Forêt secondairevignette|Carte mondiale du World Resources Institute représentant les forêts plantées (planted forest) et les cultures arbustives (tree crops). thumb|Redwood endommagé par le typhon Frieda et repousse, Parc Stanley, Vancouver (Canada) La forêt secondaire, par opposition à la forêt primaire, est une forêt (biomasse ligneuse) qui a repoussé, en une ou plusieurs phases après avoir été détruite (par exemple par l'agriculture sur brûlis) ou exploitée par l'homme par des coupes rases ou avec des impacts plus discrets mais significatifs pour les essences ou la structure forestières.
Critiques des théories de l'évolutionEn tant que théorie scientifique, la théorie darwinienne de l'évolution des espèces par sélection naturelle fait l'objet de diverses critiques. L'idée d'évolution biologique est souvent rejetée car elle s'oppose à une vision spirituelle de l'homme, en le présentant comme le simple résultat du hasard, obéissant uniquement à des lois mécaniques et matérielles, et non le résultat d'un dessein où l'homme pourrait trouver du sens, en particulier par des croyants qui refusent l'idée d'évolution par fidélité à certains textes sacrés comme la Torah, la Bible ou le Coran.
Prairie (Amérique du Nord)vignette|upright=1.8|Étendue des prairies d'herbes hautes en relation avec les Grandes Plaines. thumb|250px|La Prairie dans le Dakota du Sud. La Prairie (Tallgrass Prairie) occupe les Grandes Plaines entre les Appalaches et les Montagnes Rocheuses. Cette écorégion à prairie de zone tempérée est constituée d'une flore herbeuse de graminées, de composées et de légumineuses. Son nom lui vient des explorateurs français et n'a pas été anglicisé. Elle est l'équivalent de la steppe en Eurasie et de la pampa en Amérique du Sud.
Vertèbre cervicalevignette|Les sept vertèbres cervicales Les vertèbres cervicales sont les vertèbres situées au niveau du cou. Elles appartiennent au rachis cervical. Chez l'Homme, les vertèbres cervicales sont au nombre de sept, dont trois particulières : l'atlas (C1), l'axis (C2) et la septième vertèbre cervicale dite vertèbre proéminente (C7). Ce sont les plus petites vertèbres du rachis Les vertèbres cervicales C3, C4, C5 et C6 ont des structures similaires.
Survie du plus apteLa « survie du plus apte » (traduction de l'anglais « survival of the fittest ») est une expression décrivant la compétition des espèces pour la survie ou la dominance. Elle a été écrite à l'origine par Herbert Spencer dans ses Principles of Biology de 1864. Spencer y traçait des parallèles entre ses idées économiques et les théories de l'évolution que Charles Darwin appelait la sélection naturelle. Cette phrase est une métaphore et non pas une description scientifique.
Effet maternelUn effet maternel est un effet se manifestant lorsque le phénotype d’une mère affecte directement le phénotype de ses descendants et donc la valeur sélective (fitness) de celle-ci. Un gène à effet maternel s'exprime lors de l'ovogenèse. Ce type de gène est essentiellement connu par l'analyse du développement embryonnaire de Drosophila melanogaster (mouche du vinaigre) mais aussi de Danio rerio (poisson zèbre). Les mutations à effet maternel (Dnmt, Hsf1 et Mater) ont été découvertes plus récemment chez les mammifères.
Teleology in biologyTeleology in biology is the use of the language of goal-directedness in accounts of evolutionary adaptation, which some biologists and philosophers of science find problematic. The term teleonomy has also been proposed. Before Darwin, organisms were seen as existing because God had designed and created them; their features such as eyes were taken by natural theology to have been made to enable them to carry out their functions, such as seeing.
Prairie d'herbes hautesvignette|upright=1.8|Réserve de prairie d'herbes hautes de Midewin National Tallgrass Prairie (Illinois). La prairie d'herbes hautes est un écosystème indigène de la région centrale de l'Amérique du Nord. Les incendies, qu'ils soient d'origine naturelle ou anthropique, ainsi que le pâturage par les grands mammifères (principalement les bisons) sont les facteurs historiques de perturbation périodique, qui régulent l'empiètement par les arbres, recyclent les éléments nutritifs dans le sol et catalysent certains processus de dispersion et de germination des graines.
Médecine évolutionnisteLa médecine évolutionniste ou médecine darwinienne est un courant de pensée de la médecine cherchant à appliquer des principes actuels de la théorie de l'évolution aux questions concernant la santé et les maladies. Le but de la médecine évolutionniste est de comprendre pourquoi on tombe malade, et pas seulement comment on tombe malade. Les recherches et les pratiques médicales modernes se sont focalisées sur les mécanismes moléculaires et physiologiques qui sous-tendent la santé et les maladies, tandis que la médecine évolutionniste cherche à répondre à la question de pourquoi l’évolution a façonné ces mécanismes.
BiomeUn biome (du grec , « vie »), appelé aussi macroécosystème ou aire biotique, est un ensemble d'écosystèmes caractéristique d'une aire biogéographique et nommé à partir de la végétation et des espèces animales qui y prédominent et y sont adaptées. Il est l'expression des conditions écologiques du lieu à l'échelle régionale ou continentale : le climat qui induit le sol, les deux induisant eux-mêmes les conditions écologiques auxquelles vont répondre les communautés des plantes et des animaux du biome en question.