Dans le domaine mathématique de la théorie des graphes, un arbre couvrant d'un graphe non orienté et connexe est un arbre inclus dans ce graphe et qui connecte tous les sommets du graphe.
De façon équivalente, c'est un sous-graphe acyclique maximal, ou encore, un sous-graphe couvrant connexe minimal.
Dans certains cas, le nombre d'arbres couvrants d'un graphe connexe est facilement calculable. Par exemple, si lui-même est un arbre, alors , tandis que si est un n-cycle, alors . Pour un graphe quelconque, peut être calculé grâce au théorème de Kirchhoff.
La formule de Cayley permet aussi de calculer directement pour un graphe complet . On obtient que .
Si G est un graphe biparti complet , alors est .
Les arbres couvrants d’un graphe forment un matroïde, et peuvent donc être énumérés par un algorithme avec délai polynomial.
Un problème algorithmique classique est de trouver, dans un graphe pondéré, un arbre couvrant de poids minimal. Le poids peut représenter la difficulté qu'il y a à emprunter une liaison, par exemple une durée de traversée de la liaison élevée. Dans le cas du graphe pondéré aussi, on dispose de plusieurs algorithmes (algorithme de Borůvka, l'algorithme de Prim, algorithme de Kruskal...).
Les arbres couvrants sont étudiés en informatique théorique pour leurs applications aux réseaux informatiques.
Ils peuvent ainsi définir un chemin permettant de faire passer une information depuis un nœud d'un réseau vers n'importe quel autre nœud, tout en évitant la présence de boucles. Les boucles sont gênantes dans un réseau informatique parce que les informations peuvent emprunter la boucle et tourner plusieurs fois avant d'atteindre leur destination, ou même tourner indéfiniment au sein de la boucle, sans jamais atteindre leur destination. Dans le cas extrême de la tempête de diffusion, le réseau devient inutilisable.
L'algorithme Spanning Tree Protocol découvert par Radia Perlman en 1985 permet de trouver un arbre couvrant dans un graphe arbitraire.
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In graph theory, a bridge, isthmus, cut-edge, or cut arc is an edge of a graph whose deletion increases the graph's number of connected components. Equivalently, an edge is a bridge if and only if it is not contained in any cycle. For a connected graph, a bridge can uniquely determine a cut. A graph is said to be bridgeless or isthmus-free if it contains no bridges. This type of bridge should be distinguished from an unrelated meaning of "bridge" in graph theory, a subgraph separated from the rest of the graph by a specified subset of vertices; see bridge.
In graph theory, a branch of mathematics, the circuit rank, cyclomatic number, cycle rank, or nullity of an undirected graph is the minimum number of edges that must be removed from the graph to break all its cycles, making it into a tree or forest. It is equal to the number of independent cycles in the graph (the size of a cycle basis). Unlike the corresponding feedback arc set problem for directed graphs, the circuit rank r is easily computed using the formula where m is the number of edges in the given graph, n is the number of vertices, and c is the number of connected components.
Dans le domaine de la théorie des graphes, le théorème de Kirchhoff, aussi appelé matrix-tree theorem, nommé d'après le physicien Gustav Kirchhoff, est un théorème donnant le nombre exact d'arbres couvrants pour un graphe non orienté quelconque. C'est une généralisation de la formule de Cayley qui donne ce résultat pour les graphes complets non orientés. Le théorème de Kirchhoff s'appuie sur la notion de matrice laplacienne, définie elle-même comme la différence entre la matrice des degrés et la matrice d'adjacence du graphe.
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