XuanxueXuanxue 玄學 ou Hsuan Hsue (littéralement, « apprentissage mystérieux »), parfois néotaoïsme, désigne un courant philosophique et culturel chinois classé dans le taoïsme, mais pouvant aussi être considéré comme un maillon dans l'évolution du confucianisme, qui apparut au au lendemain du démantèlement de l’empire Han et se poursuivit jusqu’au . Son nom, « école du mystère » ou « école de la profondeur », officialisé au dans le programme de l’académie impériale, viendrait d’une phrase de Laozi décrivant le dao comme « infiniment mystérieux/profond » .
Kyūdōredresse=1.3|vignette|Kyūdōjin pendant un tir. redresse=1.3|vignette|Concours au temple Sanjusangendo, distance de tir . Le est un art martial japonais (budō), issu du tir à l'arc guerrier (kyūjutsu). Cette discipline se singularise de sa contrepartie occidentale par les influences mélangées propres à la culture japonaise : le zen, le confucianisme, mais aussi le taoïsme et le shintoïsme. Le kyūdō est une des voies martiales japonaises, cherchant le développement de la discipline du corps et du groupe, par la maîtrise des gestes et le respect de l'étiquette .
Artsvignette|alt=Tableau représentant un double portrait appelé hommage aux arts|Hommage aux arts - Allégorie de couple électorale du palatinae comme patrons qui représente un double portrait de Johann Wilhelm et sa femme. Les arts représentent une forme de l'expression du vivant, généralement influencée par la culture et entraînée par une impulsion créatrice. Les arts font partie du ressenti et de la subjectivité, c'est pourquoi une définition finie n'est pas possible.
Wu ZetianWu Zetian (), née le à Lizhou et morte le , fut la seule impératrice régnante de toute l'histoire de Chine. Le titre et la fonction d'empereur de Chine étaient exclusivement réservés, dans le système impérial, aux hommes, les femmes ne pouvant exercer le pouvoir que provisoirement, dans le cadre d'une régence ou d'un inter-règne, sans avoir le titre d'empereur et assistées le plus souvent d'un conseil de régence. Seule, Wu Zetian fonda sa propre dynastie, la dynastie Zhou (周) deuxième du nom, dont elle fut, sous le nom d'« empereur saint et suprême » () de 690 à 705, la seule monarque.
IkebanaL’, également connu sous le nom de , « la voie des fleurs » ou « l'art de faire vivre les fleurs », est un art traditionnel japonais fondé sur la composition florale. vignette|Arrangement composé par le 40e directeur de l'école Ikenobō Senjō, dessiné par de l'école de peinture Shijō, 1820. vignette|upright|Ikebana. vignette|Exposition d'ikebanas dans le métro de Kyoto. Au contraire de la forme décorative des arrangements floraux dans les pays occidentaux, l’arrangement floral japonais crée une harmonie de construction linéaire, de rythme et de couleurs.
MahakashyapaMahakashyapa (sanskrit, IAST Mahā Kāśyapa) ou Mahā Kassapa, Mahakassapa (pali) est l’un des dix plus importants disciples du Bouddha Shakyamuni, reconnu comme le plus avancé dans les pratiques ascétiques et sa connaissance des règles dans les détails (dhutavādānam). Il devient gardien de l’ordre de la Communauté en l’absence du bouddha Gautama et après sa mort. C’est lui qui aurait convoqué et présidé le premier concile. Il est considéré comme le premier patriarche du chan / zen.
Peinture en Coréevignette|Tigre sous un pin. Kim Hong-do (Danwon) (1745-1806, ou 1816, voire 1818). Encre et couleurs légères sur soie. H. 90,4 cm. Musée d'art Ho-Am La peinture, en Corée, une forme de l'art coréen particulièrement remarquable, se manifeste sous les formes les plus diverses, depuis les antiques peintures murales, préservées dans les tombes du royaume de Koguryo, les bannières bouddhiques aux couleurs intenses, les peintures de lettrés à l'encre, les paravents décoratifs, jusqu'à la peinture telle qu'elle est pratiquée dans l'art contemporain.
DharaniUne dharani (IAST: dhāraṇī) est une sorte de mantra, étant comme celui-ci considérée avoir une puissance magique. Ces deux termes peuvent même être synonymes, bien qu'ils soient souvent utilisés dans des contextes différents, une dhāraṇī pouvant être dénuée d'intention spirituelle et confiner à la simple sorcellerie. Tout comme dharma, le mot dhāraṇī provient de la racine sanskrite dhar qui signifie porter ou tenir. Dharaṇī, sans la diacritique sur le premier a, est le nom de la terre en tant que déité.
SatipatthanaSatipaṭṭhāna (pali ; smṛti-upasthāna en sanskrit), signifie ou . Il s'agit d'un membre essentiel de la pratique bouddhique : l'attention doit être établie, maintenue à chaque instant. Cette attention (sati), dans le cadre bouddhique, consiste en une présence claire, une conscience claire des choses et des événements mentaux. Le Satipatthana sutta est présent dans deux sections du Canon pali, donc en deux versions : il y a le Satipatthana sutta (dans le Majjhima Nikaya, MN 10), et le Mahasatipatthana sutta (dans le Dīgha Nikāya, DN 22).
Buddha-natureIn Buddhist philosophy, Buddha-nature is the potential for any sentient beings to become a Buddha. It is a common English translation for several related Mahayana Buddhist terms, including tathata ("suchness") but most notably tathāgatagarbha and buddhadhātu. Tathāgatagarbha means "the womb" or "embryo" (garbha) of the "thus-gone" (tathāgata), or "containing a tathāgata", while buddhadhātu literally means "Buddha-realm" or "Buddha-substrate". Buddha-nature has a wide range of (sometimes conflicting) meanings in Indian and later East Asian and Tibetan Buddhist literature.