On parle de clôture ou de fermeture en mathématiques dans des contextes très divers. Quelques exemples sont listés ci-dessous.
En mathématiques, on dit qu'une partie A d'un ensemble E est stable (ou close) pour une opération définie sur E si cette opération, appliquée à des éléments de A, produit toujours un élément de A. Par exemple, l'ensemble des nombres réels est stable par soustraction, tandis que l'ensemble des entiers naturels ne l'est pas (la différence de deux entiers naturels est parfois un entier relatif strictement négatif).
Un préalable pour parler de structure algébrique est que celle-ci soit close sous les opérations en jeu. Par exemple on ne peut parler de groupe que pour un ensemble muni d'une loi de composition interne, c'est-à-dire d'une opération binaire pour laquelle l'ensemble est clos.
Soit L une liste d'opérations. On appelle clôture d'un ensemble S pour les opérations de L à l'intérieur d'un ensemble E donné lui-même clos pour ces opérations, le plus petit sous-ensemble de E contenant S et clos pour les opérations de L. Quand il s'agit bien d'opérations en un sens étroit, des fonctions ayant un nombre fini d'arguments dans E, partout définies, et à valeur dans E, on vérifie que l'intersection de toutes les parties de E closes contenant S et closes sous L définit la clôture de S. Il y a au moins une partie close pour les opérations de L, l'ensemble 'E' lui-même, et donc il est bien possible de définir cette intersection. Le fait d'être clos par les opérations de L est stable par intersection, donc l'ensemble ainsi défini est bien clos sous les opérations de L. Ainsi, la clôture pour la soustraction de l'ensemble des entiers naturels, vu comme sous-ensemble des nombres réels, est l'ensemble des entiers relatifs (dans l'ensemble des réels comme dans n'importe quel groupe additif dont les entiers naturels sont un sous-monoïde). Si on ne suppose pas que la clôture se fait à l'intérieur d'un groupe additif qui « étend » l'addition des entiers naturels et pour la notion de soustraction dans ce groupe additif, il n'y a aucune raison que la clôture donne les entiers relatifs.
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This is an introductory course on Elliptic Partial Differential Equations. The course will cover the theory of both classical and generalized (weak) solutions of elliptic PDEs.
Algebraic geometry is the common language for many branches of modern research in mathematics. This course gives an introduction to this field by studying algebraic curves and their intersection theor
The goal of this course is to give an introduction to the theory of distributions and cover the fundamental results of Sobolev spaces including fractional spaces that appear in the interpolation theor
L'algèbre (de l’arabe الجبر, al-jabr) est une branche des mathématiques qui permet d'exprimer les propriétés des opérations et le traitement des équations et aboutit à l'étude des structures algébriques. Selon l’époque et le niveau d’études considérés, elle peut être décrite comme : une arithmétique généralisée, étendant à différents objets ou grandeurs les opérations usuelles sur les nombres ; la théorie des équations et des polynômes ; depuis le début du , l’étude des structures algébriques (on parle d'algèbre générale ou abstraite).
En géométrie, la notion d'espace affine généralise la notion d'espace issue de la géométrie euclidienne en omettant les notions d'angle et de distance. Dans un espace affine, on peut parler d'alignement, de parallélisme, de barycentre. Sous la forme qui utilise des rapports de mesures algébriques, qui est une notion affine, le théorème de Thalès et le théorème de Ceva sont des exemples de théorèmes de géométrie affine plane réelle (c'est-à-dire n'utilisant que la structure d'espace affine du plan réel).
En mathématiques, un sous-anneau d'un anneau (unitaire) A est une partie de A stable pour les opérations de A et ayant une structure d'anneau avec le même neutre multiplicatif que A. Une partie B d'un anneau (A,+,*). est appelée un sous-anneau de A lorsque : B est un sous-groupe de A pour l'addition ; B est stable pour la multiplication ; Le neutre multiplicatif de A appartient à B. Pour les restrictions des opérations de A, B est alors lui-même un anneau, avec le même neutre multiplicatif.
Explore la passivité, la stabilité et le critère de cercle dans les systèmes de contrôle, en mettant l'accent sur le comportement du système et les considérations de conception.
Couvre la fermeture algébrique de Qp et la définition des nombres complexes p-adiques, en explorant la dépendance continue des racines sur les coefficients.
Although 'arrival infrastructure' is central to the experience of migrants arriving in a new city, is it sufficient to form a 'hospitable milieu'? Our article compares newcomers' experiences with 'arrival infrastructure' in two European cities: Brussels an ...
While over fields of characteristic at least 5, a normal, projective and Gorenstein del Pezzo surface is geometrically normal, this does not hold for characteristic 2 and 3. There is no characterization of all such non-geometrically normal surfaces, but th ...
When learning from data, leveraging the symmetries of the domain the data lies on is a principled way to combat the curse of dimensionality: it constrains the set of functions to learn from. It is more data efficient than augmentation and gives a generaliz ...