Schools of Islamic theologySchools of Islamic theology are various Islamic schools and branches in different schools of thought regarding ʿaqīdah (creed). The main schools of Islamic Theology include the extant Ashʿarī, Māturīdī, and Aṯharī; the extinct ones include Qadariyah, Jahmiyya, Murji'ah, Muʿtazila, Batiniyya,. The main schism between Sunnī, Shīʿa, and Kharijite branches of Islam was initially more political than theological, but over time theological differences have developed throughout the history of Islam.
Bila KayfThe Arabic phrase Bila Kayf, also pronounced as Bila Kayfa, (بلا كيف) is roughly translated as "without asking how", "without knowing how or what", or "without modality" which means without considering how and without comparison. Literally, "without how" but figuratively as "in a manner that suits His majesty and transcendence". It was a way of resolving theological problems in Islam over apparent contradictions in āyāt (verses of the Quran) by accepting without questioning.
QadarLa notion de qadar (arabe : al-qaḍāʾ wa al-qadar, ar, la fatalité ; le libre arbitre) est un terme utilisé dans l'islam pour désigner la liberté humaine. Il suppose un certain libre arbitre et s'oppose au djabr, le fatalisme. Les partisans du libre arbitre sont appelés qadariyya. L'école acharite indique que : 1/ Dieu sait toute chose de toute éternité. Par conséquent, tout ce qui se produit dans ce monde est conforme à sa volonté. Les actes des humains font partie de ce que Dieu sait.
Ahl al-HadithAhl al-ḥadīth (en arabe : اهل الحديث), aussi appelés aṣḥāb al-ḥadīth (اصحاب الحديث), littéralement les “gens/partisans du hadith”, sont ceux qui à partir du - siècles de l'Hégire (- siècle ap. J.-C) se distinguaient par la prévalence qu’ils accordaient au Coran et aux hadiths dans la formation du droit et du dogme de l'islam. Une grande partie des savants de cette obédience exerçaient à Bagdad bien qu'on en compte d'autres dans d'autres régions à cette époque sous domination abbasside.
Salafisme modernisteLe salafisme moderniste est un mouvement de réforme qui s'est développé au en Égypte sous l'influence d'al-Afghani et Mohamed Abduh, qui l'appelèrent la « salafiya » (à ne pas confondre avec le « salafisme contemporain », qui est né dans les années 1920). Le mouvement salafiste aurait été baptisé comme tel, dans les années 1920, par des orientalistes français, Louis Massignon et Henri Laoust, ce dernier ayant popularisé le néologisme par un article publié en 1932, sans que les chercheurs aient nécessairement revendiqué ce nom.
Doctrine du Coran crééLa doctrine du Coran créé est un thèse soutenue au début de l'Islam par certains dogmaticiens principalement du courant mutaziliste. Selon eux, il faudrait distinguer Dieu de sa Parole - Le Coran - qui, comme le reste de sa création, serait en dehors de lui, créée par lui, transmise au Prophète par l'intermédiaire de l'ange Gabriel. Leur idée était de défendre l'absolue unicité de Dieu seul à bénéficier de cette essence absolue et éternelle Cette doctrine s'oppose au dogme orthodoxe sunnite d'un Coran incréé, qui affirme que la parole de Dieu fait partie de son essence même, qu'elle ne lui est pas extérieure et qu'elle est donc de nature absolue, intemporelle.
Ahmad Ibn HanbalAḥmad Ibn Muḥammad Ibn Ḥanbal Abū ʿAbdullāh Ash-Shaybānī (arabe : ar), né en Rabi’ al-Awwal 164 AH / à Bagdad, et mort le 12 Rabi’ al-Awwal 241 AH / dans la même ville, souvent mentionné par ses formes courtes Aḥmad ibn Ḥanbal ou simplement Ibn Ḥanbal et l'imam Aḥmad par les sunnites, était un faqîh musulman arabe, théologien, ascète, traditionaliste (muhaddith), précurseur de l'école de jurisprudence (madhhab) sunnite hanbalite et martyr pour sa foi.
SalafismeLe salafisme (السلفية) est un mouvement religieux de l'islam sunnite, revendiquant un retour aux pratiques en vigueur dans la communauté musulmane à l'époque du prophète Mahomet et de ses premiers disciples et la « rééducation morale » de la communauté musulmane. Il est étroitement lié au mouvement wahhabite. Les salafistes ont une lecture littérale des textes de l'islam, le Coran et les ahadith de la Sunna. Ils ne s'attachent pas au suivi d'un madhhab de la jurisprudence islamique (fiqh) et rejettent ainsi les innovations religieuses (bidʻah) blâmables.
TaqlidLe taqlīd (ar, copie ; imitation ; routine ; coutume) est l'acception littérale du contenu d'un enseignement d'un marja, l'adhésion à une école juridique (maḏhab) particulière ou à un mujtahid. Le taqlīd est le respect, sans les remettre en cause, des préceptes d'une jurisprudence. Le taqlīd consiste, pour celui qui ne possède pas la capacité d'ijtihād, à suivre les directives énoncées par un mujtahid. L'imâm chaféite al-Juwanî définit ainsi le taqlīd : «L'acceptation de l'opinion d'autrui sans en connaître les sources ».
Foi musulmaneDans l'islam, Al-Îmâne (إيمان) signifie littéralement : « Foi ». Elle est à la base de l'islam. Dérivé nominal de la racine 'mn signifiant « être en sécurité », le terme Al-Îmâne signifie « Foi ». Le participe associé se trouve dans le Coran pour évoquer à la fois les adeptes de Mohammed mais aussi Dieu lui-même. Le sens coranique est associé à l'idée de Le terme signifie la confession et l'acceptation « de cœur » de la prédication de Mohammed . L'antonyme de mum'in (« croyant ») est kafir (« infidèle », « ingrat »).