Formules de l'arc moitiéEn trigonométrie, les formules de l'arc moitié sont des identités trigonométriques permettant d'exprimer les valeurs de fonctions trigonométriques d'un angle en fonction de la tangente de la moitié de cet angle. Les trois principales sont celles donnant les sinus, cosinus et tangente en fonction de la tangente de l'angle moitié : On trouve également : et ; et ; Les trois formules principales se déduisent des formules de l'angle double et de l'égalité cos + sin = 1.
Identité trigonométrique pythagoricienneL'identité trigonométrique pythagoricienne exprime le théorème de Pythagore en termes de fonctions trigonométriques. Avec les formules de somme d'angles, c'est l'une des relations fondamentales entre les fonctions sinus et cosinus. Cette relation entre le sinus et le cosinus est parfois appelée l'identité trigonométrique fondamentale de Pythagore. Cette identité trigonométrique est donnée par la formule : où signifie .
Casus irreducibilisEn algèbre, le casus irreducibilis (latin pour « cas irréductible ») désigne un cas apparaissant lors de la recherche des racines réelles d'un polynôme à coefficients entiers de degré 3 ou plus : c'est celui où les racines ne peuvent s'exprimer à l'aide de radicaux réels. Le casus irreducibilis le plus connu est celui des polynômes de degré 3 irréductibles dans les rationnels (impossibles à factoriser en polynômes de degré moindre) ayant trois racines réelles, cas qui a été prouvé par Pierre Wantzel en 1843.
Formule de Viètevignette|upright=2.5|Formule de Viète énoncée dans son Variorum de rebus mathematicis responsorum, liber VIII (1593). En mathématiques, la formule de Viète est le produit infini suivant des radicaux imbriqués représentant le nombre π : Elle est nommée d'après François Viète, qui l'a publiée en 1593 dans son Variorum de rebus mathematicis responsorum, liber VIII. À l'époque où Viète publiait sa formule, des méthodes d'approximation de π étaient connues depuis longtemps.
Sinus polaireEn géométrie, le 'sinus polaire (noté psin') généralise le sinus d'un angle à certains angles solides. Soit v1, ..., vn (pour n ≥ 2) une famille de vecteurs non nuls de l'espace euclidien à n dimensions Rn . On définit le sinus polaire de cette famille (ou, géométriquement, de l'angle solide formé par ces vecteurs si on les interprète comme les arêtes d'un parallélotope issues d'un même sommet) par la formule : où le numérateur est le déterminant égal à l'hypervolume (signé) du parallélotope ayant pour arêtes (l'exposant T indiquant la transposition de matrice).
Small-angle approximationThe small-angle approximations can be used to approximate the values of the main trigonometric functions, provided that the angle in question is small and is measured in radians: These approximations have a wide range of uses in branches of physics and engineering, including mechanics, electromagnetism, optics, cartography, astronomy, and computer science. One reason for this is that they can greatly simplify differential equations that do not need to be answered with absolute precision.
Théorème de Pythagorethumb|right|alt=Triangle rectangle et relation algébrique entre les longueurs de ses côtés.|Relation entre les longueurs des côtés dans un triangle rectangle. Le théorème de Pythagore est un théorème de géométrie euclidienne qui met en relation les longueurs des côtés dans un triangle rectangle. Il s'énonce fréquemment sous la forme suivante : Si un triangle est rectangle, le carré de la longueur de l’hypoténuse (ou côté opposé à l'angle droit) est égal à la somme des carrés des longueurs des deux autres côtés.
Trigonométrie de WildbergerLa trigonométrie de Wildberger (dite aussi trigonométrie rationnelle car elle ne fait aucun recours aux nombres irrationnels) constitue une réécriture de la trigonométrie traditionnelle. Elle s’en distingue en évitant non seulement l’usage des fonctions trigonométriques classiques, mais même l’usage de nombres transcendants tels que π dans l’écriture des formules. Elle fut autopubliée en 2005 dans Divine Proportions: Rational Trigonometry to Universal Geometry par Norman Wildberger, Ph. D.
CofunctionIn mathematics, a function f is cofunction of a function g if f(A) = g(B) whenever A and B are complementary angles. This definition typically applies to trigonometric functions. The prefix "co-" can be found already in Edmund Gunter's Canon triangulorum (1620). For example, sine (Latin: sinus) and cosine (Latin: cosinus, sinus complementi) are cofunctions of each other (hence the "co" in "cosine"): The same is true of secant (Latin: secans) and cosecant (Latin: cosecans, secans complementi) as well as of tangent (Latin: tangens) and cotangent (Latin: cotangens, tangens complementi): These equations are also known as the cofunction identities.
Sinus verseLe sinus verse est une fonction trigonométrique peu utilisée de nos jours. Elle est généralement notée versin, vers ou encore sin v. et définie comme : Le sinus verse est une fonction introduite par les Indiens (dans le Surya Siddhanta (c. 400) et dans l'Āryabhaṭīya () dérivée de la notion de flèche. Tout comme le sinus indien (jya) c'est une longueur associée à un arc d'un cercle de rayon donné. Appelée utkrama-jya, elle correspond dans un cercle à la flèche de l'arc double, tout comme jya correspond à la demi-corde de l'arc double, c'est-à-dire R sin(θ).