Lois noahidesLes Sept Lois de Noé (hébreu : שבע מצוות בני נח - Sheva mitzvot B'nei Noa'h), plus souvent appelées lois noahides et parfois lois noachiques, sont une liste de sept impératifs moraux qui auraient été donnés, d'après la tradition juive, par Dieu à Noé comme une alliance éternelle avec toute l'humanité. Au du Livre des Jubilés, , Noé Les éditeurs des Écrits intertestamentaires (Pléiade) précisent () : La tradition juive actuelle, qui se base notamment sur Gen. 2, 24; 9, 4-6 et Lv.
613 Commandements613 commandements (תרי"ג מצוות Tarya"g mitzvot) sont, selon la tradition rabbinique, contenus dans la Torah. La tradition selon laquelle le Pentateuque comporterait 613 prescriptions apparaît à l’ère des docteurs du Talmud et leur décompte précis à l’ère des gueonim. Aux azharot, pièces liturgiques énumérant chacune selon son inspiration les commandements, font suite les Sifrei Hamitzvot qui les cataloguent. Le plus célèbre d’entre ceux-ci, composé par Moïse Maïmonide, suit une distribution arbitraire tandis que le Sefer Hahinoukh les agence selon les lections hebdomadaires.
Tza'ar ba'alei chayimTza'ar ba'alei chayim (en צער בעלי חיים), littéralement «souffrance des êtres vivants», est un commandement du Judaïsme qui interdit de causer des souffrances inutiles aux animaux . Ce concept n'est pas clairement énoncé dans la Torah écrite, mais est accepté par le Talmud comme un mandat biblique. Dans le Talmud, il est lié à la loi biblique exigeant que les êtres humains aident à décharger les fardeaux des animaux. Tza'ar est un mot de l'hébreu antique pour désigner les souffrances.
AmalekDans la Genèse et le premier livre des Chroniques, Amalek (עֲמָלֵק) est présenté comme étant le fils d' et le petit-fils d'Ésaü. En tant que tel, il est chef d'une tribu édomite, les Amalécites. Sa mère, Timna, sœur de provenait de la tribu des Horites, dont le territoire avait été annexé à Édom. Dans le livre de l'Exode, Amalek attaque sans raison les Enfants d'Israël, à peine sortis d'Égypte. Amalek a le dessus quand Moïse baisse les bras, mais est vaincu par Josué quand Aaron et Hour relèvent les bras de Moïse.
Jewish medical ethicsJewish medical ethics is a modern scholarly and clinical approach to medical ethics that draws upon Jewish thought and teachings. Pioneered by Rabbi Immanuel Jakobovits in the 1950s, Jewish medical ethics centers mainly around an applied ethics drawing upon traditional rabbinic law (halakhah). In addition, scholars have begun examining theoretical and methodological questions, while the field itself has been broadened to encompass bioethics and non-halakhic approaches.
Ethical monotheismEthical monotheism is a form of exclusive monotheism in which God is believed to be the only god as well as the source for one's standards of morality, guiding humanity through ethical principles. Ethical monotheism originated within Judaism. It is present in various other monotheistic religions, such as Zoroastrianism, Christianity, the Baháʼí Faith, Sikhism, and Islam. All of these monotheistic religions include the belief in one Supreme Being as the ultimate authority and creator of the universe.
Tikkoun OlamLe tikkoun olam, ou tikkun olam en anglais, en hébreu : he, « réparation du monde », est un concept issu de la philosophie et de la littérature juive, recouvrant en grande partie la conception juive de la justice sociale ou de réparation dans les courants libéraux, réformateurs et sécularisés, et celui de restauration, d'homéostasie ou d'intégrité dans les courants juifs orthodoxes. Selon certaines explications, plus grand est le nombre de mitzvot (prescriptions religieuses) réalisées, plus le monde se rapproche de la perfection.
NiddahLes statuts de la niddah (נִדָּה « éloignée » ou « écartée ») forment la majeure partie des lois de la pureté familiale (חוקי טהרת המשפחה ’houqei taharat hamishpa'ha) ainsi dénommées dans le judaïsme orthodoxe à partir du , régissent l’état d’impureté rituelle dans laquelle se trouve la femme en période de règles, et impliquent une séparation physique temporaire du couple, sous peine d’enfreindre une prohibition biblique passible de retranchement : tenue de vérifier le moindre indice d’écoulement de sang me
ShehitaLa shehita (hébreu : he « occision ») est le rite juif d'abattage par jugulation qui rend les animaux (bétail, gibier et volaille) purs, propres à la consommation alimentaire et, anciennement, à être offerts devant Dieu. Les poissons et insectes autorisés à la consommation en sont exemptés. L'acte est accompli par un shohet, spécialiste dûment autorisé et formé aux lois de la shehita. Il coupe, au moyen d'un couteau particulier, la trachée, l'œsophage, les artères carotides et les veines jugulaires ; la bête abattue est suspendue la tête en bas de façon qu'elle se vide de son sang.
Tsedakavignette|Boîte à tsedaka (pushke) en argent, Charleston, 1820, National Museum of American Jewish History, Philadelphie. vignette|Boîte à dons du Merkas Yeshivot Bnei Akiva B'Israel, années 1960-70, Tel Aviv, dans la collection du Musée juif de Suisse. La tsedaka, tzedaka, tsedaqa ou tzedaqa (en hébreu : צדקה) désigne dans le judaïsme le principe religieux de l’aumône. Le radical du mot est celui qui désigne la « justice » en hébreu ( צדק ; prononcé « tsedek »).