Presumption of priestly descentIn Judaism, the presumption of priestly descent is the presumption that a Jewish man is a priest (kohen), based not on genealogical records of descent from Aaron or on Jewish court rulings, but rather by observation of his priestly behavior as recognized by his peers and community. Such an individual is called a kohen muhzak (presumed kohen or status-quo kohen; כהן מוחזק, from חזק). The criteria for this determination are defined in rabbinical halakhic texts.
Twenty-four priestly giftsIn Judaism, the twenty-four priestly gifts are an enumeration of the various gifts which halakha requires to be given to Jewish priests (kohanim). These gifts were considered compensation for their service in the Temple in Jerusalem. The majority of these gifts were food items. Of these twenty-four gifts, ten gifts were given to the priests in the Temple, four were to be consumed by the priests in Jerusalem, and ten were to be given to the priests outside the land of Israel.
Maasser SheniLe Ma'asser Sheni (hébreu מעשר שני, seconde dîme) est une dîme pratiquée dans le judaïsme orthodoxe dont les racines remontent à la Bible hébraïque. Aux temps des Temples de Jérusalem, elle consistait à prélever un dixième de la production agricole des première, seconde, quatrième et cinquième années du cycle septennal de la terre pour le prendre au Temple et l'y consommer. La dîme est exposée dans le Livre du Deutéronome, aux côtés d'une autre dîme, le Ma'asser 'Ani, prélevées la troisième et sixième année du cycle septennal.
Maasser aniLe Ma'asser 'Ani (hébreu מעשר עני, dîme du pauvre) fait référence à l'obligation de prélever un dixième du produit de la récolte de la troisième et de la sixième année du cycle septennal de la terre pour les pauvres au temps des Temples de Jérusalem. Le judaïsme orthodoxe considère que les prescriptions qui se rattachent à cette dîme ainsi qu'autres dîmes d'origine biblique, comme la teroumat hamaasser, le maasser rishon et le maasser sheni, demeurent d'actualité pour les produits ayant poussé au cours de l'année en terre d'Israël, et n'autorisent pas la vente de produits des arbres et de la terre tant que ces dîmes n'ont pas été prélevées.
Rachat du premier-néDans la tradition juive, tout père doit racheter son enfant (hébreu פדיון הבן, Pidyon HaBen), le premier-né masculin, à Dieu. Cette tradition ne s'applique pas aux Cohanim et Leviim. Le Pidyon HaBen est une mitsva, une loi, et est toujours observé aujourd'hui, en particulier par les Juifs traditionalistes, orthodoxes ou massortis. Cette pratique s'inscrit dans une conception plus générale qui veut que chaque premier produit (prémices) du travail de l'Homme ou de ses biens soit consacré à Dieu.
DîmeLa dîme ou dime ou décime (du decima, « dixième ») est une contribution variable, étymologiquement de 10 %, versée en nature ou en espèces, à une institution civile ou religieuse. Cette taxe, connue depuis la Rome antique et mentionnée dans la Bible, est en usage dans le judaïsme et le christianisme. Elle joue un rôle structurant dans la société féodale occidentale à partir du Haut Moyen Âge. Lignières de Touraine Fresque du chœur 01.jpg|Abel, ébrasement de la fenêtre centrale. Lignières de Touraine Fresque du chœur 02.
Cohen (judaïsme)Un cohen (כהן litt. « dédié, dévoué », plur. cohanim) est un prêtre du dieu d'Israël. Bien que la Bible ambitionne de faire des Israélites un (Exode 19:6), elle est, au sens propre du terme, conférée aux seuls descendants mâles d’Aaron, le frère de Moïse de la tribu de Lévi. Le cohen des ères biblique et antique a pour tâche d'assurer le culte du Temple et l'offrande des sacrifices, la bénédiction du peuple d'Israël, l'évaluation des marques soupçonnées de conférer l'impureté, et l'application de la loi divine.
Mikvéthumb|250px|Le Mikvé du Ari (Isaac Luria) à Safed. Le mikvé (ou mikveh) (en מִקְוָה ; au pluriel : מקואות mikvaot) est un bain rituel utilisé pour l'ablution nécessaire aux rites de pureté familiale dans le judaïsme. C'est l'un des lieux centraux de la vie communautaire juive, avec la synagogue et l'école juive (yeshiva). Pour qu'une femme juive puisse avoir des relations sexuelles avec son mari, elle doit compter sept jours après la fin de ses règles et se tremper dans un bain rituel.
613 Commandements613 commandements (תרי"ג מצוות Tarya"g mitzvot) sont, selon la tradition rabbinique, contenus dans la Torah. La tradition selon laquelle le Pentateuque comporterait 613 prescriptions apparaît à l’ère des docteurs du Talmud et leur décompte précis à l’ère des gueonim. Aux azharot, pièces liturgiques énumérant chacune selon son inspiration les commandements, font suite les Sifrei Hamitzvot qui les cataloguent. Le plus célèbre d’entre ceux-ci, composé par Moïse Maïmonide, suit une distribution arbitraire tandis que le Sefer Hahinoukh les agence selon les lections hebdomadaires.
KorbanUn korban (hébreu קרבן, au pluriel קרבנות – korbanot –, de la racine קרב – qrv –, signifiant « approcher, apporter ») est une offrande rituelle décrite et prescrite dans la Torah centrale pour le culte du sanctuaire. Elles étaient « apportées » par les Israélites au cohen, le « prêtre » lévite. Bien qu'on rende généralement le terme par « sacrifice », il recouvre en fait une notion toute différente. Il existait divers types de korbanot, de différentes natures et de différentes fonctions.