Théorème de Frobenius généraliséEn mathématiques, diverses versions de théorèmes de Frobenius généralisés ont étendu progressivement le théorème de Frobenius de 1877. Ce sont des théorèmes d'algèbre générale qui classifient les algèbres unifères à division de dimension finie sur le corps commutatif R des réels. Moyennant certaines restrictions, il n'y en a que quatre : R lui-même, C (complexes), H (quaternions) et O (octonions). Toutes les algèbres sont ici implicitement supposées unifères, et leur unicité s'entend à isomorphisme près.
Balanced setIn linear algebra and related areas of mathematics a balanced set, circled set or disk in a vector space (over a field with an absolute value function ) is a set such that for all scalars satisfying The balanced hull or balanced envelope of a set is the smallest balanced set containing The balanced core of a set is the largest balanced set contained in Balanced sets are ubiquitous in functional analysis because every neighborhood of the origin in every topological vector space (TVS) contains a balanced neig
Fonction mesurableSoient E et F des espaces mesurables munis de leurs tribus respectives E et F. Une fonction f : E → F est dite (E, F)-mesurable si la par f de la tribu F est incluse dans E, c'est-à-dire si : L'identité, la composée de deux fonctions mesurables, sont mesurables. Les fonctions mesurables fournissent donc à la classe des espaces mesurables une structure de catégorie. Si F est l'ensemble des réels et si F est sa tribu borélienne, on dira simplement que f est une fonction mesurable sur (E, E).
Nombre positifUn nombre positif est un nombre qui est supérieur à zéro, par exemple 3 ou e. En dehors des textes mathématiques, lorsqu'on parle de nombres positifs ou négatifs, le nombre zéro est généralement exclu. Ainsi le dictionnaire Lexis précise : . L'Académie française, dans la neuvième édition de son dictionnaire précise quant à elle qu'un nombre positif est un nombre . En français, le nombre zéro est considéré tantôt comme étant à la fois positif et négatif, tantôt comme n'étant ni positif, ni négatif.
Euclidean topologyIn mathematics, and especially general topology, the Euclidean topology is the natural topology induced on -dimensional Euclidean space by the Euclidean metric. The Euclidean norm on is the non-negative function defined by Like all norms, it induces a canonical metric defined by The metric induced by the Euclidean norm is called the Euclidean metric or the Euclidean distance and the distance between points and is In any metric space, the open balls form a base for a topology on that space.
Carré sommableEn mathématiques, une fonction définie sur un espace mesuré Ω et à valeurs dans R ou C est dite de carré sommable ou de carré intégrable si elle appartient à l’espace L(Ω) des fonctions dont l'intégrale du carré (du module dans le cas des nombres complexes) converge sur Ω. Par exemple, une fonction mesurable de R dans C est de carré sommable lorsque l’intégrale suivante (au sens de Lebesgue) converge, c'est-à-dire si elle existe et correspond ainsi à un nombre fini.
Kolmogorov's normability criterionIn mathematics, Kolmogorov's normability criterion is a theorem that provides a necessary and sufficient condition for a topological vector space to be ; that is, for the existence of a norm on the space that generates the given topology. The normability criterion can be seen as a result in same vein as the Nagata–Smirnov metrization theorem and Bing metrization theorem, which gives a necessary and sufficient condition for a topological space to be metrizable. The result was proved by the Russian mathematician Andrey Nikolayevich Kolmogorov in 1934.
Inégalité de PtoléméeL'inégalité de Ptolémée est une inégalité portant sur les distances entre quatre points d'un espace affine euclidien. Le cas d'égalité étant connu comme le théorème de Ptolémée. L'inégalité de Ptolémée est la manifestation de l'inégalité triangulaire après l'application d'une inversion de centre l'un des points, ou, dans le cas plan, directement en utilisant les nombres complexes . Soient les affixes respectives de . En développant et refactorisant , on obtient , donc d'après l'inégalité triangulaire, on a : d'où l'inégalité voulue.