TaixuTaixu (), né en 1890 et décédé en 1947 est un leader du renouveau du bouddhisme en Chine au . Il a joué un rôle de premier plan dans le renouveau du bouddhisme en Chine, et il est sera l'un des bouddhistes chinois les plus célèbres du . Dans les premières décennies du , le bouddhisme en Chine fait face à une hostilité de plus en plus marquée. La critique du bouddhisme est menée et entretenue par un certain nombre d'intellectuels qui voient dans cette religion une sorte de superstition primitive qui constitue un obstacle à l'entrée de la Chine dans le monde moderne.
Da zhidu lunThe Dà zhìdù lùn (abbreviated DZDL), (Chinese: 大智度論, Wade-Giles: Ta-chih-tu lun; Japanese: Daichido-ron (as in Taishō Tripiṭaka no. 1509); The Treatise on the Great Prajñāpāramitā) is a massive Mahāyāna Buddhist treatise and commentary on the Pañcaviṃśatisāhasrikā Prajñāpāramitā Sūtra (The Sūtra of Transcendental Wisdom in Twenty-five Thousand Lines). The title has been reconstructed into Sanskrit as Mahāprajñāpāramitopadeśa. and Mahāprajñāpāramitāśāstra. It is an encyclopedic compendium or summa of Mahayana Buddhist doctrine.
DaoshengDaosheng (chinois: 道生), aussi connu sous le nom de Zhu Daosheng (vers 360-434), est un moine bouddhiste chinois, philosophe et traducteur, chinois. Il fut le fondateur de l’école du Nirvana qui fut particulièrement importante sous le règne de l'empereur Wu (première moitié du des Liang. Enfant doué et vif d'esprit, il se convertit au bouddhisme après avoir rencontré Zhu Fatai (320-387), un moine qui joua un rôle important dans la diffusion de cette religion dans la région du Yangzhou.
Eisaiou est le fondateur de l’école rinzai au Japon. En 1191, il introduisit cette doctrine au Japon, à la suite de son voyage en Chine de 1187 à 1191, au cours duquel il a été initié zen rinzaï par le maître Hsü an. C'est aussi lui qui aurait popularisé le thé au Japon, à la suite de ce même voyage. Myoan Eisai est né dans la province de Bitchu (aujourd’hui province de Okayama). Il commence ses études monastiques dans un temple Tendai, mais, mécontent de l'état du bouddhisme au Japon à l’époque, il part en avril 1168 en Chine, où il séjourne jusqu'en septembre.
SengcanSengcan, Seng-ts'an (僧燦) ou Jianzhi Sengcan (鑑智僧璨), japonais [Kanchi] Sosan (? ~ 606?) est considéré comme le troisième patriarche chinois de l'école bouddhiste Chan et le trentième depuis Bouddha. Le Sin sin ming (Xinxinming 信心銘) « Inscription sur la Foi en l'Esprit », texte essentiel du Chan sur le non-dualisme fondamental, lui serait attribué, ce qui est contesté par certains érudits. Jianzhi « miroir de sagesse » est un titre décerné par l’empereur Tang Xuanzong.
ShikantazaShikantaza est un terme japonais utilisé dans l'école du bouddhisme zen Sōtō qui peut être traduit par « seulement s'asseoir » ou « être assis sans rien faire » et qui décrit l'attitude à adopter lors de la méditation zazen. Il s'agit d'un concept central de l'école Sōtō. Shikantaza est une notion centrale du zen sōtō et de l'enseignement de Dōgen. L'école Sôtô en attribue l'introduction de cette pratique à son fondateur, Dōgen, qui affirmait avoir appris ce style de pratique auprès de Rujing, qui fut son maître chan lors de son séjour en Chine.
Ingen RyūkiIngen Ryūki () (1592-1673) est un poète, calligraphe et moine de l'école Linji du bouddhisme Chán. Il est surtout connu pour avoir fondé l'école Ōbaku du bouddhisme zen au Japon. Le nom d'Ingen en chinois est Yinyuan Longqi. Ingen naît le à Fuqing, province de Fujian, dans la Chine de la dynastie Ming. Son père disparaît quand l'enfant a 5 ans. À l'âge de 20 ans, alors qu'il est à sa recherche, Ingen arrive au mont Putuo au large de la province de Zhejiang où il sert le thé aux moines.
Art bouddhiqueL’art bouddhique naît dans le sous-continent indien, probablement durant les siècles suivant la mort du Bouddha historique ou Gautama Bouddha ( et ), bien que ses premières manifestations attestées par des découvertes archéologiques semblent dater du règne d'Ashoka. Une première phase, essentiellement indienne, appelée , durant laquelle la personne du Bouddha est évoquée par des symboles, est suivie vers le d'une durant laquelle apparaissent des représentations anthropomorphiques du Bouddha.
Zazenthumb|Zazen dans la tradition Rinzaï : pratique face à face vignette|Zazen dans la tradition Sōtō : pratique face à un mur désigne à la fois la pratique de la méditation du bouddhisme zen et la posture assise qui l'accompagne, particulièrement dans les écoles Sōtō et Rinzai qui sont les plus connues en Occident. Za signifie « assis » et zen « méditation ». Zazen est donc la méditation assise et renvoie à la posture ainsi qu'à la pratique qu'aurait adoptées le Bouddha pendant ses méditations.
AkshobhyaAkshobhya (sanskrit : Akṣobhya c'est-à-dire: impassible, inébranlable; chinois: Achùfó 阿閦佛, Búdòng rúlái 不動如來, japonais : Ashuku nyorai 阿閦如来; tibétain: mi bskyod pa/mi 'khrugs pa) est l'un des cinq bouddhas de sagesse du Vajrayana, adibouddha de la famille du vajra. Sur les mandalas des cinq bouddhas, il est placé à l’Est. Il règne sur le paradis oriental de la terre pure Abhirati, moins connu que le paradis occidental d’Amitābha.