Taiwanese nationalismTaiwanese nationalism () is a nationalist movement which asserts that the Taiwanese people are a distinct nation. Due to the complex political status of Taiwan, it is strongly linked to the Taiwan independence movement in seeking an identity separate from China. This involves the education of history, geography, and culture from a Taiwan-centric perspective, promoting native languages of Taiwan such as Taiwanese Hokkien, Hakka, and indigenous languages, as well as reforms in other aspects.
Politique d'une seule ChineLa politique d'une seule Chine ou principe d'une seule Chine () est une position politique de la république populaire de Chine selon laquelle la Chine est Une et unie. Selon ce principe, Taïwan, administrée de facto par la république de Chine depuis 1945 et par le Japon auparavant, fait partie de cette Chine unifiée. La Chine refuse les échanges diplomatiques et commerciaux avec les pays opposés au principe d'une seule Chine. La plupart des pays de la communauté internationale ainsi que des organisations internationales (ONU) acceptent ce principe à partir des années 1970.
Histoire de TaïwanL'Histoire de Taïwan remonte à la Préhistoire, vers 30000 (homme de Zuozhen). Il y a environ , la fonte des glaces sépare cette petite chaîne de montagnes du continent et en fait l'île de Taïwan. Différents groupes proto-Austronésiens, de la culture de Hemudu en provenance de la baie de Hangzhou, ancêtres des actuels Aborigènes, s'y installent à partir de 4000 Ils assimilent et remplacent alors les anciennes populations du Pléistocène.
Indépendance de TaïwanIndépendance de Taïwan () est un mouvement politique dont les objectifs principaux sont : d'établir officiellement une « République de Taïwan » en lieu et place de l'actuelle République de Chine (communément appelée Taïwan), de favoriser l'identité nationale taïwanaise, de rejeter le projet de réunification et le système d'un pays, deux systèmes avec la République populaire de Chine et l'identité chinoise, et enfin d'obtenir la reconnaissance diplomatique comme État souverain.
Anticommunismethumb| (Tous les chemins du marxisme mènent à Moscou !) : affiche de la CDU en Allemagne de l'Ouest (1953). Le terme d'anticommunisme englobe, au sens large, l'ensemble des attitudes d'opposition ou d'hostilité envers les aspects théoriques ou pratiques du communisme : l'anticommunisme peut se traduire sous forme de simple prise de position, de discours politique structuré, d'action ou de propagande. Son sens est cependant différent en fonction de celui du « communisme », mot qui recouvre lui-même un ensemble de réalités très diversifiées en fonction des contextes sociaux, culturels et politiques.
Politique étrangère de Taïwanvignette|redresse=1.5|Relations diplomatiques entre la république de Chine et les autres États du monde aujourd'hui vignette|Bâtiment du ministère des Affaires étrangères à Taipei. vignette|Joseph Wu, ministre des Affaires étrangères en exercice. La politique étrangère de la république de Chine, dénommée « Taïwan » par de nombreux États, traite des relations entre la république de Chine et les autres pays. La république de Chine est reconnue par 13 des 193 États membres des Nations unies, ainsi que par le Saint-Siège.
Un pays, deux systèmesvignette|Grande histoire, réalisations brillantes - Exposition de réalisations à grande échelle à l'occasion du 70e anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine La formule « Un pays, deux systèmes » () discourut par Deng Xiaoping en 1997 à la Chine au sujet d'Hong Kong (souveraineté britannique). Ainsi Hong Kong avait l'autorisation d'être au sein de la Chine sans que cette dernière lui impose sa souveraineté. Hong Kong devait bénéficier de ce régime spécial jusqu'à 2047.
TaïwanTaïwan () désigne de manière usuelle la république de Chine, son nom officiel (). Elle est aussi parfois désignée en tant que république de Chine (Taïwan) ou « Taipei chinois ». Le territoire de cet État souverain de l'Asie de l'Est s'étend sur 168 îles dont la principale est Taïwan. L'île de Taïwan est partiellement conquise par les Mandchous de 1683 à 1895 sous la tutelle des Qing, puis cédée au Japon, par le traité de Shimonoseki (1895), à la suite de la première guerre sino-japonaise.