Phase (thermodynamique)thumb|right|Un système composé d'eau et d'huile, à l'équilibre, est composé de deux phases distinctes (biphasique). En thermodynamique, on utilise la notion de phase pour distinguer les différents états possibles d'un système. Selon le contexte et les auteurs, le mot est utilisé pour désigner plusieurs choses, parfois de natures différentes, mais étroitement liées. Si un système thermodynamique est entièrement homogène, physiquement et chimiquement, on dit qu'il constitue une seule phase.
Méthode de Newtonvignette|Une itération de la méthode de Newton. En analyse numérique, la méthode de Newton ou méthode de Newton-Raphson est, dans son application la plus simple, un algorithme efficace pour trouver numériquement une approximation précise d'un zéro (ou racine) d'une fonction réelle d'une variable réelle. Cette méthode doit son nom aux mathématiciens anglais Isaac Newton (1643-1727) et Joseph Raphson (peut-être 1648-1715), qui furent les premiers à la décrire pour la recherche des solutions d'une équation polynomiale.
EstomacL' (en grec ancien στόμαχος) (aussi appelé poche stomacale) est la portion du tube digestif en forme de poche, située entre l’œsophage et le duodénum. L'œsophage reçoit les aliments mâchés dans la bouche et déglutis dans l'estomac. Chez l’être humain, l’organe est en forme de J majuscule, à l’âge adulte il mesure , contient à vide, et peut contenir jusqu’à . L’estomac est en rapport anatomique avec le foie (à droite), la rate (à gauche), le pancréas (en arrière), le diaphragme (en haut) et les intestins (en bas).
Scrutin uninominal majoritaire à deux toursthumb|right|Schéma du mode de scrutin majoritaire à un ou deux tours. Parmi les systèmes électoraux, le scrutin uninominal majoritaire à deux tours est un vote simple sans pondération se déroulant sur deux tours au maximum. Dans sa version la plus courante, un candidat est élu au premier tour s'il recueille la majorité absolue, soit plus de 50 % des suffrages exprimés. Si aucun candidat n'atteint ce seuil, un second tour est organisé entre les deux candidats arrivés en tête, à l'issue duquel le candidat qui recueille la majorité relative, soit le plus de voix, est élu.
Slit lampIn ophthalmology and optometry, a slit lamp is an instrument consisting of a high-intensity light source that can be focused to shine a thin sheet of light into the eye. It is used in conjunction with a biomicroscope. The lamp facilitates an examination of the anterior segment and posterior segment of the human eye, which includes the eyelid, sclera, conjunctiva, iris, natural crystalline lens, and cornea. The binocular slit-lamp examination provides a stereoscopic magnified view of the eye structures in detail, enabling anatomical diagnoses to be made for a variety of eye conditions.
Utérusvignette|Schéma en coupe frontale des différentes parties de l'utérus chez l'humain. L'utérus est un organe appartenant à l'appareil génital féminin et de la plupart des mammifères. C'est l'organe permettant la gestation lors de la grossesse. Il diffère selon les espèces dans son anatomie. L'origine dériverait du grec ou du latin « ventre » sans réelle certitude. Suivant les espèces, la séparation entre la partie postérieure gauche ou droite de l'utérus est plus ou moins grande.
Vésicule biliaireLa vésicule biliaire est un organe creux, situé dans l'abdomen contre le foie. Faisant partie des voies biliaires, elle est reliée à la voie biliaire principale par le conduit cystique. La vésicule permet le stockage de la bile et sa restitution au cours de la digestion, particulièrement à la suite d'un repas lourd ou gras. vignette|Rapports anatomiques de la vésicule biliaire (figurée en vert) La vésicule biliaire est un organe creux, piriforme (en forme de poire), de couleur gris-bleu et mesurant chez l'adulte de long pour de large.
Espace vectoriel quotientEn algèbre linéaire, l'espace vectoriel quotient E/F d'un espace vectoriel E par un sous-espace vectoriel F est la structure naturelle d'espace vectoriel sur l'ensemble quotient de E par la relation d'équivalence définie de la manière suivante : v est en relation avec w si et seulement si v – w appartient à F. C'est donc l'ensemble des classes [v] = v + F, où v parcourt E, muni des lois suivantes : somme vectorielle : [v] + [w] = [v + w] ; multiplication par un scalaire : λ [v] = [λ v].