematically approaching the multiscale brain. In this review, we attempt to reconstruct the deep historical paths leading to simulation neuroscience, from the first observations of the nerve cell to modern efforts to digitally reconstruct and simulate the brain. Neuroscience began with the identification of the neuron as the fundamental unit of brain structure and function and has evolved towards understanding the role of each cell type in the brain, how brain cells are connected to each other, and how the seemingly infinite networks they form give rise to the vast diversity of brain functions. Neuronal mapping is evolving from subjective descriptions of cell types towards objective classes, subclasses and types. Connectivity mapping is evolving from loose topographic maps between brain regions towards dense anatomical and physiological maps of connections between individual genetically distinct neurons. Functional mapping is evolving from psychological and behavioral stereotypes towards a map of behaviors emerging from structural and functional connectomes. We show how industrialization of neuroscience and the resulting large disconnected datasets are generating demand for integrative neuroscience, how the scale of neuronal and connectivity maps is driving digital atlasing and digital reconstruction to piece together the multiple levels of brain organization, and how the complexity of the interactions between molecules, neurons, microcircuits and brain regions is driving brain simulation to understand the interactions in the multiscale brain.

FRONTIERS MEDIA SA2019

A Brief History of Simulation Neuroscience

Henry Markram, Xue Fan

FRONTIERS MEDIA SA2019