Environnementalisme vert vifL'environnementalisme vert vif est une idéologie fondée sur la conviction que la convergence du changement technologique et de l'innovation sociale constitue la voie la plus réussie vers le développement durable. Le terme « vert vif » (), inventé en 2003 par l'écrivain Alex Steffen, fait référence à la nouvelle aile en pleine croissance de l'environnementalisme, distincte des formes traditionnelles. L'environnementalisme vert vif vise à assurer la prospérité d'une manière écologiquement durable grâce à l'utilisation de nouvelles technologies et à une conception améliorée.
Progrès techniqueLe progrès technique est l’amélioration des techniques, y compris organisationnelles, qui sont utilisées dans le processus de production des biens et des services. Le développement des « nouvelles technologies » est tel que l'on parle de progrès technique. Le concept de progrès technique est toutefois controversé dans les milieux écologistes en raison de certains effets négatifs sur l'environnement du développement technologique tel qu'il s'opère depuis la révolution industrielle.
John ZerzanJohn Zerzan (né le ) est un auteur américain, philosophe du primitivisme. Ses travaux critiquent la civilisation comme oppressante dans son essence, et défendent des modes de vie conçus comme plus libres tirant leur inspiration des chasseurs-cueilleurs préhistoriques. Zerzan va jusqu'à critiquer la domestication, le langage, la pensée symbolique (des mathématiques jusqu'à l'art) et le concept de temps.
Technological evolutionThe term "technological evolution" captures explanations of technological change that draw on mechanisms from evolutionary biology. Evolutionary biology has one of its roots in the book “On the origin of species” by Charles Darwin. In the style of this catchphrase, technological evolution might describe the origin of new technologies. The combinatoric theory of technological change states that every technology always consists of simpler technologies and a new technology is made of already existing technologies.
Health technologyHealth technology is defined by the World Health Organization as the "application of organized knowledge and skills in the form of devices, medicines, vaccines, procedures, and systems developed to solve a health problem and improve quality of lives". This includes pharmaceuticals, devices, procedures, and organizational systems used in the healthcare industry, as well as computer-supported information systems. In the United States, these technologies involve standardized physical objects, as well as traditional and designed social means and methods to treat or care for patients.
Éthique de l'ingénierieL’éthique de l'ingénierie est le domaine de l'éthique appliquée qui examine et établit des normes pour les ingénieurs dans le cadre de leurs obligations envers le public, leurs clients, leurs employeurs et la profession. Serment d'Archimède : élaboré en 1990 par un groupe de diplômants de l'École polytechnique fédérale de Lausanne sur le modèle du serment d'Hippocrate En France, voir Ingénieurs et scientifiques de France#Éthique de l'ingénieur Responsabilité éthique de l’ingénieur dans les systèmes complex
SingularitarismeLe singularitarisme est un mouvement social défini par la croyance en une singularité technologique (la création d'une superintelligence) qui devrait se produire dans un futur pas trop éloigné, et la nécessité d'actions délibérées pour s'assurer que cela bénéficiera à l'humanité. Les singularitaristes se distinguent d'autres futurologues croyant également à la possibilité d'une singularité parce qu'ils pensent qu'elle est non seulement possible, mais souhaitable si elle est contrôlée prudemment.
Biais algorithmiquevignette|Organigramme représentant l'algorithme derrière un moteur de recommandation. Un biais algorithmique est le fait que le résultat d'un algorithme d'apprentissage ne soit pas neutre, loyal ou équitable. Le biais algorithmique peut se produire lorsque les données utilisées pour entraîner un algorithme d'apprentissage automatique reflètent les valeurs implicites des humains impliqués dans la collecte, la sélection, ou l'utilisation de ces données.
NeuroéthiqueLa neuroéthique est une discipline à cheval entre les neurosciences et la philosophie et relève plus particulièrement du domaine de l'éthique. Au sein de la recherche académique, il n'y a pas encore d'unanimité sur le domaine recouvert par la neuroéthique. Certains l'envisagent comme une branche de la bioéthique, qui étudierait les valeurs morales des technologies neuroscientifiques. Ainsi, William Safire (1929-2009) définit la neuroéthique comme étant « le domaine de la philosophie qui discute sur le plan moral de la manipulation ou l'amélioration du cerveau humain ».